Sainte Marie, Mère de Jésus
Marie, en grec Μαριαμ, Mariam, en araméen Maryam, en hébreu Myriam מרים, en arabe Maryam مريم, fille juive de Judée, est la mère deJésus de Nazareth.
Les Églises catholique et orthodoxe accordent une place spéciale à Marie, qu'elles appellent Sainte Vierge, Notre Dame (plus souvent chez les catholiques) ou Mère de Dieu (plus souvent chez les orthodoxes), et qui est l'objet d'une dévotion particulière.
De
nombreuses interprétations sur l'étymologie de ce nom ont été données,
mais à ce jour aucune ne s'est imposée. La racine égyptienne m.r.y (= aimer) semble pourtant crédible.
Une
autre très courante également est : « noble, élevée ». En revanche, il
convient de tenir pour purement poétique l'explication par l'hébreu mar yam (« goutte de la mer »), latinisé en stilla maris, lui-même devenu Stella maris (« Étoile de la mer »).
Marie dans la tradition chrétienne
Marie dans le Nouveau testament
Les Évangiles de Matthieu et Luc rapportent
l’Annonciation, c’est-à-dire l’annonce par l’ange Gabriel à Marie puis
à Joseph à qui elle était fiancée, de la conception virginale de Jésus,
le récit de Luc donnant plus de place à Marie, alors que c’est l’inverse
dans celui de Matthieu.
L'évangéliste Jean, s'il cite plusieurs fois la mère de Jésus, ne la cite jamais par son nom mais seulement par "la mère" .
Les textes évoquent ensuite la Présentation au Temple pour accomplir le rite de rachat du premier-né.
Syméon prophétise qu'elle connaîtra la douleur (Lc 2, 21-35).
Plus
tard se produit l’épisode de la disparition de Jésus à l’âge de douze
ans (Lc 2, 41-51), lors de la montée annuelle au Temple de Jérusalem :
alors que ses parents repartaient pour Nazareth, l'enfant était resté
dans le Temple pour discuter avec les docteurs de la loi.
Marie
apparaît à nouveau quand Jésus assiste aux Noces de Cana (Jn 2, 1-11),
puis une fois où elle était à sa recherche alors qu’il enseignait (Mc 3,
31-35), enfin au moment de la crucifixion. Son fils la confie avant de
mourir à son disciple préféré.
« Jésus, voyant sa mère, et auprès d’elle le disciple qu’il aimait, dit à sa mère : Femme, voilà ton fils. Puis il dit au disciple : Voilà ta mère. Et, dès ce moment, le disciple la prit chez lui. »
— Jn 19, 25-26
Elle se trouve parmi les disciples lors de la Pentecôte (Ac 1, 14).
Les traditions postérieures au Nouveau Testament concernent la suite de sa vie ainsi que sa mort à Éphèse.
Catholicisme et orthodoxie
Les
Églises catholique et orthodoxe accordent une place spéciale à la
Vierge Marie, qui est l'objet d'un culte particulier, le culte
d'hyperdulie qui est le culte rendu à la Vierge Marie, supérieur au
simple culte rendu aux saints et aux anges (dulie).
Ce terme est à distinguer de celui d'adoration (ou latrie) qui ne convient que pour Dieu.
Une
grande partie de la spiritualité mariale (l'adjectif n'est utilisé que
par les catholiques) a été développée postérieurement à l'époque de la
rédaction des Évangiles, mais elle se fonde sur le texte de Luc 1, 26 et
suivants qui rapporte l'Annonciation, la Visitation et le Magnificat.
Le concile d'Éphèse (431) et les suivants reconnaissent Marie comme Théotokos, celle qui, en la personne de Jésus, a mis Dieu au monde, la « Mère de Dieu ».
La virginité perpétuelle de Marie fait partie du dogme catholique et orthodoxe.
L'immaculée conception de Marie est un point de foi dont la dévotion est apparue surtout au Xe et XIe siècles, et qui a ensuite été mis en avant par les franciscains, surtout après le XIII siècle.
Son dogme a été finalement précisé par l'Église catholique romaine le 8 décembre 1854 par Pie IX dans sa bulle Ineffabilis Deus.
Ce
dogme signifie que Marie, mère de Jésus-Christ, fut conçue exempte
du péché originel, autrement dit que ses parents, Joachim et Anne,
l'auraient conçue sans transmission du péché originel.
Ce
dogme n'est pas accepté par l'Église Orthodoxe pour qui Marie est
"fille de la race d'Adam" et a été enfantée dans le péché originel comme
tout homme et femme.
Seulement, par sa pureté intérieure et son "Fiat" à l'ange Gabriel, elle a eu le privilège de permettre au Verbe de Dieu de s'incarner en elle.
Pour
les orthodoxes, c'est la conception du Christ en Marie par l'Esprit
Saint qui est immaculée, et si Marie est effectivement "immaculée", elle
l'est par son adhésion à la volonté de Dieu, par sa pureté intérieure
et par le fait qu'elle ne se soit jamais située en dehors de la volonté
de Dieu, qu'elle n'ait jamais péché.
Marie
est néanmoins, comme chez les catholiques, le modèle de l'humanité à
suivre et, à travers Jésus qui avant sa mort l'a confiée à son disciple,
la mère de tous : alors que le péché originel a pour conséquence la
mort et la tendance au péché, Marie resta toute sa vie pour les
orthodoxes, comme chez les catholiques, sans jamais pécher, de sa
naissance à son endormissement dans la mort.
Les orthodoxes parlent de dormition et non de mort, pour la Mère de Dieu tandis que les catholiques évoquent son Assomption.
L'Assomption est un dogme catholique selon lequel, au terme de sa vie terrestre, Marie a été « enlevée corps et âme » au ciel.
Le 1er novembre 1950, ce point de foi ancien est défini sous forme de dogme par la constitution apostolique Munificentissimus Deus du pape Pie XII.
Les catholiques fêtent l'Assomption le 15 août.
La
fête de la Dormition du 15 août célèbre, comme chez les catholiques, la
mort, l’ensevelissement de la Mère de Dieu puis sa résurrection et son
ascension.
Les orthodoxes emploient le terme de Dormition depuis le V e siècle.
Ce terme reflète la croyance selon laquelle la Vierge est morte sans souffrir, dans un état de paix spirituelle.
Les
orthodoxes critiquent le nom d'Assomption qui entretient l'ambiguïté en
laissant croire que la Vierge a été enlevée au ciel de son vivant.
D'une
manière générale, pour les orthodoxes, la vénération à Marie s'inscrit
donc dans un mystère ineffable, tout comme l'incarnation, à qui il se
trouve lié.
C'est
sans doute ce qui distingue l'attitude orthodoxe d'une approche plus
rationnelle de l'Occident qui a ressenti le besoin de formuler des
dogmes plus précis.
Le
mystère de Marie est évidemment inséparable pour les catholiques, comme
les orthodoxes et les protestants, de celui de l'incarnation.
Marie
est priée par les chrétiens catholiques et orthodoxes, qui invoquent
son intercession et qui la célèbrent en particulier le 1er janvier
(Sainte Marie Mère de Dieu - seulement les catholiques), le 15
août (Dormition et Assomption), le 25 mars (Annonciation), le 8
septembre (Nativité de la Vierge Marie) et le 8 décembre (Immaculée
Conception de la Vierge Marie - seulement les catholiques).
Iconographie
La Vierge
à l'Enfant est un des thèmes les plus fréquemment représentés dans
la peinture chrétienne, aussi bien dans les icônes orientales que dans
les œuvres occidentales.
Il est relativement rare que Marie soit représentée seule, jusqu'à une époque récente.
Sur
les icônes, les trois étoiles figurant sur le front et les épaules de
Marie indiquent sa virginité perpétuelle (avant, pendant et après
l'enfantement).
L'Annonciation est
également un sujet prisé des artistes. On y voit Marie, surprise dans
sa prière, par la visite de l'archange Gabriel plein de déférence.
Au-dessus se trouve la colombe du Saint-Esprit.
La pietà est la représentation de Marie portant Jésus détaché de la Croix et le pleurant. La plus célèbre des pietà est celle de Michel-Ange, vénérée dans la basilique Saint-Pierre de Rome.
L'Assomption de Marie et le Couronnement céleste de Marie par le Christ sont fréquemment représentés dans les églises.
Une
autre image fréquente est celle de la Femme de l'Apocalypse, couronnée
de douze étoiles, debout sur la lune écrasant le serpent.
Le
symbole marial des douze étoiles sur fond bleu, couleur du ciel, serait
à l'origine du drapeau européen, suggéré par Paul M.G. Lévy, dessiné
par le catholique Arsène Heitz et adopté le 8 décembre 1955, jour de la
fête de l'Immaculée Conception.
Il n'y a sur ce point aucune formulation explicite, mais on dispose d'un témoignage de Paul M.G. Lévy sur sa décision.
La Vierge Marie dans la Bible
Tout
ce que nous devons savoir en ce qui concerne la foi et la piété est
contenu dans les Saintes Ecritures, la Bible. Celui qui aime Dieu ne
peut qu’accepter et se soumettre à l'enseignement de la Parole de Dieu.
La
Bible nous parle de la sainte vierge Marie, la mère du Sauveur, et nous
avons la responsabilité de prendre en compte l’enseignement qui nous
est donné concernant celle qui, d'une façon unique, fut appelée par
l’ange Gabriel : "bienheureuse parmi toutes les femmes"
Nous vous invitons donc à lire les passages bibliques concernant la vierge Marie.
Généalogie de Jésus Christ
Matthieu
1 versets 1 à 16 : Livre de la généalogie de Jésus Christ, fils de
David, fils d'Abraham : Abraham engendra Isaac ; et Isaac engendra
Jacob; et Jacob engendra Juda et ses frères ; et Juda engendra... et
Jacob engendra Joseph, le mari de Marie, de laquelle est né Jésus, qui
est appelé Christ. (Cf. Luc 3 verset 23 à 38)
Marie reçoit l’annonce de la conception miraculeuse de Jésus
Luc
1 versets 26 à 38 : Et au sixième mois, l'ange Gabriel fut envoyé par
Dieu dans une ville de Galilée, nommée Nazareth, à une vierge, fiancée à
un homme dont le nom était Joseph, de la maison de David ; et le nom de
la vierge était Marie. Et l'ange étant entré auprès d'elle, dit : Je te
salue, toi que [Dieu] fait jouir de sa faveur ! Le *Seigneur est avec
toi ; tu es bénie entre les femmes. Et elle, le voyant, fut troublée à
sa parole ; et elle raisonnait en elle-même sur ce que pourrait être
cette salutation. Et l'ange lui dit : Ne crains pas, Marie, car tu as
trouvé grâce auprès de Dieu. Et voici, tu concevras dans ton ventre, et
tu enfanteras un fils, et tu appelleras son nom Jésus. Il sera grand et
sera appelé le Fils du Très-haut ; et le *Seigneur Dieu lui donnera le
trône de David son père; et il régnera sur la maison de Jacob à
toujours, et il n'y aura pas de fin à son royaume. Et Marie dit à l'ange
: Comment ceci arrivera-t-il, puisque je ne connais pas d'homme ? Et
l'ange répondant, lui dit : L'Esprit Saint viendra sur toi, et la
puissance du Très-haut te couvrira de son ombre ; c'est pourquoi aussi
la sainte chose qui naîtra sera appelée Fils de Dieu. Et voici,
Élisabeth ta parente, elle aussi a conçu un fils dans sa vieillesse, et
c'est ici le sixième mois pour celle qui était appelée stérile ; car
rien ne sera impossible à Dieu. Et Marie dit: Voici l'esclave du
*Seigneur ; qu'il me soit fait selon ta parole. Et l'ange se retira
d'auprès d'elle.
Matthieu 1.18 : Marie, étant fiancée à Joseph, avant qu'ils fussent ensemble, se trouva enceinte par l'Esprit Saint.
Marie se fait enregistrer à Bethléem avec son fiancé Joseph
Naissance de Jésus
Luc
2 versets 4 à 7 : Et Joseph aussi monta de Galilée, de la ville de
Nazareth, en Judée, dans la ville de David qui est appelée Bethléhem,
parce qu'il était de la maison et de la famille de David, pour être
enregistré avec Marie, la femme qui lui était fiancée, laquelle était
enceinte. Et il arriva, pendant qu'ils étaient là, que les jours où elle
devait accoucher s'accomplirent; et elle mit au monde son fils
premier-né, et l'emmaillota, et le coucha dans la crèche, parce qu'il
n'y avait pas de place pour eux dans l'hôtellerie. (Cf. aussi Matthieu 1
vers. 18 à 25)
Marie reçoit la visite des bergers
Luc
2 versets 16 à 19 : Et ils allèrent en hâte, et ils trouvèrent Marie et
Joseph, et le petit enfant couché dans la crèche. Et l'ayant vu, ils
divulguèrent la parole qui leur avait été dite touchant ce petit enfant.
Et tous ceux qui l'ententirent s'étonnèrent des choses qui leur étaient
dites par les bergers. Et Marie gardait toutes ces choses par devers
elle, les repassant dans son cœur.
Marie reçoit la visite des mages
Matthieu.
2 verset 11 : Et étant entrés dans la maison, [les mages] virent le
petit enfant avec Marie sa mère ; et, se prosternant, ils rendirent
hommage au petit enfant; et ayant ouvert leurs trésors, ils lui
offrirent des dons, de l'or, et de l'encens, et de la myrrhe.
Marie offre un sacrifice pour sa purification et reçoit la bénédiction de Siméon
Luc
2 vers. 22 à 39 : Et quand les jours de leur purification, selon la loi
de Moïse, furent accomplis, ils le portèrent à Jérusalem, pour le
présenter au *Seigneur (selon qu'il est écrit dans la loi du *Seigneur,
que tout mâle qui ouvre la matrice sera appelé saint au *Seigneur), et
pour offrir un sacrifice, selon ce qui est prescrit dans la loi du
*Seigneur, une paire de tourterelles ou deux jeunes colombes. Et voici,
il y avait à Jérusalem un homme dont le nom était Siméon; et cet homme
était juste et pieux, et il attendait la consolation d'Israël; et
l'Esprit Saint était sur lui. Et il avait été averti divinement par
l'Esprit Saint qu'il ne verrait pas la mort, que premièrement il n'eût
vu le Christ du *Seigneur. Et il vint par l'Esprit dans le temple ; et
comme les parents apportaient le petit enfant Jésus pour faire à son
égard selon l'usage de la loi, il le prit entre ses bras et bénit Dieu
et dit : Maintenant, Seigneur, tu laisses aller ton esclave en paix
selon ta parole ; car mes yeux ont vu ton salut, lequel tu as préparé
devant la face de tous les peuples : une lumière pour la révélation des
nations: et la gloire de ton peuple Israël. Et son père et sa mère
s'étonnaient des choses qui étaient dites de lui. Et Siméon les bénit et
dit à Marie sa mère : Voici, celui-ci est mis pour la chute et le
relèvement de plusieurs en Israël, et pour un signe que l'on contredira
(et même une épée transpercera ta propre âme), en sorte que les pensées
de plusieurs coeurs soient révélées...
Marie fuit en Égypte ; son retour à Nazareth
Matthieu
2vers.14, 20 à 23 : Et lui, s'étant levé, prit de nuit le petit enfant
et sa mère, et se retira en Égypte. Et il fut là jusqu'à la mort
d'Hérode.... Or, Hérode étant mort, voici, un ange du *Seigneur apparaît
en songe à Joseph en Égypte, disant : Lève-toi et prends le petit
enfant et sa mère, et va dans la terre d'Israël ; car ceux qui
cherchaient la vie du petit enfant sont morts. Et lui, s'étant levé,
prit le petit enfant et sa mère, et s'en vint dans la terre d'Israël ...
il se retira dans les quartiers de la Galilée, et alla et habita dans
une ville appelée Nazareth ; en sorte que fût accompli ce qui avait été
dit par les prophètes: Il sera appelé Nazaréen.
Marie cherche Jésus à Jérusalem pendant la fête
Luc
2 vers. 41 à 49 : Et ses parents allaient chaque année à Jérusalem, à
la fête de Pâque. Et quand il eut douze ans, comme ils étaient montés à
Jérusalem, selon la coutume de la fête, et qu'ils avaient accompli les
jours [de la fête], comme ils s'en retournaient, l'enfant Jésus demeura
dans Jérusalem ; et ses parents ne le savaient pas. Mais croyant qu'il
était dans la troupe des voyageurs, ils marchèrent le chemin d'un jour
et le cherchèrent parmi leurs parents et leurs connaissances; et ne le
trouvant pas, ils s'en retournèrent à Jérusalem à sa recherche. Et il
arriva qu'après trois jours ils le trouvèrent dans le temple, assis au
milieu des docteurs, les écoutant et les interrogeant. Et tous ceux qui
l'entendaient s'étonnaient de son intelligence et de ses réponses. Et
quand ils le virent, ils furent frappés d'étonnement, et sa mère lui
dit: Mon enfant, pourquoi nous as-tu fait ainsi ? Voici, ton père et moi
nous te cherchions, étant en grande peine. Et il leur dit: Pourquoi me
cherchiez-vous ? Ne saviez-vous pas qu'il me faut être aux affaires de
mon Père ?
Marie présente au 1er miracle accompli par Jésus
Jean
2 versets 1 à 10 : Et le troisième jour, il y eut une noce à Cana de
Galilée, et la mère de Jésus était là. Et Jésus fut aussi convié à la
noce, ainsi que ses disciples. Et le vin étant venu à manquer, la mère
de Jésus lui dit : Ils n'ont pas de vin. Jésus lui dit : Qu'y a-t- il
entre moi et toi, femme ? Mon heure n'est pas encore venue. Sa mère dit
aux serviteurs: Faites tout ce qu'il vous dira.
Marie la mère de Jésus
Matthieu
13 verset 55 : Celui-ci n'est-il pas le fils du charpentier ? Sa mère
ne s'appelle-t-elle pas Marie ? et ses frères, Jacques, et Joses, et
Simon, et Jude ? (Cf. Marc 6 verset 3; Jean 6 verset 42)
Marie a une intervention légitime mais inopportune
Matthieu
12 verset 46-50 : Et comme il parlait encore aux foules, voici, sa mère
et ses frères se tenaient dehors, cherchant à lui parler. Et quelqu'un
lui dit : Voici, ta mère et tes frères se tiennent dehors, cherchant à
te parler. Mais lui, répondant, dit à celui qui lui parlait : Qui est ma
mère, et qui sont mes frères ? Et étendant sa main vers ses disciples,
il dit : Voici ma mère et mes frères ; car quiconque fera la volonté de
mon Père qui est dans les cieux, celui-là est mon frère, et ma soeur, et
ma mère. (Cf.Marc 3 verset 31, Luc 8 verset 19)
Marie et les véritables bienheureux
Luc
11.27-28: Et il arriva, comme il disait ces choses, qu'une femme éleva
sa voix du milieu de la foule et lui dit : Bienheureux est le ventre qui
t'a porté, et les mamelles que tu as tétées. Et il dit : Mais plutôt,
bienheureux sont ceux qui écoutent la parole de Dieu et qui la gardent.
Marie se tient auprès de la Croix, Jésus la confie à Jean
Jean
19 versets 25 à 27 : Or, près de la croix de Jésus, se tenaient sa
mère, et la soeur de sa mère, Marie, [femme] de Clopas, et Marie de
Magdala. Jésus donc voyant sa mère, et le disciple qu'il aimait se
tenant là, dit à sa mère: Femme, voilà ton fils. Puis il dit au disciple
: Voila ta mère. Et dès cette heure-là, le disciple la prit chez lui.
Marie en prière
Actes
1 verset 14 : Tous ceux-ci persévéraient d'un commun accord dans la
prière, avec les femmes, et avec Marie, la mère de Jésus, et avec ses
frères.
Retenons de la Vierge Marie
Sa
foi, sa piété, son humilité et soyons, comme elle a su l’être, une
servante dévouée de son fils Jésus Christ par lequel Dieu a accompli
notre salut : Il n'y a pas de salut en dehors de Jésus Christ ; car
aussi il n'y a point d'autre nom sous le ciel, qui soit donné parmi les
hommes, par lequel il nous faille être sauvés." (Actes 4.12).
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