Marie- Louise Nerbolliers

Marie- Louise Nerbolliers


Marie-Louise NERBOLLIER est née à Lyon le 30 Novembre 1859.
A l'âge de 24 ans, elle eut, à partir de Mars 1884, des apparitions de la Vierge Marie à Lyon(21ème), rue d'Égypte (devenue par la suite la rue Charles Dullin).

Puis la Sainte Vierge lui demanda d'aller à la soupente de la rue Bonnet à la Croix Rousse, le lieu principal des apparitions de la Vierge à Anne-Marie Coste en 1882-1883, et sa mission fut la suite de celle confiée à Anne-Marie Coste.
Ensuite à la demande de la Sainte Vierge, Marie-Louise se rendit à Diémoz où les apparitions se poursuivirent.
La première apparition à Diémoz eut lieu le 29 Novembre, à 10h30 du matin.
A cet endroit fut érigé un oratoire.

La Sainte Vierge s'est présentée comme "Notre Dame du Très Saint Rosaire".
Elle était environnée de roses. Elle demanda la prière du Rosaire :

- les mystères joyeux en l'honneur de Notre-Dame de Lestras (la chapelle)
- les mystères douloureux en l'honneur de Notre-Dame duTrès Saint Rosaire (l'oratoire)
- les mystères glorieux en l'honneur de l'Eglise St Roch (l'église de Diémoz).
Derrière l'oratoire se trouvait une source que la Sainte Vierge a touchée de ses mains.

La Sainte Vierge recommanda la frappe de la médaille de l'apparition :
  "Mère Délaissée, priez pour nous".
La Sainte Vierge confirma l'apparition de La  Salette.

L'oratoire existe toujours. Des ex-voto tels que "grâce reçue", "Merci à Marie",
il y en avait beaucoup, mais ils furent cassés, brisés par la suite.
Elle eut des apparitions jusqu'à sa mort, un lieu en garde témoignage en 1908.
Elle vivait la passion les vendredis de carême et durant la Semaine Sainte et s'entretenait avec Jésus.
Marie-Louise était stigmatisée.
Elle mourut à Diémoz le 15 Août 1908 (à près de 49 ans) en la fête de l'Assomption de La Très Sainte Vierge Marie .
Elle fut inhumée une première fois au cimetière de Loyasse sur la colline de Fourvière.
La concession trentenaire expirant en avril 1939 ne fut pas renouvelée.
C'est donc près de 31 ans après son décès que son corps fut exhumé et retrouvé intact.
Un procès-verbal fut dressé et signé par plusieurs témoins les 10 et 12 juillet 1939.
Son corps était intact, elle inclina la tête à droite puis à gauche, comme pour remercier l'assistance, et on lui fit toucher un chapelet de ses mains jointes et fermes.
C'est bien à regret que l'on scella à nouveau le cercueil.
Le 12 juillet  1939, on dut l'ensevelir, dans le cimetière de Pouilly-les-Feurs, dans la Loire, avec des religieuses (concession n°74.  La tombe a encore été déplacée vers 1990.
 Source : http://supermarie.canalblog.com/archives/2008/07/08/9855449.html






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