Saint Léon. Archevêque de Rouen († 900)

 

Saint Léon († 900)

Archevêque de Rouen

 

Image illustrative de l’article Léon de Carentan

Vitrail de Saint Léon dans l'église d'Issor

 

 

Saint Léon de Carentan (né vers 856 – mort vers 890), évêque de Bayonne, évangélisateur du Pays basque, fêté le 1er mars.

Biographie

Il serait parti avec ses parents rejoindre la cour du roi Louis II de Germanie sur les bords du Rhin, en Bavière.

Puis il vint à Paris, étudier dans une école fondée par Charlemagne.

En 888, il est nommé archevêque de Rouen.

Peu de temps après, il est chargé par le pape d’évangéliser les Basques.

Premier évêque de Bayonne, il convertit les païens du Labourd (Bayonne), de la Navarre, de la Biscaye, et meurt décapité par les Vikings en même temps que ses frères Philippe et Gervais. Il est le patron de la ville de Bayonne.

Sa légende rapporte qu'à son arrivée à Bayonne, il trouva porte close. Le lendemain, elles lui furent ouvertes et qu'après ses prédications, il baptisa un grand nombre d'habitants. Il se serait ensuite rendu au "temple de Mars" dont il aurait renversé l'idole en soufflant dessus. Il est aussi rapporté que, décapité près de la Nive, il se tint encore debout une heure, puis il releva sa tête tombée à terre et la porta à une distance de 80 pas, jusqu'à un lieu où jaillit une fontaine réputée depuis miraculeuse. Aussi est-il souvent représenté en saint céphalophore. Le diocèse de Bayonne l’a choisi comme saint patron et solennise sa fête, ainsi que celle de ses frères, le premier dimanche de mars. Saint Léon est également l'un des patrons des navigateurs, en raison de ses voyages par voie maritime.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9on_de_Carentan

En savoir plus :

http://nouvl.evangelisation.free.fr/leon_de_carentan.htm

 

 

Walburge († 779)

 

Sainte Walburge († 779)

 Abbesse, fille de saint Richard, roi des Saxons

 

Sainte Walburge, Abbesse, fille de saint Richard, roi des Saxons († 779)

 

Sainte Walburge ou Walpurge, Walpurga, Walpurgis, Valpurge, Gauburge, ou bien encore Auboué, Avongour, 'Falbourg, Gaubourg, Gualbourg ou Vaubourg (710-779) est une sainte d'origine saxonne, fêtée le 25 février.

Originaire du royaume de Sussex, alors soumis au Wessex, dans l'Angleterre actuelle, elle se fit missionnaire et aurait passé la plus grande partie de sa vie à évangéliser les Germains du continent.

Histoire et tradition

 

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Sainte Walburge, tableau provenant d'un autel latéral de l'église Saint-Martin de Meßkirch Maître de Meßkirch (1535-1540), Philadelphia Museum of Art, États-Unis

 

Elle était la fille d'un riche seigneur anglo-saxon, nommé Richard, qui aurait été l'un des fils du roi de Kent Hlothere.

Sa mère, Winna ou Wuna, aurait été la sœur de Wynfried (ou Wynfrith), alias saint Boniface, l'évangélisateur de la Frise, massacré le 5 juin 754.

Walburge est également la sœur de saint Willibald et de saint Wunibald.

Pour son éducation, elle entre dans le monastère double de Wimborne (Wimborne Minster) où moines et moniales bénédictins forment une même communauté. Walburge s’adapte à la vie monastique et se prend d’amitié pour la novice Lioba.

Elle se rend ensuite avec elle en Germanie à la demande de l'évêque Boniface, où elle dirige l'abbaye de Heidenheim, dans l'actuel district de Moyenne-Franconie.

 

 Statue et reliquaire de sainte Walburge à l'église Saint-Pierre de Munich

Par Richard Huber — Travail personnel, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=6646078

Sainte Walburge, Abbesse, fille de saint Richard, roi des Saxons († 779)

 Reliquaire de sainte Walpurgis dans le cloître de Meschede, en Westphalie

Par Stefan Didam - Schmallenberg — Travail personnel, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=1652155

 

Elle meurt à Heidenheim en 779, et son tombeau devient vite un lieu de pèlerinage.

On invoque sainte Walburge contre le rachitisme, l'eczéma et la péritonite.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Walburge

En savoir plus :

http://stmaterne.blogspot.com/2008/02/sainte-walburge-bndictine-orthodoxe-et.html

 

 

Pierre Sukejiro

 

Saint Pierre Sukejiro 

 

 

 

Pierre Sukejiro (également Sukejiroo, Xukexico ou Shukeshiko ; japonais : ベトロ助四郎 ) (mort exécuté le 5 février 1597, Tateyama, Nagasaki, Japon) est un domestique japonais au service de Pierre Baptiste Blásquez, sacristain, catéchiste et tertiaire franciscain martyrisé par sa foi à Nagasaki.

Il est crucifié à Nagasaki avec 25 autres martyrs dont Paul Miki et Pierre Baptiste Blásquez.

Il est béatifié par le pape Urbain VIII le 14 septembre 1627, canonisé par le pape Pie IX le 8 juin 1862.

Il est commémoré le 6 février.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Sukejiro

 

 

 

 

 

 

Paul Suzuki

 

Paul Suzuki

 

 

 

Paul Suzuki (Né à Owari en 1563 et mort exécuté le 5 février 1597 sur les hauteurs de Nagasaki) est un laïc catholique japonais, membre du Tiers-Ordre franciscain, employé comme catéchète par les missionnaires franciscains, victime de la persécution anti-catholique au Japon.

Il appartient au groupe des 26 premiers martyrs japonais de l'histoire.

Son martyr

Arrêté à Kyoto il eut l'oreille gauche et le nez coupés avant d'être exilé dans les rues de la ville pour l'exemple.

Le 10 janvier 1597, avec ses 25 autres compagnons d'infortune, il est condamné à mort et part à pied d'Osaka pour Nagasaki.

Il est exécuté par crucifixion transpercé de deux lances.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Paul_Suzuki

 

 

 

 

 

 

Gabriel de Duisco

 

Gabriel de Duisco

 

 

 

Gabriel de Duisco (mort exécuté le 5 février 1597 sur les hauteurs de Nagasaki) est un laïc catholique japonais, converti par Gonzalve Garcia, devenu catéchète, membre du Tiers-Ordre franciscain, victime de la persécution anti-catholique au Japon.

Il appartient au groupe des 26 premiers martyrs japonais de l'histoire.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Gabriel_de_Duisco



 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

François de Miyako

 

Saint François de Miyako

 

 

 

François de Miyako (également Miyakolainen ou Miakolainen ; Jap. フランシスコ市市) (né en 1548 à Miyako (Kyoto), Japon – mort exécuté le 5 février 1597 à Tateyama, Nishizaka, Nagasaki, Japon) est un médecin japonais, catéchiste et tertiaire franciscain martyrisé pour sa foi à Nagasaki.

Il est crucifié à Nagasaki avec 25 autres martyrs dont Paul Miki, Pierre Baptiste Blásquez ainsi qu'un autre médecin comme lui Joachim Sakakibara.

Il est béatifié par le pape Urbain VIII le 14 septembre 1627, canonisé par le pape Pie IX le 8 juin 1862.

Il est commémoré le 6 février.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_de_Miyako

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Joachim Sakakibara

 

Saint Joachim Sakakibara

 

 

Joachim Sakakibara (également Sakachibara ou Saccachibara ; Jap. ヨアキム榊原) (né en 1556 à Osaka, Japon - mort exécuté le 5 février 1597, Tateyama, Nagasaki, Japon) est un médecin japonais, catéchiste et tertiaire franciscain martyrisé pour sa foi à Nagasaki.

Il est crucifié à Nagasaki avec 25 autres martyrs dont Paul Miki et Pierre Baptiste Blásquez.

Il est béatifié par le pape Urbain VIII le 14 septembre 1627, canonisé par le pape Pie IX le 8 juin 1862.

Il est commémoré le 6 février.  

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Joachim_Sakakibara

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Léon Carasumo

 

Léon Carasumo 

 

 

 

Léon Carasumo (ou encore Leo Karasumaru) (mort exécuté le 5 février 1597 sur les hauteurs de Nagasaki) est un laïc catholique coréen-japonais, catéchète, membre du Tiers-Ordre franciscain, victime de la persécution anti-catholique au Japon.

Il appartient au groupe des 26 premiers martyrs japonais de l'histoire.

Sa vie et son martyr

Prêtre païen avant sa conversion au christianisme, il fut baptisé par les jésuites au Japon en 1589.

Il devint le premier tertiaire franciscain coréen et aida grandement les missionnaires franciscains dans leur mission (construction d'église ou d'hôpitaux).

Il fut crucifié son frère Paul Ibaraki et leur neveu de 12 ans Louis Ibaraki ainsi qu'avec 23 autres martyrs dont Paul Miki et Pierre Baptiste Blásquez.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9on_Carasumo

 

 

 

 

 

 

 

Michel Cozaki

 

Saint Michel Cozaki

 

 

 

Michel Cozaki (également Kozaki ou Kasaki ; Jap. ミカエル小崎) (né vers 1551 Ise, Japon - mort le 5 février 1597, Tateyama, Nagasaki, Japon) est un chrétien laïc japonais, charpentier et archetier, catéchiste, infirmier, membre du Tiers-Ordre franciscain, mort pour sa foi.

Son fils Thomas Cozaki mourut avec lui ainsi que 24 autres dont Pierre Baptiste Blásquez et Paul Miki.

Il fait partie de ce qu'on a appelé les Vingt-six martyrs du Japon.

Michel Kozaki est béatifié par le pape Urbain VIII le 14 septembre 1627 et canonisé par le pape Pie IX le 8 juin 1862.

Sa fête est célébrée le 6 février.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Michel_Cozaki

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Côme Takeya Sozaburō

 

Saint Côme Takeya Sozaburō

 

Côme Takeya Sozaburō (Né en Corée - décédé le 18 novembre 1619 à Nagasaki, Japon) - est un laïc catholique japonais d'origine coréenne membre du Tiers-Ordre franciscain, victime de la persécution anti-catholique au Japon.

Il a été canonisé avec 25 autres martyrs le 8 juin 1862 par Pie IX.

Le jour de sa mémoire est fixé au 6 février (Il appartient au groupe dit des 26 premiers martyrs japonais).

Sa vie et son martyr

D'après certaines sources, Côme Takeya Sozaburō est forgeron de profession. Chrétien, il est comme sa femme catéchiste.

Lui et sa femme sont touchés par le témoignage de missionnaires franciscains.

Ils décident alors de faire partie du Tiers-Ordre franciscain. En octobre 1618, et cela malgré l'interdit, Côme Takeya Sozaburō et son épouse donnent refuge dans leur maison aux missionnaires Ange Orsucci et Jean Martínez Cid.

Probablement dénoncés, il est arrêté et emprisonné le 13 décembre 1618.

Il reste de long mois en prison avant d'être lui aussi condamné à mort.

Il est brûlé vif le 18 novembre 1619 sur la colline de Nishizaka à Nagasaki.

Sa femme Inès Takeya est décapitée en 1622 et leur fils François (alors âgé de 12 ans) exécuté le lendemain.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/C%C3%B4me_Takeya_Sozabur%C5%8D




 

François Blanco

 

Saint François Blanco

 

 Image illustrative de l’article François Blanco

Retable en céramique montrant la crucifixion de Blanco à Lima, au Pérou

 


François Blanco (espagnol : Francisco Blanco), né le 18 septembre 1570 à A Gudiña et mort le 5 février 1597 à Nagasaki est un franciscain missionnaire au Japon.

Il meurt martyr de la foi, avec 25 autres chrétiens et fait partie du groupe des 26 martyrs du Japon qui sont canonisés ensemble par le pape Pie IX en 1862.

Biographie

Premières années

François Blanco naît à Ourense et rejoint en premier les Jésuites à Monterrei.

Il déménage par la suite en Castille-et-Léon et devient novice chez les Franciscains à Villalpando.

Il suit un appel à la mission en allant au Mexique, où il est ordonné prêtre.

En 1593, il déménage aux Philippines, puis entreprend en 1596 un voyage au Japon avec Martin de l'Ascension Aguirre.

Condamnation et crucifiement

Le daimyō qui contrôlait le Japon avant l'époque d'Edo, Toyotomi Hideyoshi, par peur de la montée de l'influence européenne, commence à persécuter les Catholiques locaux.

Le 8 décembre 1596, Blanco fait partie d'un groupe de Chrétiens qui se sont faits arrêter à Kyoto et qui ont eu une partie de leur oreille gauche coupée.

Le 4 février 1597, le groupe est forcé de marcher les 966 kilomètres de Kyoto à Nagasaki.

La journée suivante, lui et 25 autres Chrétiens sont condamnés à être exécutés pour avoir prêché la foi chrétienne, qui était interdit par la loi de l'époque.

Ils sont crucifiés et leurs corps sont transpercés de lances sur la colline de l'Ouest (西坂, Nishizaka).

Les corps sont restés exposés plusieurs jours.

Postérité

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Monument aux 26 martyrs

Par Alex Tora — Travail personnel, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=2994240


Les martyrs sont tous béatifiés par Urbain VIII le 14 septembre 1627, puis canonisés par Pie IX en 1862. Le Musée et monument aux Vingt-six martyrs du Japon (en) est inauguré en juin 1962, 100 ans après la canonisation.

On retrouve une relique de son crâne à O Barco de Valdeorras, dans la province d'Ourense. Un des os de son petit doigt est conservé dans son village natal.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Blanco



 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Martín de la Ascensión Aguirre

 

Bienheureux Martín de la Ascensión Aguirre

 

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De Emadrazo - Trabajo propio, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=3583684

https://es.wikipedia.org/wiki/Mart%C3%ADn_de_la_Ascensi%C3%B3n



Martín de la Ascensión Aguirre, (Guipúzcoa ou Ibarrangelu, Espagne, 1566 ou 1567 - Nagasaki, Japon, 5 février 1597) est un religieux franciscain et missionnaire catholique espagnol du XVIe siècle mort martyr au Japon.

Il est béatifié le 14 septembre 1627 par le pape Urbain VIII et canonisé par le pape Pie IX le 8 juin 1862.

Avec Paul Miki et Pierre Baptiste Blásquez il est considéré comme une des principales figures des Vingt-six martyrs du Japon.

Il est fêté le 6 février.

Sa vie

Martín de la Ascensión n'était pas son vrai nom, mais son nom en religion lorsqu'il prit l'habit franciscain le 17 mai 1586.

Son vrai nom serait Martin Loinaz.

Peu d'informations néanmoins existent sur sa vie passée, si ce n'est donc qu'il était d'origine basque.

D'après les sources Martín de la Ascensión fut étudiant en théologie et philosophie de l'Université d'Alcalá.

C'est au cours de ses études qu'il découvre sa vocation franciscaine et demande à entrer dans cet ordre en 1585.

Il fait son noviciat à Guadalajara.

En 1590, il est ordonné prêtre et nommé professeur de philosophie.

Peu de temps après il se porte volontaire pour la mission aux Philippines.

Après un premier départ avorté il finit par prendre la mer en janvier 1593 depuis Cadix à destination du Mexique.

Avec lui embarquent une cinquantaine de missionnaires.

Arrivé en Nouvelle-Espagne il patiente un an avant de pouvoir se rendre à Manille.

A Manille il rejoint l'équipe de formateurs en charge de former les futurs prêtres de sa congrégation.

Alors qu'il est toujours aux Philippines, on fait savoir que l'on recherche des volontaires cette fois-ci pour le Japon.

Voyage vers le Japon et martyr

Au départ réticent son provincial finit par céder aux désirs de Martín de la Ascensión de se rendre lui aussi au Japon.

Il embarque en 1596 avec le père François Blanco (qui comme lui subira le martyr) sur un navire portugais direction l'Empire du Soleil levant.

Arrivé à Nagasaki, il est envoyé à Miyako (Kyoto).

À Miyako, il apprend la langue japonaise et commence son travail d'évangélisation, en particulier auprès des malades.

De Kyoto, il est envoyé ensuite à Osaka où il devient le gardien du couvent franciscain local.

C'est à cette époque que commencent les persécutions à l'égard des missionnaires et des convertis.

Les missionnaires sont alors soupçonnés par leurs activités de préparer le terrain à une future invasion militaire par les puissances Européennes.

Le 5 février 1597, avec vingt-cinq autres chrétiens (principalement des jésuites et des franciscains), il est arrêté et condamné à mort.

Il est emmené sur la colline de Nishizaka, près de Nagasaki, attaché à une croix et percé de deux lances.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Martin_de_l%27Ascension_Aguirre



 

 

 

 

 

 

Jacques Kisaï

 

Saint Jacques Kisaï


Image illustrative de l’article Jacques Kisaï

Statue de saint Jacques Kisaï dans l'église Saint-Martin, à Bamberg

Par Photo: Andreas Praefcke — Photographie personnelle, CC BY 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=6615713



Jacques Kisaï, né en 1533 à Hagamura, près d’Okayama (Japon) et mort (exécuté) le 5 février 1597 à Nagasaki (Japon), était un frère jésuite et catéchiste japonais.

Avec 25 autres chrétiens il fut crucifié en haine de la foi chrétienne.

Les 26 martyrs de Nagasaki furent béatifiés le 3 juillet 1627 par le pape Urbain VIII et canonisés le 8 juin 1862 par le pape Pie IX.

Avec les 25 autres martyrs Jacques Kisaï est liturgiquement commémoré le 6 février.

Biographie

Né en 1533 dans une famille non-chrétienne Jacques Kisaï reçoit sa première éducation dans un monastère bouddhiste.

Comme jeune adulte il demande et reçoit le baptême.

Marié à une chrétienne il en a un fils.

Sa femme décide de revenir à ses croyances bouddhistes. Comme il ne parvient pas à l’en dissuader, Jacques Kisaï s’en sépare et confie son fils à une famille chrétienne. Lui-même part à Osaka à la recherche d’un emploi.

Reçu par les jésuites Kisaï est pour un temps le portier de leur résidence. Comme il connait bien les éléments de la foi chrétienne il est bientôt employé comme catéchiste.

En 1596 il devient novice jésuite : il a demandé à être reçu comme frère coadjuteur.

Le 26 décembre 1596 le novice est arrêté avec les autres jésuites qui se trouvaient dans la résidence ce jour-là. Ils sont conduits à la prison de Miyako où ils rejoignent six franciscains et leurs tertiaires.

Le 3 janvier 1597 les prisonniers sont condamnés à mort.

Pour l’exemple l’exécution par crucifiement aura lieu à Nagasaki où se trouve une communauté chrétienne relativement importante.

Un long et très pénible voyage de quatre semaines les conduit de Miyako à Nagasaki.

Peu avant d’arriver à Nagasaki un prêtre jésuite parvient à entrer en contact avec eux. Il entend leurs confessions et reçoit les vœux religieux de Jean Soan de Goto et de Jacques Kisai.

Le 5 février 1597 James Kisaï est crucifié avec les autres sur la colline de Nagasaki, aujourd’hui connue sous le nom de 'Colline des martyrs’.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Kisa%C3%AF



 

 

Pierre Baptiste Blásquez

 

Pierre Baptiste Blásquez

 

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Les martyrs de Nagasaki

Di Japanese artist likely of the Jesuit Painting School in Japan. He was probably an eyewitness and exiled from Japan. - Patrimonio del Fondo Edifici di Culto, amministrato dal Ministero dell’Interno, on loan to Chiesa del SS. nome di Gesù, Rome. https://artsandculture.google.com/asset/martyrdom-of-nagasaki-1622/DQFLAKHCh1uePQ, Pubblico dominio, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=111547340

 https://it.wikipedia.org/wiki/Pedro_Bautista_Bl%C3%A1squez


Pierre Baptiste Blásquez, ((es) Pedro Bautista Blásquez), né à San Esteban del Valle (Espagne) le 24 juin 1542 et mort (exécuté) à Nagasaki (Japon) le 5 février 1597, est un missionnaire espagnol franciscain déchaussé du XVIe siècle mort pour la foi chrétienne au Japon.

Il est béatifié le 14 septembre 1627 par le pape Urbain VIII et canonisé par le pape Pie IX le 8 juin 1862.

Avec Paul Miki, il est considéré comme la principale figure des Vingt-six martyrs du Japon.

Il est fêté le 6 février.

Biographie

Entré chez les Frères mineurs déchaussés en 1564, il est d'abord missionnaire en Nouvelle-Espagne [Mexique actuel] puis à partir de 1583 aux Philippines, où il fonde le couvent de San Francisco del Monte, plusieurs hôpitaux ainsi que la basilique Saint-Jean-Baptiste dans le district de Quiapo, à Manille, lieu où il est encore vénéré.

En 1593, désireux d'aller évangéliser le Japon, il s'y rend en tant qu'ambassadeur et agent commercial du roi Philippe II et obtient le droit de séjourner à Nagoya et, après maintes tractations, l'autorisation verbale de prêcher, de fonder des couvents, des hôpitaux, des écoles.

Il est ainsi à l'origine de plusieurs fondations de postes missionnaires entre Osaka et Nagasaki.

Néanmoins les rivalités coloniales européennes font que les missionnaires sont soupçonnés de préparer par leurs activités le terrain à une future invasion militaire par les puissances Européennes.

Le 5 février 1597, avec vingt-cinq autres chrétiens (principalement des Jésuites et des Franciscains), il est arrêté et condamné à mort.

Il est emmené sur la colline de Nishizaka, près de Nagasaki, attaché à une croix et transpercé de deux coups de lance.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Baptiste_Bl%C3%A1squez