Clermont Ferrand, la basilique Notre-Dame du Port

Clermont Ferrand
La basilique Notre-Dame du Port

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Basilique Notre-Dame-du-Port



La basilique Notre-Dame-du-Port est une église collégiale de style roman, située à Clermont-Ferrand dans le quartier du Port entre la place Delille et la cathédrale.

Du Xe siècle à la Révolution, elle fut desservie par une communauté de chanoines, sécularisés dès avant le XIIIe siècle.

Elle est élevée au rang de basilique mineure en 1881 par le pape Léon XIII.
Classée monument historique sur la première liste de 1840, elle a été inscrite le 2 décembre 1998 au Patrimoine Mondial de l'Unesco au titre des Chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.

Son nom viendrait de ce qu'elle a été construite dans le quartier dit du « Port », en latin portus, c'est-à-dire l'entrepôt, l'endroit où l'on apportait et stockait les marchandises.

L'ancienne Porte Royale qui se situait en bas de l'actuelle rue du Port était le lieu par lequel arrivaient les marchandises dans la ville, ce qui explique sa position de lieu de passage et d'échange.

Néanmoins, le Portus n'est pas attesté dans les écrits anciens avant 1065.

L'église a d'abord porté le nom de Sainte-Marie Principale, ainsi distinguée de l'église-mère Sainte-Marie (la cathédrale) et de Sainte-Marie-d'Entre-Saints à l'abbaye de Saint-Alyre.

 

Histoire

La construction médiévale de l'église

Selon la tradition, une première église aurait été fondée à l'emplacement d'une source gallo-romaine au VIe siècle par l'évêque saint Avit.

Incendiée et ravagée par les Normands au IXe siècle, elle aurait été relevée par l'évêque saint Sigon.

Cette légende relève selon Emmanuel Grélois d'une mise en scène effectuée par les chanoines pour inventer une ancienneté à leur église et se créer une légitimité.

Cependant, il est certain qu'un édifice antérieur a existé avant l'édifice roman puisque le chapitre est présent dès le milieu du Xe siècle dans les sources.

L'église actuelle a été construite entre les années 1120-1130 et la fin du XIIe siècle, peut-être même encore dans le début du XIIIe siècle pour l'aménagement intérieur et la mise en place des vitraux.

La pierre utilisée est de l'arkose blonde, un grès feldspathique qui provient des carrières de Montpeyroux.

L'église est gravement endommagée par les forts séismes qui secouent la région en 1478 et plus particulièrement en 1490.

Il en résulte la chute du pinacle de la tour du transept qui est remplacé par un clocheton à bulbe.

 

Époque moderne

C'est la période faste pour Notre-Dame du Port avec le développement de la procession à la Vierge dès le XVIIe siècle.

L'influence des chanoines de cette collégiale urbaine grandit dans la cité.

Pour faire face à l'affluence grandissante des fidèles, les escaliers d'accès à la crypte par la nef sont remplacés par des escaliers percés dans les absidioles nord et sud qui permettent une circulation plus efficace dans la crypte.

 

Période révolutionnaire

Notre-Dame du Port a beaucoup souffert de la Révolution. Entre 1792 et 1795, elle perd la plupart du mobilier présent à l'intérieur (meubles, reliquaires et châsses), les cloches sont fondues et les deux clochers menaçant ruines sont abattus.

Le 7 ventôse an VIII (8 février 1800), la décision est prise de raser l'édifice pour le remplacer par un marché « aux toiles, au chanvre et aux fils » à la demande des habitants du quartier.

Elle est sauvée par une pétition adressée aux Administrateurs du Puy-de-Dôme.

 

Restauration des XIXe et XXe siècles

Rendue au culte par le concordat de 1802, elle est dans un état déplorable et de sérieuses restaurations sont menées pour tenter de lui rendre sa splendeur passée.

 

Première restauration

La première restauration est menée par l'ingénieur Ratoin entre 1823 et 1827.

C'est lui qui reconstruisit un nouveau clocher à la place du clocher occidental abattu à la révolution et créa donc ce clocher qui rompt actuellement avec le reste de l'église par son esthétique néo-romane en pierre de Volvic.

 

Deuxième restauration

La seconde campagne de restauration est dirigée par Aymon Gilbert Mallay en 1843.

Les travaux de restauration se concentrent alors sur trois points :
  • reconstruction de la tour de croisée du transept ;
  • rétablissement des escaliers d'accès à la crypte depuis la nef (comme on le voit actuellement) et restauration des chapelles orientées des bras du transept ;
  • remplacement des tuiles romaines par des dalles de pierre à recouvrement en pierre de Volvic.
Par ailleurs, en 1863 il supprime le mur qui clôture la basilique pour le remplacer par les grilles en fer forgé que l'on observe aujourd'hui. Ceci permet d'avoir une vue dégagé sur le chevet ainsi qu'un accès de plain-pied depuis la rue Couronne.

 

Troisième restauration

Elle est l'œuvre de Gabriel Ruprich-Robert, et dure de 1900 à 1917.

Le travail de restauration se concentra surtout sur l'intérieur puisqu'il supprima les badigeons afin de mettre la pierre à nue.

Il a par ailleurs remplacé les joints à la chaux par des joints en ciment.

 

Restauration contemporaine

 
La basilique vue du sud

Extérieur : novembre 2003 - novembre 2006

La première phase de la restauration s'est déroulée sur les extérieurs avec un nettoyage des pierres (ou remplacement à l'identique).

Puis les joints en ciment ont été supprimés pour revenir à ceux d'origine, faits à la chaux.

Enfin, le plus visible lorsqu'on voit la basilique est le rétablissement des tuiles canal comme à l'origine en lieu et place des dalles de pierre de Volvic posées au XIXe siècle, qui posaient des problèmes d'étanchéité.

 

Intérieur : octobre 2006 - novembre 2008

Une importante campagne de rénovation de l'intérieur a débuté en octobre 2006 et s'est terminée en novembre 2008.

Ces travaux ont consisté dans le nettoyage de toutes les pierres, la suppression des joints de ciments remontant à la rénovation du XXe siècle, le rétablissement d'un badigeon sur les parements, la restauration des chapelles et absidioles peintes par Anatole Dauvergne au XIXe siècle et du mobilier installé dans l'église.

Le dimanche 7 décembre 2008, la statue de la Vierge noire a été réinstallée dans la chapelle souterraine de la basilique, marquant ainsi la réouverture au culte de l'édifice (elle avait été conservée dans la cathédrale de Clermont-Ferrand pendant les travaux de rénovation).

 

Restaurations prévues

2018-2019 : La crypte et la sacristie de l'église vont être rénovées. Les ex voto du XIXe siècle, qui ont été stockés, vont être réinstallés après assainissement du lieu.

2018-2020 : Aménagement des abords de Notre-Dame-du-Port : restauration des bâtiments au sud de la basilique, du parvis et des rues adjacentes.

 

Dévotion mariale

 
Vierge noire miraculeuse de la chapelle souterraine. Pacquin, 1734

La Vierge noire souterraine

La première trace que l’on observe d’une Vierge en majesté à Clermont est celle d'Alleaume dont les recherches les plus récentes tendent à prouver qu'elle aurait été commandée par Étienne II, non pour la cathédrale, mais pour Sainte-Marie-Principale. Celle-ci est d'une importance particulière puisqu'il s'agit d'une des toutes premières Vierges en majesté d'Occident.

La légende de Notre-Dame-du-Port fait remonter la statue de la Vierge à Saint Avit au VIe siècle, il n’est cependant pas possible de retrouver des traces certaines de son existence à une époque aussi ancienne. D'autres restes d'une Vierge plus ancienne sont encore visibles, il s'agit de deux têtes de la Vierge et du Christ qui ont été retrouvées dans un trou de boulin lors de restaurations aux XXe siècle. L'usage d'ancien régime était de brûler les statues quand elles étaient trop abîmées pour les refaire selon la dévotion de l'époque, c'est pourquoi nous n'avons quasiment aucune trace des Vierges qui ont précédé celle de 1734.

L'élément le plus ancien concernant la Vierge Noire date de Louis XI qui, en 1468, se déclare dévot à la Vierge noire qu'abrite l'église Notre-Dame-du-Port.

La statue que nous voyons dans la crypte actuellement est une copie de 1734 réalisée par le sculpteur Pacquin. Elle mesure 31 centimètres de haut, est faite en noyer peint de couleur ébène et est inspirée des Vierges de tendresse byzantines.

 

La procession

 
Vitrail du chœur de la basilique - Vierge de Tendresse


La Vierge miraculeuse du Port connaît un essor considérable avec le développement d'une procession à partir de 1614.

À la suite de cette procession faite par crainte d'une famine, on observe une institutionnalisation progressive qui commence dès 1615.

D'abord reconnue par l’évêque qui en fait une fête particulière qui se déroulera les 15 mai, elle est chômée dans la ville, puis dans les faubourg à partir de 1697.

La reconnaissance par la papauté intervient dès 1618 en accordant une « indulgence plénière à tous ceux qui visiterons l’église du Port le jour et fête de la Nativité de la Vierge » pour trois ans.

 

Affluence des fidèles

L’affluence des fidèles semble avoir était très importante auprès de cette Vierge miraculeuse.

En 1723 le directeur de la chapelle de Notre-Dame Souterraine demande ainsi à ce qu’elle « ne soit plus exposée qu’au chœur pendant la grand-messe » pour éviter qu’elle ne se dégrade à cause de l’affluence grandissante des fidèles.

Au cours du XVIIIe siècle, plusieurs travaux témoignent aussi de l'affluence des pèlerins.

Il s'agit principalement des travaux d'embellissement commandés aux cours des années 1730 et 1753 au cours desquelles ont refait entièrement le pavement.

Au XVIIIe siècle afin de faciliter la circulation des fidèles, des escaliers sont aussi aménagés dans les deux absidioles nord et sud pour descendre à la crypte.

 

Le chapitre du Port

Les chanoines du Port ont une grande importance dans le développement de l'église sous l'Ancien Régime.

C'est le second chapitre derrière celui de la cathédrale, tant au niveau des revenus que de l'influence dans la ville.

 

Origine du chapitre

La création du chapitre de chanoines n'est pas antérieure au milieu du Xe siècle, c'est l'œuvre de l'évêque Étienne II.

Il cite le chapitre en 959 et lui donne dans la fin du Xe siècle les moyens financiers et les terres pour construire les bâtiments nécessaires à la constitution et à la vie du chapitre (en particulier le cloître au nord de l'église).

Construite à l'origine dans le quartier de l'église paléochrétienne Saint-Laurent, qu'elle a progressivement supplantée puis remplacée.

Il est constitué de 14 chanoines avec un doyen et un chantre. Plusieurs familles notoires de Clermont ont occupé les stalles du chapitre à l'instar des Champflour.

 

Architecture

On trouve un certain nombre de pierres qui sont des blocs antiques remployés, et, dans le chevet, on observe la présence de pierres volcaniques qui servent à faire une marqueterie inspirée du style mozarabe.

 

Plan de l'église

 
Plans de l'église et de la crypte



Construite en arkose blonde, elle a une harmonie presque parfaite qui est due à l'application du nombre d'or.

Le plan est en croix latine de type basilical à six travées dans la nef flanquée de bas-côtés simples voûtés d'arêtes.

Un transept régulier avec une chapelle semi-circulaire orientée sur chaque croisillon.

La décoration de l'intérieur se caractérise par sa sobriété, avec un chœur surélevé, entouré d'un déambulatoire sur lequel s'ouvrent quatre chapelles rayonnantes.

Le chevet est un exemple de l'art roman auvergnat, comportant de fines mosaïques.

La basilique fait partie des édifices que les historiens d'art (dans les années 50-70) ont appelées « majeures » de Basse-Auvergne et plus précisément des cinq églises majeures de type complet. Les autres représentantes sont :
  • L'église Saint-Austremoine d'Issoire
  • La basilique Notre-Dame d'Orcival
  • L'église de Saint-Nectaire
  • L'église Notre-Dame de Saint-Saturnin.

Bruno Phalip a rappelé pour l'Auvergne l'importance de déconstruire le concept d'école régionale "romane" et de l'appellation de majeur.

 
Vue du chevet de Notre-Dame-du-Port

Chevet

Le chevet de l'église présente une disposition très classique des églises romanes à pèlerinage avec ses toits de différents niveaux qui présentent dans un premier temps les quatre chapelles rayonnantes, puis le déambulatoire et enfin l’élévation principale du chœur.

La spécificité architecturale principale de l'édifice provient d'un élément architectural qui surmonte la croisée du transept et est couronné par le clocher : le massif barlong.

L'élévation progressive des volumes est encore accentuée par les deux toits en appentis de celui-ci qui encadrent la naissance du clocher.

 

Dimensions

  • Longueur : 49 mètres
  • Largeur : 16 mètres
  • Hauteur de la nef : 18 mètres

 

Sculpture

Le parcours iconographique commence dès le chevet à l'extérieur et semble guider le visiteur vers l'intérieur dans une lecture imagée des espaces liturgiques.

Comme à Brioude, des chapiteaux et des modillons (intérieurs et extérieurs) se répondent dans des thèmes-clefs.

La liturgie faisait jouer cette iconographie.

Les images n'était pas fait pour être forcément vues mais leur présence suffisait à accentuer le caractère sacré de l'édifice.

 

Les chapiteaux

Un ouvrage photographique des chapiteaux de Notre-Dame du Port a été publié avec quelques grilles d'interprétation.

Parmi les plus beaux d'Auvergne, ces chapiteaux ont un décor ornemental à base de feuillages pour les uns, narratif pour les autres : pleins de verve, ils développent une pédagogie devant enseigner la foi chrétienne, l'Ancien et le Nouveau Testament, opposant à la Chute, la Rédemption.

Ainsi, plusieurs grandes thématiques sont observables :
  • Cycle marial : Annonciation, Visitation, Assomption ;
  • Cycle du Salut : Tentation, Adam et Ève chassés du Paradis ;
  • Cycle des Vertus et des Vices : Psychomachie de Prudence, « le combat des vices et des vertus », le suicide de la colère ;
  • Chapiteaux non historiés : Usurier, voleur, oiseaux, centaures, feuillages, ...

 

Le tympan

Le portail sud, orné d'un tympan historié, constitue une rareté en Auvergne, où seul les tympans de Notre-Dame-des-Miracles de Mauriac (Cantal) et de Thuret (Puy-de-Dôme) sont sculptés.

Il est composé de fragments réemployés dont l'emplacement d'origine reste inconnu.

De part et d'autre de la porte, deux sculptures des prophètes Isaïe (à gauche) et Jean-Baptiste (à droite) sont des remplois du XIe siècle.

On dessus de la porte, dans le linteau en bâtière on peut reconnaitre l'histoire de l'enfance du Christ : adoration des mages, présentation au temple, et baptême par Jean-Baptiste dans lesquels on retrouve des traces de polychromie ancienne.

Au dessus, dans un arc de décharge un Christ en gloire est entouré par deux séraphins. Ses pieds reposent sur un lion et un taureau symbolisant les évangélistes Marc et Luc.

En haut à gauche se développe un représentation de l'Annonciation (à gauche) et une Nativité (à droite).


Portail Sud

Annonce à Zacharie de la naissance du Christ

Marie inscrite sur le livre de vie

La charité contre l'avarice - Stephanus offre les chapiteaux

Détail de la bataille de la charité contre l'avarice

Les vitraux

Il n'existe plus un seul vitrail médiéval dans la basilique, car tous ont été fabriqués à partir du XIXe siècle. Plusieurs maîtres-verriers se sont succédé pour leur réalisation.

Les premiers vitraux ont été réalisés par la manufacture de Sèvres en 1834 et représentaient des grisailles qui ont été remplacés par la suite. Plusieurs sont encore visibles, notamment dans le chœur.

Les vitraux du déambulatoire et des chapelles rayonnantes ont été réalisés par la suite pour remplacer les vitraux ornementaux par des vitraux historiés. Ils ont été réalisés par Étienne Thévenot entre 1842 et 1844 et présentent, à la manière médiévale, des scènes bibliques, presque toutes issues du Nouveau Testament.

Les vitraux de la nef sont les plus tardifs dans le XIXe siècle. Ils ont été réalisés par Félix Gaudin en 1886-1887 à l’exception du dernier vitrail créé par Lucien Lachaise en 1899. Ils représentent l'histoire légendaire de Notre-Dame-du-Port, de sa construction par saint Avit aux événements du XVIIIe siècle.

Enfin, le dernier vitrail posé dans l'église est celui de la façade ouest, au dessus de l'orgue. Réalisé par Jean Mauret en 1984, il représente dans un style contemporain l’Arbre de Vie, et se situe en regard avec l’Arbre de Jessé dans l’axe du chœur.

Exemples de vitraux de la basilique

Arbre de Jessé. Axe du chœur. 1844. Thévenot


Scènes du Nouveau Testament. 1844. Thévenot

L'histoire de Notre-Dame-du-Port. 1866. Gaudin

L'histoire de Notre-Dame-du-Port. 1899. Lachaise

Arbre de vie. Au dessus de l'orgue. 1984. Mauret

  

Œuvres remarquables

 
Annonciation de Philippe de Champaigne - Transept sud de Notre-Dame-du-Port

Tableaux

Des tableaux du XVIIe et XVIIIe siècle sont présents dans l'église avec deux œuvres particulièrement notoires. Ainsi, on peut découvrir deux Annonciations. La première a été peinte par Philippe de Champaigne en 1643 et l'autre a été réalisée par Jean Restout entre 1740 et 1750. Le tableau de Philippe de Champaigne est une œuvre particulièrement remarquable et fait partie des huit autres annonciations que cet artiste a peintes et que l'on a conservées.

Jean Restout et son école ont aussi peint d'autres tableaux présents dans l'église : une Adoration des mages, Le Repos de la Sainte Famille pendant la fuite en Égypte, ou encore une Cène.

 
Vierge allaitant, 1380-1420

Statues

La Vierge noire souterraine est sans conteste la statue la plus célèbre de Notre-Dame-du-Port.

Cependant, d'autres pièces sont présentes dans l'église :
  • Une Vierge allaitant qui est certainement la plus belle pièce. Réalisée en calcaire parisien, elle était entièrement polychrome et a été sculptée en Île de France à la fin du XIVe siècle. Elle se situe devant la chapelle du transept sud de la basilique.
  • Une Pietà polychrome et dorée des XVIIe ou XVIIIe siècle, taillée dans du bois de tilleul.
  • Un Sacré-Cœur de Jésus du XIXe réalisé par Jean-Marie Bienaimé Bonnassieux, le même qui a réalisé la statue de Notre-Dame-de-France au Puy-en-Velay.

 

Galerie

Le chevet avec ses mosaïques


Chevet sous la neige


Porche occidental de l'église


Détail de l'Assomption


Détail de chapiteau

Détail de chapiteau

Détail : chapiteau extérieur de l'absidiale centrale, face sud

Le chevet en relief anaglyptique

Vitraux d'une des chapelles


Vitrail représentant la vie du Christ

Vie spirituelle

La basilique Notre-Dame du Port fait partie de la paroisse Notre-Dame de Clermont avec comme responsable depuis septembre 2011, le curé Paul Destable.

La procession de la Vierge miraculeuse a toujours lieu actuellement, tous les dimanches qui suivent le 15 mai. Elle donne lieu à une période de festivité pour la basilique et son quartier.

 

Cinéma

La scène d'ouverture du film Ma nuit chez Maud, d'Éric Rohmer se déroule dans la basilique : Jean-Louis Trintignant y croise Marie-Christine Barrault.

Source :

Clermont-Ferrand, la basilique Notre-Dame du Port















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