Prière au Saint Enfant Jésus de Prague révélée par la T.S. Vierge au R.P. Cyrille

Prière au Saint Enfant Jésus de Prague
révélée par la T.S. Vierge au R.P. Cyrille


Prière au Saint Enfant Jésus de Prague révélée par la T.S. Vierge au R.P. Cyrille

Prière au Saint Enfant Jésus de Prague révélée par la T.S. Vierge au R.P. Cyrille





La dévotion au Sacré Cœur

La dévotion au Sacré Cœur

La dévotion au Sacré Cœur

La dévotion au Sacré Cœur

La dévotion au Sacré Cœur

La dévotion au Sacré Cœur

La dévotion au Sacré Cœur

La dévotion au Sacré Cœur

La dévotion au Sacré Cœur

La dévotion au Sacré Cœur







Saint Maurice et ses compagnons de la légion thébéenne († v. 287)

Saint Maurice 
et ses compagnons de la légion thébéenne
militaires romains martyrisés à Auganuum († v. 287)

Saint Maurice et ses compagnons de la légion thébéenne, militaires romains martyrisés à Auganuum († v. 287)


Maurice d'Agaune ou saint Maurice et ses compagnons coptes venus d'Égypte soldats thébains, martyrs du Valais, sont morts pour leur foi vers la fin du IIIe siècle.

Il est fêté le 22 septembre, ou, parfois, le 27 décembre par confusion avec Maurice d'Apamée.

Ils avaient reçu l’ordre de tuer tous les habitants près d'Octodure (Martigny) au Nord des Alpes car ils étaient tous déjà chrétiens, grâce àsaint Materne.
Son refus et celui de sa légion furent la cause du célèbre martyre. Les modèles chrétiens de Zabulon et Nephtali, existent encore près de Sion en Suisse.

Saint Sigismond, burgonde, est le premier roi-saint chrétien au Nord des Alpes. Il fonde un monastère qu'il dote, puis le 22 septembre 515, y inaugure la louange perpétuelle de saint Maurice.

Dans les siècles qui suivirent la noblesse du Royaume de Bourgogne (actuellement : Franche-Comté, Lyonnais, Pays de Savoie, Dauphiné, Provence) mais aussi du Saint Empire (depuis Henri IV) vouèrent un véritable culte à saint Maurice.

 

Le récit d'Eucher


Saint Maurice et ses compagnons de la légion thébéenne, militaires romains martyrisés à Auganuum († v. 287)

« Il y avait à cette époque une légion de soldats, de 6 500 hommes, qu'on appelait les Thébains. Ces guerriers, valeureux au combat, mais plus valeureux encore dans leur foi, étaient arrivés des provinces orientales pour venir en aide à Maximien. Comme bien d'autres soldats, ils reçurent l'ordre d'arrêter des chrétiens. Ils furent toutefois les seuls qui osèrent refuser d'obéir. Lorsque cela fut rapporté à Maximien, qui se trouvait alors dans la région d'Octodurum (Martigny aujourd'hui), il entra dans une terrible colère. Il donna l'ordre de passer au fil de l'épée un homme sur dix de la légion, afin d'inculquer aux autres le respect de ses ordres.
Les survivants, contraints de poursuivre la persécution des chrétiens, persistèrent dans leur refus. Maximien entra dans une colère plus grande encore et fit à nouveau exécuter un homme sur dix. Ceux qui restaient devaient encore accomplir l'odieux travail de persécution. Mais les soldats s'encouragèrent mutuellement à demeurer inflexibles. Celui qui incitait le plus à rester fidèle à sa foi, c'était saint Maurice qui, d'après la tradition, commandait la légion. Secondé par deux officiers, Exupère et Candide, il encourageait chacun de ses exhortations. Maximien comprit que leur cœur resterait fermement attaché à la foi du Christ, il abandonna tout espoir de les faire changer d'avis. Il donna alors l'ordre de les exécuter tous. Ainsi furent-ils tous ensemble passés au fil de l'épée. Ils déposèrent les armes sans discussion ni résistance, se livrèrent aux persécuteurs et tendirent le cou aux bourreaux. »

 

Représentation

  • On le représente habillé en soldat, avec parfois la peau noire, portant l'épée, la palme et le vexillum romain.
  • Il figure sur une œuvre de Matthias Grünewald (1535) en compagnie de saint Érasme, à Munich.
  • Il est présent sur les armoiries de Cobourg
  • Il est représenté en cavalier sur l'un des rempants du fronton de la cathédrale Saint-Maurice de Vienne (Isère)

 

Patronage

Saint Maurice est le saint patron du duché de Savoie, du Saint Empire romain germanique, des chasseurs alpins, des gardes suisses, des teinturiers et des malades de la goutte, ainsi que de nombreuses unités de l’armée française : il est ainsi le saint-patron de l'Infanterie.


Saint Maurice patron des fantassins.

En savoir plus :




Miracle Eucharistique à Alost

Miracle Eucharistique
Alost (Belgique)
Une hostie de 200 ans saigne



Selon Eric Jacqmin, prêtre à Alost, l'hostie présente dans un ostensoir serait vieille de 200 ans.
Un antiquaire de la cité des oignons lui aurait dit que l'Hostie proviendrait d'un cloître de bonnes sœurs à Nivelles. 
Début juillet, l'hostie se serait mise à saigner "spontanément" dans la maison du prêtre qui avait reçu l'objet en cadeau d'amis.
L'hostie est protégée par du verre et de l'étain et ne peut donc être manipulée. 

Source :
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Danne et quatre vents, Notre-Dame de Bonne Fontaine

Danne et quatre vents
Notre-Dame de Bonne Fontaine

Au premier plan source et statue, à l’arrière plan le couvent
Au premier plan source et statue, à l’arrière plan le couvent


Bonne-Fontaine (Gutenbrunnen en allemand) est un écart de la commune française de Danne-et-Quatre-Vents, dans le département de la Moselle, entre Phalsbourg et le col de Saverne.
Il s'agit d'un lieu de pèlerinage très fréquenté, consacré à la Vierge Marie, fêtée le 8 septembre, jour de la Nativité de la Sainte Vierge.

 

Le pèlerinage


Intérieur de la chapelle du couvent franciscain

Le nom de l'écart provient de la source d'une eau parfaitement pure, contenant du fluor bienfaisant, qui jaillit en cet endroit depuis des temps reculés. Tout près, dans le tronc d'un arbre, se trouvait une statuette de Notre-Dame.
Une chapelle en bois est construite en 1714 par des soldats de la garnison de Phalsbourg. Cette année-là, une épidémie de dysenterie mortelle sévit dans la garnison. Des soldats découvrent dans le creux d'un chêne la statue de la Vierge Marie et tout près de là une source. Ces malades invoquèrent la Vierge, burent de cette eau, s'en trouvèrent mieux et même guéris. La foi de ces hommes et celle de la population de la région établit très vite un lien entre statuette, la source et les guérisons. Le pèlerinage à Notre-Dame de Bonne-Fontaine est né.
Une chapelle en pierre, plus spacieuse, est érigée en 1741 et, à partir de 1751, on y organise le culte de façon régulière. Différents abbés travaillent à l'édification du sanctuaire jusqu'en 1908, date à laquelle Monseigneur Benzler, évêque de Metz, confie l'animation du pèlerinage aux Pères franciscains, qui agrandissent progressivement le lieu de culte.

La fontaine

La source d'origine se situe sous l'entrée de la chapelle et en 1979, les abords extérieurs de la fontaine sont renouvelés. L'eau sortant du rocher ruisselle en trois vasques superposées, au pied de l'autel massif de grès rose. Le symbolisme reprend tout son sens : c'est de l'Eucharistie par laquelle le Christ offre son corps et son sang, que l'eau vive jaillit au cœur du monde, en vie éternelle.
Une nouvelle salle de réunion et de récollection est construite en 1996, pour accueillir les groupes.

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