Il a été bâti vers 1430 sur les flancs du mont Saint-Ange (San'Anghjelu).
À l'origine, il s'appelait couvent de Saint François de la Pieve d’Aregno.
En 1861, à la suite des franciscains, des dominicains italiens sont venus s'y installer.
Chassés en 1903 après promulgation des Lois de Séparation de l’Église et de l’État, les dominicains y reviennent en 1927.
Ils en repartiront en 1993.
Depuis le couvent est occupé par les frères de Saint-Jean, une nouvelle communauté religieuse.
C'est le plus important couvent de Corse.
C'est aussi un lieu de retraite.
Le
couvent en totalité, bâtiments conventuels et cloître, église et
clocher, est inscrit à l'inventaire national des monuments historiques
par arrêté du 28 novembre 2011.
L'abbaye
de La Celle est un ensemble architectural roman situé dans la commune
de La Celle, dans le Var (région Provence-Alpes-Côte d'Azur).
Ce
monument historique médiéval est classé au titre des Monuments
historiques par arrêté du 12 juillet 1886 pour les restes de l'abbaye de
La Celle, bien qu'ici le terme d'abbaye soit impropre.
Ce
monument appartient au Conseil Général du Var depuis 1990. L'abbaye se
visite du mardi au dimanche de 10h30 à 12h et de 13h30 à 17h.
Situation
La commune de La Celle était encore au début du XIe siècle un hameau de Brignoles, dont elle est limitrophe.
Elle est blottie dans la vallée que surplombent le Roc de Candelon et le Massif de la Loube (830 mètres).
Le village est traversé par le CD 405.
La rivière du Caramy borde le territoire de la commune.
L'abbaye de La Celle se trouve au centre de ce bourg ecclésial.
Ces
travaux de restauration s'achèveront dans quelques années par la
reconstitution intégrale et la mise en valeur de cet ensemble médiéval.
Historique
Historique et plan de l'abbaye
Ici vécu le Prieur de l'abaye, devenu Pape sous le nom de Marcel II
Panneau présentant les travaux en cours
Fouilles archéologiques préventives
Travaux en cours de restitution d’une voûte
Une travée restituée
Les origines
Le site de l’abbaye de La Celle a été occupé dès l’Âge du Fer (entre les IIe et Ier siècles av. J.-C.).
Les fouilles récentes ont mis au jour un four et un sol de cette époque.
Sur le même emplacement, une « villa » romaine s’est installée au IIe siècle après Jésus-Christ.
Il
s’agit d’une « pars rustica », exploitation agricole dont le pressoir
et le fouloir ont été retrouvés dans la cuisine de l’abbaye.
Cette « villa » est restée active jusqu’au VIe siècle.
C’est ensuite au début du XIe siècle qu’a commencé la construction du premier monastère.
XIe – XIIe siècle
En
1011, une donation est faite à l'Abbaye Saint-Victor de Marseille de
terres sur le territoire de Brignoles avec une église dédiée à
Sainte-Perpétue.
La plus grande partie du temporel de l'abbaye se situe dans la région de Brignoles.
Les femmes de ce monastère appartiennent toutes à la haute noblesse de Provence, ou du Languedoc.
L'abbaye y installe quelques moines pour assurer les offices pour les populations locales.
Au XIe siècle
le Pape Grégoire VII confirme par une Bulle, les biens de Saint-Victor,
parmi lesquels figurent l'église de Sainte-Perpétue et les terres
autour, avec l'église Sainte-Marie.
Ce
monastère avait la particularité d'être double, les hommes avaient d'un
côté leurs bâtiments et desservaient l'église Sainte-Perpétue, les
moniales utilisaient l'église Sainte-Marie.
Les deux établissements avaient à leur tête une prieure et un prieur désignés par les moines de Saint-Victor.
Cet établissement, improprement appelé abbaye, avait en fait le rang de prieuré.
XIIIe – XIVe siècle
Sarcophage de Garsende de Sabran
Au XIIIe siècle,
le prieuré avait une grande réputation, y recevant des filles de bonnes
familles, et de haut lignage dont la plus célèbre est la comtesse de
Provence Garsende de Sabran ; mère de Raimond Bérenger IV de Provence,
qui une fois veuve de Alphonse, second fils de Alphonse II d'Aragon prit
le voile en 1225, comme novice et demeura en ce lieu jusqu'à son trépas
vers 1242.
Le Prieuré comptait une centaine de religieuses entre 1267 et 1293.
En
1311 on constate déjà des contestations qui vont jusqu'au procès,
concernant l'usage des biens du Monastère par la communauté de Cabasse.
Au XIVe siècle,
les religieuses souhaitent se séparer de la tutelle des moines de
Saint-Victor de Marseille avec lesquels elles sont en conflit permanent.
Un Prieur restera pourtant sur le Domaine jusqu'à la Révolution, alors
que les religieuses avaient déjà quitté le couvent depuis longtemps.
XVe – XVIIe siècle
La
discipline s’étant relâchée, le 27 janvier 1660, le cardinal Mazarin,
en tant que commendataire de l’abbaye de Saint Victor, ordonna une
réforme du monastère et fit transférer en mars 1660 les nonnes à
Aix-en-Provence sous la direction des religieuses de l'Église du
Val-de-Grâce de Paris.
Trois religieuses seulement accepterons de rejoindre Aix.
Celles
qui n'acceptèrent pas de se soumettre, virent leurs pensions
supprimées, ce qui amena la communauté à son extinction, d'autant que
plus aucune novice ne pouvait rejoindre ce couvent.
La Révolution
Vendue et morcelée en 1792 comme bien national, l'abbaye est transformée en exploitation agricole
XIXe – XXe siècle
L'abbaye
est classée Monument Historique le 12 juillet 1886, après le passage de
Jean-Camille Formigé qui fit en 1868 un grand nombre d'aquarelles et de
plans décrivant l'état de l'abbaye.
La commune a racheté l'église conventuelle au début du XIXe siècle pour en faire l'église communale.
Durant tout le XXe siècle,
les architectes des monuments historiques tenteront de faire restaurer,
de sauvegarder les bâtiments qui tombaient en ruine.
Tant que ces bâtiments sont restés propriété privée, les restaurations sont très difficiles.
Dans
les années trente Madame Sylvia Fournier, riche propriétaire des îles
de Porquerolles, achète le domaine et y installe une
hostellerie-restaurant de luxe qui devient le premier établissement 4
étoiles du Var.
D'anciens bâtiments, dont l'affectation d'origine reste imprécise, deviennent un hôtel-restaurant.
Après sa mort en 1971, un autre établissement privé s'installe.
L'abbaye de La Celle devient patrimoine public, aujourd'hui patrimoine du Conseil général du Var.
En
1990, la commune fait jouer son droit de préemption en zone urbaine,
avec l'appui financier du Conseil général à qui le Monument Historique
sera rétrocédé.
La partie qui accueillait l'hôtel est toujours une hostellerie de luxe, louée aux maisons Alain Ducasse.
Toujours sur le domaine de l'ancien monastère, un autre bâtiment du
Conseil général est occupé par la Maison des Vins des Côteaux Varois.
XXIe siècle
Après
plusieurs mois de fermeture et de très nombreux travaux, l'abbaye,
témoin de l’art roman provençal est de nouveau ouverte au public à
partir le 12 juillet 2016.
Description
Église conventuelle
L'église
Sainte-Perpétue, aujourd'hui partiellement disparue, était l'église
paroissiale de La Celle, desservie par les moines du bourg ecclésial.
Christ d'origine catalane
L'église Sainte-Marie était l'église conventuelle réservée aux moniales.
Elle est depuis le début du XIXe siècle l'église paroissiale de La Celle.
Un sarcophage du XIIe siècle est conservé dans l'église Sainte-Marie.
Longtemps
attribué à tort à Garsende de Sabran (elle n'est présente que 150 ans
plus tard dans le monastère), il a servi de fontaine sur la place
publique après la Révolution.
Vendu en 1924 par le propriétaire privé à qui appartenait l'abbaye, il est racheté par le Conseil Général du Var en 1999.
Sur le mur Sud de l'église se trouve un magnifique crucifix d'origine catalane du XIVe siècle en bois polychrome à la sculpture d'un très grand réalisme.
Nous y trouvons également deux retables baroques du XVIIe siècle.
Bâtiments conventuels des moniales
Chauffoir
Cette pièce est attenante au Cellier, par une porte au centre du mur Sud, une ouverture à l'Ouest donnant sur le Cloître.
Salle Capitulaire
Ou Salle du Chapitre. C'est une pièce remarquable du XIIIe siècle avec une voûte à arêtes ogivales à croisillons lourds.
L'ensemble est supporté par deux piliers trapus, avec des chapiteaux ornés de dessins géométriques, de style roman.
Elle
comporte à l'Est trois ouvertures étroites et cintrées tandis qu'à
l'Ouest en direction du cloître, une porte et deux arcades.
Les
moniales s'y réunissaient tous les jours pour lire un chapitre de la
règle de saint Benoît et régler les problèmes de la communauté.
Cloître des moniales
Il
est fermé au Nord par l'église Sainte-Marie et à l'Est par la Salle
Capitulaire ; au Sud par la Cuisine et le Réfectoire (actuellement en
cours de restauration). Trois galeries subsistent, donnant sur la cour.
La
galerie nord est la mieux conservée. Elle dessert l'accès aux autres
parties des bâtiments. Sur cette galerie se trouvent également l'accès à
l'église Sainte-Marie.
Les galeries Sud et Ouest sont en cours de restauration. Celle de l'Ouest n'existe plus ; elle fut comblée et plantée d'arbres.
Le
long de la galerie Nord, côté jardin, six baies à colonnettes géminées.
La voûte en plein cintre est renforcée par des arcs doubleaux. Les
colonnes qui supportent au Sud les arcs à doubleaux sont dites « à
genoux ».
Bâtiments conventuels des moines
Ancien logis du Prieur
Aujourd'hui, au XXIe siècle, c'est une habitation privée.
Le bâtiment date du XIIIe siècle et fait face à l'entrée principale de l'église Sainte-Perpétue.
Sur
le mur, une plaque rappelle aux visiteurs qu'ici vécut Marcel Cervin,
prieur du monastère, élu Pape en 1555 sous le nom de Marcel II
(1501-1555), il mourut vingt jours après.
Cloître des moines
Le Jardin
S'étendant sur trois hectares il fut entièrement restauré au XXe siècle
à la demande du Conseil Général, par un paysagiste choisi par
l'architecte en chef des monuments historiques, Francesco Flavigny.
Il s'inspire de l'esprit provençal et a gardé les arbres bicentenaires du parc.
Religieuses connues
Femme
et fille de Pons de Léras, (1135, qui les place au Prieuré de Sainte
Perpétue près Brignoles, Var, qui dépendait, comme Saint Sauveur où il
avait placé son fils, de l'Abbaye St Victor de Marseille.
1385- 1410 ca- Sance et Philippines de Roquefeuil.
1420 - Perpétue de Simiane et sa sœur, Marie de Simiane, toutes deux citées à cette date.
1538 - Mademoiselle de Vintimille d'Ollioules.
1538 - Mademoiselle de Castellane de Dalmisue.
1658 - Marie de Croze.
S - D - Alasacie de Montpellier.
S - D - Sancie de Signes.
S - D - Cécile d'Évenos.
S - D - Béatrice de Villeneuve.
S - D - Louise de Castellane.
Prieur(e)s
(liste non exhaustive)
1310 - Isnard de Pontevès, qui devint ensuite Abbé du monastère bénédictin du Mont-Cassin, puis de l'abbaye de Montmajour.
1344 - Barrale de Pontevès.
1388 - Alayette de Pontevès.
1392 - Alaxasie de Pontevès.
1424 - Baude de Pontevès.
1460
- Honorat Almaric (Almarici ou Amandi), moine de l'Abbaye Saint-Victor
de Marseille, devenu abbé de l'Abbaye Notre-Dame de Valsaintes en 1461.
Il fut inhumé dans l'abbaye de Saint-Victor.
1550 - ca - Marcel Cervin qui devient Pape en 1555 sous le nom de Marcel II.
1740 - 1745 - H. Leblanc, Prieur et Seigneur de la Roquebrussanne. cité à ces 2 dates.
Abbés commandataires
1643 - 1651 Jules Mazarin.
Personnalités ayant séjourné à l'Abbaye
(liste chronologique, non exhaustive)
Elias de Barjols
Elias de Barjols, (1191-1230), noble troubadour.
Guy de Cavaillon, (1175-1229), noble troubadour.
Claude de France, (1499-1524] femme de François Ier, y séjourne à 3 reprises.
Charles
de Gaulle, (1890-1970), dans les années 1960 y séjourne à 3 reprises et
y écrira une partie des mémoires (à l'hostellerie).
L'abbaye de Saint-Roman est une ancienne abbaye troglodytique située sur la commune de Beaucaire, dans le Gard (France).
Propriété de la commune de Beaucaire depuis 1988, elle a été classée monument historique en décembre 1990.
Histoire et occupation du site
Préhistoire : premières occupations du site
Le
massif calcaire où se sera construit plus tard l'abbaye est parsemé de
grottes. Celles-ci sont occupées par des tribus de chasseurs.
Ve siècle : premiers ermites
L'abbaye est située sur un rocher calcaire en surplomb au-dessus de la confluence du Gardon et du Rhône.
Probablement à partir de la fin du Ve siècle,
les lieux sont occupés par des ermites dont le style de vie monastique
oriental s'inscrit dans la lignée des Pères du Désert.
Ils aménagent et agrandissent progressivement les cavités naturelles.
VIIe siècle : adoption de la règle de Saint Benoît
Vers le VIIe siècle, la communauté d'ermites adopte la règle de saint Benoît et devient une abbaye bénédictine.
L'abbaye comprend alors une chapelle, des cellules monastiques,
quelques autres salles et une nécropole, le tout creusé dans la pierre.
Au XIe siècle,
l'abbaye passe sous la tutelle de l'abbaye de Psalmody. Des pèlerins
affluent à l'abbaye pour y contempler des reliques attribuées à Saint
Roman et Saint Trophime.
Au XIVe siècle, l'abbaye est fortifiée : un fossé est creusé tout autour et des murs sont élevés.
Le site accueille désormais un studium (collège pour adolescents) mis en place par le pape d'Avignon Urbain V.
L'objectif est de dispenser une instruction à des jeunes gens doués pour les études, pauvres ou riches.
XVIe siècle : édification d'un château
En 1538, Psalmody se sécularise en collège de chanoines à Aigues-Mortes.
Après cette période, l’abbaye va peu à peu décliner.
Les moines quittent l'abbaye qui est vendue à un particulier : celui-ci fait alors élever un petit château au sommet du rocher.
Le château sera par la suite démoli, et l'emplacement définitivement abandonné.
XXe siècle : fouilles et restaurations
La Société d'Histoire et d'Archéologie de Beaucaire débute des fouilles à partir des années 1960.
La commune de Beaucaire devient propriétaire de l'abbaye en 1988. En 1991, l'abbaye est classée Monument Historique.
Descriptif du site
En 2013, les visiteurs peuvent contempler les restes de différents éléments de l'abbaye et du château.
Se côtoient ainsi les tombes des premiers moines et les fortifications du XIVe siècle. Le descriptif distribué à l'entrée du site mentionne :
la chapelle abbatiale
des tombes rupestres sur la terrasse
des cellules monastiques
un pressoir à vin médiéval
une grande salle
des fortifications
un fossé, une rampe et un pont
Photos de l'abbaye
Nécropole de l'abbaye
Intérieur de la chapelle
Sièges de l'abbé et du prieur excavés dans la chapelle
Détail de la chapelle avec supports de lampes à huile
L'église
Saint-Symphorien-les-Carmes est une église qui a été successivement
conventuelle, puis paroissiale, et située à Avignon sur la place des
Carmes.
Histoire
Les
Grands Carmes s'installèrent ici, en dehors de l'enceinte de la
Commune, dès 1267, et y élevèrent leur couvent et leur église.
Une
reconstruction fut entreprise par Jean XXII en 1320 mais les travaux
étaient toujours en cours sous Clément VI, qui en poursuivit le
financement.
L'église conventuelle fut consacrée définitivement le 10 avril 1520 : c'était alors une des plus vastes de la ville.
Un effondrement important se produisit le 20 mai 1672, ne laissant debout que la façade, le chœur et les chapelles latérales.
La reconstruction fut aussitôt entreprise et dura plus de six ans, l'édifice étant à nouveau béni le 9 juillet 1678.
La
Révolution chassa les Grands Carmes en 1791, puis le bâtiment devint un
lieu de réunions publiques, et ensuite le siège du Club des Jacobins
avignonnais. Il échappa ainsi à la démolition, contrairement à son
voisin le couvent des Grands Augustins.
En
1803, lors du rétablissement du culte, l'édifice connut une nouvelle
affectation, puisqu'on lui transféra les fonctions et vocable de
l'église paroissiale Saint-Symphorien qui venait d'être rasée.
Cette
primitive église Saint-Symphorien d'Avignon, qui était située entre les
actuelles place Henri Manguin et rue de Pontmartin, n'avait rien de
remarquable, sinon que vers 1572, le roi Charles IX nomma Antoine
Subiet, ancien enfant de chœur de cette église et musicien
ecclésiastique réputé à la Chapelle royale, évêque de Montpellier.
En cette qualité, Subiet créa une importante fondation pour les enfants de chœur de Saint-Symphorien.
Architecture
La façade sur la place des Carmes est d’une grande simplicité, comme il sied à l'église d’un ordre mendiant.
La
porte principale, en tiers-point, est amortie en un gâble accosté de
pinacles, qui porte une croix sur fond d’arcature aveugle.
Au-dessus, une rosace de faibles dimensions est surmontée d’une fenêtre ogivale murée. Les deux portes latérales sont modernes.
L’église
des Carmes est, par son plan, caractéristique du gothique méridional, à
l'instar des édifices voisins de Saint-Didier ou de Notre-Dame de Bon
Repos à Montfavet.
Sans
bas-côtés, ni transept, ni déambulatoire, elle est surtout remarquable
par sa vaste nef, large et lumineuse, bordée de chapelles latérales non
communicantes.
Ce
sont les travaux de 1672-1678, sans doute dirigés par Louis-François de
la Valfenière, qui ont donné à l'ordonnance interne son aspect actuel
noble mais un peu raide.
Avec
ses travées rythmées de hauts pilastres doriques, et ses grandes
arcades en plein cintre où s'ouvrent les chapelles latérales, elle
rappelle l'église de Bédarrides, contemporaine et due au même artiste.
Cette
campagne de reconstruction, qui avait épuisé les ressources financières
des Carmes, laissa la charpente apparente dans le vaisseau jusqu'en
1836, époque où l'on construisit en briques la voûte en plein cintre à
lunettes actuelle.
Intérieur
Nef de l'église des Carmes
La nef est entourée de 17 chapelles : Chapelle du Calvaire Chapelle Saint Antoine de Padoue Chapelle Notre Dame des Anges Chapelle Notre Dame de Pitié Chapelle des Saintes Thérèse d'Avila et de Lisieux Chapelle Notre Dame du Mont Carmel Chapelle des Ames du Purgatoires Chapelle Sainte Anne Chapelle Sainte Croix Chapelle Saint Joseph Chapelle des Saints Missionnaires Chapelle de l'Enfant Jésus de Prague et Chapelle Notre Dame de Lourdes Chapelle du Sacré Cœur Chapelle Saint Philomène Chapelle Saint Pierre de Luxembourg et Chapelle Saint Louis de Gonzague
Œuvres d'art
le Maître Autel en marbre blanc de 1856
l'Orgue.
Quatre
toiles de Guillaume-Ernest Grève hypothétiquement datées de 1602 :
scènes du Martyre de saint Symphorien, classés au titre d'objets
historiques
Une
Apothéose de saint Symphorien, toile de Philippe Sauvan (1780) - Ces
cinq toiles proviennent de la primitive église paroissiale de
Saint-Symphorien, disparue.
Dans
la nef et les chapelles latérales, nombreuses toiles de Nicolas et
Pierre II Mignard, Pierre Parrocel, Guillaume-Ernest Grève...
Tableaux du chœur provenant de l’ancienne église Saint-Symphorien : scènes du martyre du Saint