Vénérable Pedro Legaria Armendariz
Pedro Legaría Armendáriz né à Tudela le 2 juin 1878.
Il est décédé le 30 septembre 1956.
Il a été déclaré vénérable le 20 décembre 2001 par le pape Jean-Paul II.
Vénérable Pedro Legaria Armendariz
Pedro Legaría Armendáriz né à Tudela le 2 juin 1878.
Il est décédé le 30 septembre 1956.
Il a été déclaré vénérable le 20 décembre 2001 par le pape Jean-Paul II.
Vénérable Bruno Marchesini
(Traducteur Google)
Bruno Marchesini (8 Août 1915-1929 Juillet 1938) était un catholique italien séminariste qui a étudié pour le sacerdoce à Bologne, mais il est mort avant qu'il ne puisse être ordonné comme prêtre.
Il a été déclaré vénérable en 2001 après que le pape Jean-Paul II eut reconnu sa vie de vertu héroïque.
Le miracle nécessaire à sa béatification est actuellement sous enquête.
Bruno Marchesini est né le 8 août 1915 à Bologne de parents riches en vertus chrétiennes.
Enfant, il était désireux de s'engager dans des actes qui lui permettaient de professer la foi et de rendre service aux autres.
Sa vocation est venue comme un enfant et il a décidé qu'il voulait devenir prêtre.
Le cardinal archevêque de Bologne Giovanni Nasalli Rocca di Corneliano est venu dans son village et a été captivé par l'intelligence de Marchesini.
Il a demandé s'il voulait devenir prêtre, ce à quoi Marchesini a répondu par l'affirmative.
Marchesini a commencé ses études pour la prêtrise à Bologne - sous la direction de Mgr Cesare Sarti - et à Rome jusqu'en 1934, date à laquelle il a changé d'établissements d'enseignement ; il y a terminé ses études théologiques.
Ses professeurs et ses camarades de classe admiraient sa piété et sa douceur et l'admiraient pour être un individu honnête et modeste.
Il a obtenu d'excellents résultats à ses examens et était en compétition pour une place gratuite dans une grande institution d'enseignement à Rome.
Il contracta une méningite à l'âge de 23 ans.
Son journal du milieu de 1936 révéla qu'il se consacrait au Cœur Immaculé de la Sainte Mère.
Il savait vers Noël 1937 que la fin était proche et il s'est donc offert à Jésus-Christ.
Il mourut en 1938 des suites de sa maladie.
Le 21 octobre 1949, le cardinal Giovanni Nasalli Rocca di Corneliano autorisa le transfert de sa dépouille.
Le processus de béatification a commencé le 28 juin 1955 dans un processus local qui a duré jusqu'en 1964 et lui a accordé le titre posthume de Serviteur de Dieu. La ratification formelle du processus de Bologne a été accordée le 1er juin 1990 afin de permettre au processus de passer à la phase suivante. Le Positio - documentation sur sa vie et sa vertu - a été soumis à la Congrégation pour les Causes des Saints en 1993 pour une évaluation plus approfondie.
Le Pape Jean-Paul II lui a conféré le titre de Vénérable le 20 décembre 2001 après la reconnaissance de sa vie de vertu héroïque .
Le miracle requis pour la béatification a fait l'objet d'une enquête dans un tribunal diocésain et a été ratifié le 3 juin 2000. Le conseil médical de Rome s'est réuni pour discuter du miracle et a approuvé la guérison en tant que telle le 1er décembre 2011.
Source :
https://en.wikipedia.org/wiki/Bruno_Marchesini
Vénérable Giuseppe Gualandi
Il est est né à Bologne le 9 juin 1826.
Il est mort le 14 juillet 1907.
Il a été déclaré vénérable le 24 avril 2001 par le pape Jean-Paul II.
Saint Jean Yi Yun-il
Par Alexjes98 — Travail personnel, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=138152330
Jean Yi Yun-il (en coréen 이윤일 요한) est un fermier et catéchiste laïc chrétien coréen, martyr et saint, né en 1823 Hangju, dans le Chungcheong en Corée, mort décapité le 21 janvier 1867 à Daegu, dans le Gyeongsang.
Reconnu martyr et béatifié en 1968 par le pape Paul VI, il est solennellement canonisé à Séoul par Jean-Paul II le 6 mai 1984 avec 102 autres martyrs de Corée.
Saint Jean Yi Yun-il est fêté le 21 janvier et le 20 septembre.
Jean Yi Yun-il naît à Hangju, dans la province du Chungcheong, en Corée, vers 1823.
Il part s'installer à Mungyeong dans la province du Gyeongsang.
Il est d'une famille catholique qui compte plusieurs catéchistes.
Il travaille comme fermier, se marie et a plusieurs enfants.
De grande taille, barbu, il est réputé pour sa foi, sa piété et sa simplicité de caractère.
Comme catéchiste, il fait de son mieux pour transmettre la foi.
Au moment des persécutions, en novembre 1866 ou début décembre, il voit des policiers approcher de sa maison mais ne s'enfuit pas.
Aux policiers qui cherchent des catholiques, il répond qu'il est catholique mais n'en connaît pas d'autre dans le voisinage.
Il y a tout de même huit personnes de sa maisonnée parmi les 20 arrêtées ce jour-là.
Ils sont emmenés d'abord à la prison de Mungyong, où Jean Yi est torturé une première fois, et ses biens sont saisis. Ils sont ensuite transférés à celle de Sangju. Jean Yi y refuse de renier sa foi.
Les responsables catholiques sont mis à part. Jean Yi en fait partie ; il est condamné à mort le 4 janvier 1867.
Il recommande à ses enfants de rentrer chez eux, de servir Dieu et de suivre son exemple.
Il est de nouveau torturé, puis emmené à Daegu.
Dans cette nouvelle prison, il passe son temps à prier, réconforte ses camarades de cellule et les engage à tenir bon dans la foi.
Jean Yi Yun-il est décapité le 21 janvier 1867 dans la banlieue de Daegu, capitale de la province du Gyeongsang.
Jean Yi Yun-il est reconnu martyr par décret du Saint-Siège le 4 juillet 1968 et ainsi proclamé vénérable. Il est béatifié (proclamé bienheureux) le 6 octobre suivant par le pape Paul VI.
Il est canonisé (proclamé saint) par le pape Jean-Paul II le 6 mai 1984 à Séoul au sein d'un groupe de 103 martyrs de Corée.
Saint Jean Yi Yun-il est fêté le 21 janvier, jour anniversaire de sa mort, et le 20 septembre, qui est la date commune de célébration des martyrs de Corée.
Source :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Yi_Yun-il
Vénérable Vendelin Vosnjak
(Traducteur Google)
Vendelin Vošnjak (Šenbric près de Velenje, Slovénie, 13 septembre 1861 - Zagreb, 18 mars 1933), prêtre slovène d'origine croate, franciscain, premier provincial de la province franciscaine croate de St. Cyrille et Méthode, Visiteur Général, Membre du Conseil Suprême de l'Ordre Franciscain à Rome, Serviteur de Dieu, Candidat à Saint.
Il est né en 1861 à Šenbric près de Velenje (anciennement Konovo).
Lors de son baptême, il a reçu le nom de Michael.
Ses ancêtres sont des Croates de Bosnie, qui ont déménagé en Slovénie. Le nom de famille Vošnjak est la version slovène du mot Bošnjak.
Il a perdu sa mère tôt.
Son père était un chrétien pieux.
Il a grandi avec huit frères et sœurs.
Son cousin, qui était l'archiprêtre de Ptuj, s'occupait de son éducation et de sa vie religieuse.
Il a terminé l'école primaire et le lycée classique à Ptuj.
En septembre 1878 il fut admis au noviciat du monastère franciscain de Zagreb et reçut le nom religieux de Vendelin.
Il a étudié la philosophie et la théologie Pécs et Varaždin. Vœux religieux solennels à Varazdin 1882. Et le prêtre a été ordonné à Graz 1884. Pendant les deux années suivantes, il étudia la théologie à l' Université jésuite d'Innsbruck. Il est à Zagreb depuis 1886. jusqu'en 1889. maître clerc et maître de conférences en philosophie à l'École de philosophie, et de 1889 à 1895. Il a le même devoir à Varaždin.
Dans la province franciscaine de St. Ladislava était le Définiteur, le Gardien de Zagreb, le Visiteur de l'Ordre Séculier Franciscain, le Commissaire du Monastère et le Provincial. Par décision de Rome, 3 juin 1900. la nouvelle province franciscaine croate de St. Cyrille et Méthode basés à Zagreb, et Vendelin Vošnjak a été élu provincial. Jusque-là, les monastères franciscains de Croatie appartenaient à une province franciscaine slovène et à deux provinces franciscaines hongroises. Vendelin Vosnjak est provincial depuis 1900. jusqu'en 1908 . et depuis 1924. jusqu'en 1927. Quinze fois, il fut le visiteur général de toutes les provinces franciscaines du Royaume de Yougoslavie et de certaines provinces d'Autriche, d'Allemagne et de République tchèque.
Pendant six ans, il fut membre de l'administration suprême de l'ordre franciscain à Rome.
Il avait des capacités extraordinaires et une vie vertueuse.
Il mourut au monastère franciscain de Kaptol à Zagreb en 1933.
En 1963, une procédure a été engagée pour le déclarer béni. Peritus dans sa cause étaient le P. Ante Stantić et le P. Aleksa Benigar
Source :
https://hr.wikipedia.org/wiki/Vendelin_Vo%C5%A1njak
Vénérable Maria Librada Orozco Santa Cruz
Elle est née le 20 juillet 1834 à Arandas, Jalisco, Mexique.
Elle est morte le 20 mars 1926.
Elle a été déclarée vénérable le 18 décembre 2000 par le pape Jean-Paul II.
Vénérable Giuseppe Michele Ghezzi
Il est né le 19 août 1872, à Lecce en Italie.
Il est mort le 9 février 1955.
Il a été déclaré vénérable le 18 décembre 2000 par le pape Jean-Paul II.
Vénérable María Luisa Josefa del Santísimo Sacramento
Mère María Luisa Josefa du Saint-Sacrement, également connue sous le nom de Mère Luisita (21 juin 1866 – 11 février 1937) est une religieuse catholique mexicaine, fondatrice des Carmélites du Sacré-Cœur de Mexico et des Sœurs Carmélites du Très Sacré-Cœur de Los Angeles (congrégations rattachées à l'Ordre des Carmes déchaux).
Son procès en béatification est en cours, elle a été déclarée vénérable en 2000.
María Luisa de la Peña y Navarro est née à Atotonilco el Alto (état de Jalisco au Mexique) le 21 juin 1866.
Elle est la troisième enfant d'une fratrie de 14.
Très jeune elle se sent appelée à entrer dans les ordres. Cependant, pour obéir à ses parents, elle se marie à l'âge de 15 ans avec Pascual Rojas âgé alors de 30 ans.
Son mari est un médecin réputé.
Ils construisent un petit hôpital, l’hôpital du Sacré-Cœur, afin de soigner les populations les plus pauvres.
Après 14 années de vie commune heureuse, son mari décède et elle reste veuve.
Huit ans plus tard, Maria Luisa entre chez les carmélites déchaussées et s'immerge dans la spiritualité carmélitaine.
Après sept mois dans le couvent, elle demande à l'évêque l'autorisation de retourner dans son hôpital qui a besoin de son aide (pour gérer l’hôpital).
Avec son autorisation, elle revient à l’hôpital et ouvre également une école et un orphelinat. Plusieurs jeunes femmes viennent la rejoindre pour l'aider dans son action.
Maria souhaitant toujours entrer dans les ordres, l'évêque lui recommande de rejoindre une congrégation religieuse existante. Maria obéit et rejoint les Servantes du Très-Saint-Sacrement.
Mais quatre années plus tard, l'évêque la rappelle et lui redemande de rejoindre l’hôpital et l'orphelinat qui a besoin d'elle.
À nouveau, la religieuse obéit.
Comme nombre de vocations affluent autour de Maria Luisa, l'évêque lui suggère de fonder une nouvelle congrégation religieuse pour organiser son action.
Le 2 février 1921 la congrégation des Sœurs Carmélites du Sacré-Cœur est fondée. Sa vocation : « unifier la spiritualité carmélitaine et l'apostolat actif ».
En 1927, débute une série de persécutions religieuses de la part du gouvernement anticatholique.
Maria Luisa doit fuir son pays. Déguisée, elle quitte clandestinement le Mexique et rejoint les États-Unis.
Le 24 juin 1927 elle arrive à Los Angeles avec deux autres religieuse.
Elle y retrouve d'autres réfugiés mexicains.
Maria Luisa reprend son travail d'aide aux plus pauvres dans le diocèse de Los Angeles et fonde une nouvelle communauté religieuse.
En deux années, elle va fonder sur le sol américain pas moins de 12 nouveaux couvents de religieuses, un noviciat et une congrégation : la congrégation des Sœurs Carmélites du Très Sacré-Cœur de Los Angeles (congrégation sœur de la première communauté qu'elle avait déjà fondée au Mexique).
En 1929, elle rentre au Mexique (à Guadalajara) pour reprendre son travail à l’hôpital, tout en continuant de diriger à distance les religieuses restées en Californie.
Néanmoins, au Mexique, la religieuse doit continuer à se cacher du gouvernement.
Mère Luisita souffre de diverses maladies et du manque de nourriture.
Mère Luisita décède le 11 février 1937.
En 1942 son corps est secrètement exhumé pour être enterré à Guadalajara.
En 1966 sa dépouille est exhumée une nouvelle fois et déposée dans sa ville natale de Atotonilco el Alto.
En 1998, sa dépouille est placée dans une chapelle dédiée à la religieuse (dans la ville de Atotonilco el Alto).
En 1981 s'ouvre le procès en béatification de Maria Luisa. Le 25 juillet 1986, le décret de validité (de la procédure) est signé. Le 1er juillet 2000, le pape Jean-Paul II signe le décret de reconnaissance des vertus héroïques, lui donnant le titre de vénérable. La procédure en béatification est toujours en cours.
Sa fête est fixée au 11 février.
La vénérable Mère Maria Luisa Joséfa du Très Saint Sacrement est choisie comme patronne de la congrégation The Servants of the Lord and the Virgin of Matara.
Source :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Marie-Louise-Jos%C3%A8phe_du_Saint-Sacrement
Vénérable Felice di Jesus Rougier
(Félix de Jésus Rougier)
Félix de Jésus Rougier, né le 17 décembre 1859 à Meilhaud et décédé le 10 janvier 1938 à Mexico, est un prêtre catholique français, membre de la Société de Marie.
Il est connu pour ses activités missionnaires en Amérique latine et pour la fondation de quatre congrégation religieuses : les Missionnaires de l'Esprit Saint, les Filles de l'Esprit-Saint, les Sœurs missionnaires guadalupéennes du Saint Esprit et les Oblates de Jésus Prêtre.
L'Église catholique a entamé la procédure de sa béatification et l'a reconnu vénérable.
Félix Rougier naît le 17 décembre 1859 dans une famille modeste et profondément chrétienne de Meilhaud.
Au départ, il pense devenir médecin mais après avoir assisté à une conférence de Mgr Eloy sur les missions en Asie, il décide de s'orienter vers la prêtrise.
Felix Rougier pendant ses années de séminaire
Source photo : https://en.wikipedia.org/wiki/F%C3%A9lix_de_Jes%C3%BAs_Rougier
Projetant de devenir missionnaire, il intègre la Société de Marie en 1878 ; il est âgé de 19 ans.
Pendant le temps du séminaire, il tombe gravement malade et son ordination sacerdotale est compromise.
Il invoque l'intercession de saint Jean Bosco et il guérit miraculeusement.
Il est finalement ordonné prêtre le 24 septembre 1889.
Pendant ses années en Colombie
Source photo : https://en.wikipedia.org/wiki/F%C3%A9lix_de_Jes%C3%BAs_Rougier
Il désire exercer son ministère en Océanie mais ses supérieurs le destinent pour la Colombie.
Là, il doit faire face aux désastres causés par la Guerre des Mille Jours.
Il exerce d'abord comme aumônier militaire puis développe une importante œuvre éducative auprès de la population.
Il ne fait pas de différence entre les différents clans ennemis et administre les sacrements à tous ; il doit faire face à de sérieuses menaces et risquera plusieurs fois sa vie.
Felix Rougier pendant ses années en Espagne
Source photo : https://en.wikipedia.org/wiki/F%C3%A9lix_de_Jes%C3%BAs_Rougier
En février 1902, il est envoyé au Mexique.
L'année suivante, il rencontre Concepción Cabrera de Armida au cours d'une confession.
Elle lui confie que le Seigneur lui aurait fait savoir, au cours d'une expérience mystique, qu'il aurait un rôle important à jouer dans l'Église au Mexique et qu'il donnerait naissance à une nouvelle famille religieuse.
Félix de Jésus Rougier voit cette rencontre comme une révélation de Dieu à son égard.
Il part pour la France afin d'obtenir la permission de ses supérieurs de fonder une nouvelle congrégation.
Il doit attendre dix ans, dans une totale obéissance envers sa hiérarchie.
Après avoir obtenu l'autorisation du Saint-Siège, c'est le 25 décembre 1914, dans la Basilique Notre-Dame de Guadalupe de Mexico qu'il donne naissance aux Missionnaires de l'Esprit-Saint.
Le but de cette nouvelle congrégation est l'évangélisation, par tous les moyens possibles.
On compte parmi les premiers membres Moisés Lira Serafín ou encore Pablo Maria Guzmán Figueroa, qui vont s'illustrer comme des figures importantes de l'Église catholique au Mexique au cours du XXe siècle.
Le père Rougier veut lui-même intégrer sa congrégation, mais il ne peut pas passer de la Société de Marie aux Missionnaires de l'Esprit-Saint sans dispense pontificale. C'est par une autorisation spéciale que le pape Pie XI lui permet de faire sa profession religieuse dans la congrégation qu'il a fondé, le 9 février 1926.
Les Missionnaires de l'Esprit-Saint débutent dans la difficulté.
En effet, ils voient le jour à l'aube des persécutions menées par le gouvernement à l'encontre du clergé mexicain.
Malgré la répression, les vocations affluent et l'œuvre du père Rougier connaît du succès.
Par la suite, il fonde trois instituts féminins :
Après une douloureuse maladie, Félix de Jésus Rougier meurt à Mexico le 10 janvier 1938, entouré de quelques de ses religieux, auquel il confie : « charité, plus de charité ».
Ses funérailles attirent plusieurs centaines de fidèles, qui le considèrent comme un saint.
Ses restes mortels sont enterrés dans le Temple San Felipe de Jesús de Mexico, adjacent la maison-mère des Missionnaires de l'Esprit-Saint.
Suite à la réputation de sainteté du père Félix de Jésus Rougier, une enquête informative débute en 1955. Le processus de béatification et de canonisation débute le 15 décembre 1981 dans l'archidiocèse de Mexico. L'enquête diocésaine se clôture le 27 février 1986 et c'est sous la forme d'une Positio qu'elle est envoyée à Rome pour être étudiée par la Congrégation pour les causes des saints.
Le 1er juillet 2000, le pape Jean-Paul II reconnaît l'héroïcité de ses vertus et le déclare vénérable.
Depuis le 18 octobre 1996, une enquête sur un présumé miracle obtenu par l'intercession du père Rougier est en cours. Si celui-ci est reconnu comme authentique par le Saint-Siège il pourra être proclamé bienheureux.
Source :
https://fr.wikipedia.org/wiki/F%C3%A9lix_de_J%C3%A9sus_Rougier
Vénérable Casimiro Barello
(Traducteur Google)
Casimiro Barello (Cavagnolo, 31 janvier 1857 - Alcoy, 9 mars 1884) était un prêtre italien.
Casimiro est né dans une famille de paysans piémontais, Giuseppe et Angela, profondément croyants en la foi chrétienne.
Il a célébré les sacrements du baptême et de la confirmation.
Sa jeunesse a été troublée par la mort de sa mère alors qu'il n'avait que quinze ans.
Casimiro, après cet événement, a vu la Vierge Marie apparaître deux fois ce qui l'a incité à commencer un pèlerinage à travers l'Italie, la France et l'Espagne.
Parmi les nombreux pèlerinages qu'il fit, Barello alla jusqu'à Alcoy en Espagne, où il mourut plus tard.
Casimiro Barello a effectué trois pèlerinages dans la nation ibérique: le premier visait la tombe de l'apôtre Jacques à Saint-Jacques-de-Compostelle.
Il a traversé le sud de l'Espagne et le Portugal le long de la côte ibérique.
De retour à Cavagnolo, le jeune homme entreprend la conscription militaire dans le 72e régiment d'infanterie de Pescara.
Le deuxième pèlerinage en Espagne: en réalité, Casimir, embarqué à Livourne sur un bateau à destination de la Terre Sainte, mais une terrible tempête lui fit naufrage sur la côte espagnole près de Barcelone. C'était l'année 1880. A Barcelone, il a servi à l'hôpital S. Maria, mais après quelques mois, il a abandonné son service et est parti pour Tarragone.
À l'hiver 1882, Casimiro reprend la route de Cavagnolo. Avant d'arriver à destination, Jésus apparut à celui qui le poussa et le fit arriver sain et sauf dans sa terre natale.
Sur le chemin du retour, à Toulouse en France, il a été hospitalisé par un groupe de psychiatres qui ont commenté sa foi: " Vous êtes un maniaque religieux! ".
A cette affirmation il a répondu: " Merci beaucoup messieurs! Je suis heureux de cette folie de la mienne envers la foi en Dieu ".
Lorsqu'il arriva en Italie, ses compagnons du village le virent épuisé mais il n'abandonna pas et alla chaque jour à la messe et resta à genoux toute la journée pour prier Dieu.
En 1883, Casimiro reprit son voyage en Italie, peut-être le plus humiliant pour le jeune homme: prison de Gênes, Modène et soumis à un interrogatoire à Lanciano. Mais il s'est aussi rendu à Frosinone et Agnone. Son dernier arrêt fut Campobasso où il fut emprisonné et ramené à Cavagnolo.
Le dernier pèlerinage de Casimir a eu lieu en Espagne.
Il quitta Cavagnolo le 3 janvier 1884 pour l'Espagne, traversant villes et villages jusqu'à Alcoy, où il arriva le 23 février.
Il était hébergé par un commerçant local, qui avait une femme enceinte mais malade.
Avec ses prières, Casimiro a guéri la femme et à la naissance de l'enfant, il a reçu le nom d'Angelo Casimiro.
Quelques jours après cet épisode, Casimiro Barello est mort dans la maison du marchand.
Il est enterré à Alcoy dans l'église de San Giorgio.
Il a été reconnu comme vénérable et le processus de béatification est en cours à Rome à la Sacrée Congrégation des Rites.
Source :
https://it.wikipedia.org/wiki/Casimiro_Barello
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