Montréal (Canada) Georgette Faniel

Montréal (Canada) Georgette Faniel
(1915-2002)


Montréal : Georgette Faniel

Georgette Faniel est née à Montréal en 1915 où elle mena une vie très cachée, dans une intense prière.
Dès l'âge de 6 ans, Jésus lui parle aussi bien au cœur qu'à l'oreille. Elle croit alors que tout le monde entend comme elle la voix de Jésus !
Dès l'âge de 6 ans aussi, elle est atteinte d'une maladie qui la fera de plus en plus souffrir et la rendra invalide, mais ses "compagnons célestes" l'aident à porter cette croix et à unir sa souffrance à celle de Jésus.
Elle vit aussi avec les anges qui l'aident de manière très concrète avec parfois beaucoup d'humour !

En 1950, elle reçoit les plaies de Jésus et vit la Passion.
Le Vendredi Saint de 1950, le Seigneur lui demande si elle accepte d'offrir sa vie, toutes ses souffrances et ses prières pour que l'authenticité des apparitions de Medjugorje soit reconnue ?
Georgette avait entendu parler de Medjugorje par le père Girard, son père spirituel.
Depuis lors elle ne cesse de "travailler" à la cause de Medjugorje, le jour et la nuit (où elle ne dort qu'une heure), se sacrifiant pour les voyants, les Franciscains de la paroisse, l'évêque du lieu et bien sûr les paroissiens et les pèlerins.
Lors de leurs missions au Canada, les voyants comme les Franciscains ne manquent pas de lui rendre visite, Georgette fait partie de leur famille spirituelle.
 

Georgette a reçu des lumières sur le rôle fondamental de Jean-Paul II pour Medjugorje et elle suit intérieurement, comme sur un écran de télévision mystique, le grand combat qui se livre à Medjugorje pour le salut de la race humaine.
Georgette dit que depuis que le Père Éternel lui a demandé de lui offrir ses souffrances et de prier pour la cause de Medjugorje, Satan rage contre elle beaucoup plus qu'avant.

Georgette vit aussi la grâce de la transverbération (terme mystique pour le transpercement du cœur), comme sainte Thérèse d'Avila.
"C'est comme une flèche de feu très brûlante qui transperce le cœur. La douleur est très intense. Je sens que mon âme ne doit jamais cesser de remercier, pendant que Jésus blesse mon cœur. A ce moment-là il y a une très grande joie intérieure dans mon âme. Les plus grandes joies du monde ne peuvent se comparer avec ce que je ressens en moi. Cette blessure me rend semblable à Jésus crucifié, parce que j'unis ma volonté à celle du Père comme Jésus l'a fait sur la croix. Le Père me demande d'offrir ces blessures pour le Saint Père, les âmes consacrées, les prêtres de Medjugorje, les voyants, afin qu'ils soient protégés de leurs ennemis visibles et invisibles, pour les évêques de l'ex-Yougoslavie et pour tous ceux qui demandent nos prières. Je m'en fais un devoir. J'offre mes souffrances pour que le message de la Reine de la Paix soit répandu partout dans son authenticité.

Un jour, après avoir prié pour que les apparitions soient reconnues et que les obstacles disparaissent, j'ai vu la Vierge Marie pleurer.
J'avais la conviction qu'elle pleurait face à la situation de Medjugorje. Quand je l'entends pleurer à cause des âmes consacrées, ses pleurs sont des sanglots, c'est comme une douleur physique.
Dans le cas de Medjugorje, je n'entendais pas de sanglots. Elle pleurait abondamment, mais dans le silence et la noblesse d'une Mère et d'une Reine.
Elle sollicite des prières pour les prêtres de Medjugorje, mais aussi pour les prêtres qui visitent cet endroit béni, les pèlerins, les voyants, afin qu'ils demeurent fidèles à ce qu'elle leur demande.
Elle demande avec une grande insistance de prier pour que l'Église reconnaisse, par la puissance de l'Esprit Saint, l'authenticité des apparitions de Medjugorje."
Elle meurt le 2 juillet 2002.


Georgette Faniel : A quoi servent réellement ses souffrances ?


Les stigmates
- Revenons à vos stigmates. Le chiffre 2 qui s'est inscrit dans votre chair, vous l'avez toujours ?
- Oui, ça va faire dix ans. C'était le jour de la fête du précieux sang.
Le Seigneur s'est manifesté en m'apportant une douleur terrible ; Il m'a déclaré "c'est ma signature que j'ai incrustée dans ta chair : "2" dans une même chair. Par cette alliance, tu seras toujours protégée".
C'est une même chair. Par cette alliance, tu seras toujours protégée".
C'est l'alliance, inscrite dans ma peau, sur le flanc droit. Le médecin est venu l'examiner.
Comme il restait debout en penchant la tête, j'ai entendu une voix me dire "Demande-lui de s'agenouiller".
Mais j'étais gênée de demander à mon médecin de se mettre à genoux. Alors j'ai prié le Père : "Éclairez-le". Et il finit par s'agenouiller tout seul. Ce qu'il vit l'émerveilla , sans vraiment pouvoir expliquer ce qui se passait.
Il tenait une loupe et disait que cela ressemblait à un néon lumineux et qu'il pouvait voir le sang circuler.
Le "2" était constitué de sept points minuscules, symbolisant les sept dons de l'Esprit Saint.
Jésus m'a confirmé que cela représentait l'intimité de Dieu avec une âme dans les souffrances du Christ crucifié.
La première fois que j'ai ressenti les douleurs de la Passion, c'était en 1950.
La couronne d'épines ne vint qu'en 1953, au mois d'avril.
Source : Livre "Enquête sur l'existence des anges gardiens" de Pierre Jovanovic
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