Sievernich, Manuela Strack Les messages

Sievernich, Manuela Strack
Les messages

Source : http://www.temoins-amour-esperance.org/Francais/Messages_fichiers/Messages_fr-Manuela.htm

A domicile, 8 juin 2000

Ce jour-là, je prie chez moi devant une image de la Vierge noire d’Einsiedeln lorsque j’entends soudain la voix de Marie :
Chers enfants, je vous salue et vous bénis au nom de mon divin Fils Jésus-Christ. Lui vous aime, vous accorde le salut et vous donne sa bénédiction. C’est en son nom que je viens vers vous.
Chers enfants, réunissez-vous pour prier. J’ai appelé chacun de vous ! Appelez vos frères au nom de mon divin Fils. Devenez des perles vivantes de mon Rosaire ! C’est mon vœu le plus cher.
Devenez mon Rosaire ! Chaque petite perle est importante et, liées ensemble, elles constituent une prière efficace.
Je vous appelle. C’est à vous qu’il incombe de décider de donner suite à mon appel. Mon divin Fils veut une décision libre de votre part. C’est par amour que vous devez vous décider pour lui.
Deviendrez-vous pour moi un Rosaire vivant ?

 

A domicile, 3 juillet 2000

Je prie à nouveau sous l’image de la Vierge noire d’Einsiedeln lorsque je l’entends me dire :
Je vous salue et vous bénis, mes enfants. C’est sur demande de mon divin Fils que je viens vers vous. Je suis Marie l’Immaculée, Marie, la Mère de Dieu.
Vois ce que je t’ai préparé ! Va de l’avant et accomplis mon tendre désir, qui est également celui de mon divin Fils. Cela signifie : profusion de grâces. Grâces pour vous qui accomplissez la volonté de Dieu. Grâces pour l’Eglise, la Maison de mon divin Fils, et grâces pour le serviteur de mon divin Fils que j’ai appelé à la prêtrise et que sans cesse j’appelle.
De vos cœurs, faites un temple divin et rassemblez-vous dans la Maison de mon divin Fils pour honorer Dieu. Je serai avec vous et chacun de vous sentira ma présence. Telle est la volonté de Dieu !
Mes enfants, priez, priez ; appelez mon divin Fils !

 

A domicile, 25 juillet 2000

Pendant la prière du mardi, à 20 h 45, devant l’image de la Vierge noire d’Einsiedeln, je l’entends me dire :
Je vous salue et vous bénis, mes enfants. Je suis Marie, l’Immaculée, Marie, la Mère de Dieu. Sur ordre de mon très cher Fils, je viens vers vous. Ma volonté est la volonté de Jésus-Christ, Fils de Dieu.
Ecoutez, mes enfants ! Sur cette terre, ne perdez désormais plus votre temps. N’hésitez pas ! Suivez la volonté de mon Fils ! Il vous apportera son salut, vraie grâce qui sanctifie et procure les bénédictions de Dieu.
Mes enfants, je vous parle en tant que Mère. Allez dans la Maison de mon Fils et priez-y en toute humilité. Je serai avec vous. Je vous immergerai dans mon Cœur, de sorte que vos âmes seront revivifiées et décorées du seul Amour de Dieu. Soyez prêts ! Je vous appelle : soyez prêts !

 

Sievernich, 7 août 2000

Ce jour-là se réunit pour la première fois, dans l’église de Sievernich, le groupe de prière « Oasis bleue.»
Je ressens une forte chaleur, puis la Vierge Marie m’apparaît. Elle se fait voir habillée tout en blanc, sauf qu’elle a sur la poitrine un cœur rouge entouré d’une couronne d’épines.
Elle rayonne et son aspect est très affable. A gauche et à droite d’elle, je vois deux colonnades, constituées de roses. Derrière elle, je remarque une fine lumière de forme ovale. Marie se tient ensuite, vu de ma place, à gauche de l’autel, puis elle se penche au-dessus de moi et me dit :
Je vous salue et vous bénis, mes enfants. Je suis Marie, l’Immaculée, Marie, la Mère de Dieu. Je viens à vous sur ordre de mon divin Fils. Ressentez-vous ma présence proche de vous ? Je me réjouis que vous fassiez partie de l’Oasis bleue. Mes perles de Rosaire, moi aussi je suis toute présente en elle. Maintenant, vous êtes encore peu nombreux. Et pourtant mon écho résonne dans le monde. Bientôt, mes enfants, vous deviendrez de nombreux Rosaires. Vous rayonnez parce que je suis en vous, vous les roses de mon Rosaire.
Ayez de la compassion et priez pour mes enfants, particulièrement pour ceux qui ne trouvent pas le chemin qui conduit à mon Fils. Soyez compatissants envers eux, comme mon Fils l’a fait. Ma venue est uniquement en vue de l’Eglise. Je réunis au nom de mon divin Fils ce qui est brisé et qui gît au sol. Chers enfants, l’écho de ma voix descend jusqu’à vous. ll résonne en vous, dans vos âmes. Je vous berce dans mon Cœur immaculé. Immergez- vous en lui et vous serez un reflet de mon Cœur. La Mère précède le Fils de Dieu. La chute de la foi domine le monde. C’est pourquoi, mes enfants, je rassemble les miens et les appelle tous les jours.
Ouvrez vos cœurs et mon Cœur sera également ouvert pour vous.

 

Sievernich, 4 septembre 2000

Le lundi 4 septembre 2000, le groupe de prière « Oasis bleue » se réunit pour la deuxième fois dans l’église paroissiale de Sievernich.
 Là, je ressens une forte chaleur. Il me semble aussi que je vole dans les airs. Je vois alors la Mère de Dieu, debout, à gauche de l’autel (toujours vue depuis la nef). Elle porte un manteau bleu ciel, lequel descend des épaules jusqu’aux pieds. Le manteau est orné de roses en or. Sous ce manteau, on entrevoit une robe blanche. Les mains de Marie sont jointes pour la prière, sa tête légèrement inclinée. Sur son pied gauche je remarque une rose d’or. L’Immaculée est environnée d’une lumière dorée de forme ovale.
Elle me dit :
Mes enfants, je vous salue et vous bénis. Je suis Marie, l’Immaculée, Marie, la Mère de Dieu. Votre prière me réjouit beaucoup. Priez, mes perles, réjouissez le Cœur du très aimable Fils de Dieu, Jésus-Christ.
Chers enfants, je suis votre Mère et je vous aime de tout mon Cœur. Je suis avec vous.
Mes enfants, je vous appelle à la prière. Parlez à mon Fils et à moi. Priez pour les enfants, car les ténèbres sont dans le monde. Vous qui subissez des tribulations, sachez que les larmes que je verse ici, le sont particulièrement à cause de l’Allemagne. Avant que mon règne marial se réalise entièrement et fortement dans l’amour, ce pays qui m’est cher devra encore beaucoup supporter. Si je regarde l’Allemagne, je vois que les cœurs des hommes se sont habilement détournés de mon Fils. Ne pensez pas que le message que j’ai confié aux enfants de Fatima soit suranné. Bien au contraire, il est plus nécessaire que jamais que vous demandiez, que vous imploriez. Ainsi vous apaisez mon Fils Jésus.
Mes chers enfants, recherchez chaque jour la compagnie de mon Fils ; c’est vraiment nécessaire.
Je déverse sur vous des rayons lumineux, des flammes d’amour, particulièrement sur mes chers prêtres qui sont demeurés fidèles. Avec mes larmes, je purifie votre cœur. Ainsi vous paraissez purs devant mon Fils Jésus et devant moi.
Que mon Cœur soit vôtre et que votre cœur soit mien !
Mes enfants, priez ! Que l’écho de ma parole vous attire vers moi, où que vous soyez !

 

Sievernich, 2 octobre 2000

C’est en la fête des anges gardiens qu’a lieu, dans l’église paroissiale de Sievernich, la troisième réunion du groupe de prière l’« Oasis bleue.»
 D’abord une forte chaleur m’envahit, dit Manuela. Ensuite, je vois la Mère de Dieu dans un nuage blanc à gauche de l’autel (vu de ma place dans la nef). Elle a une robe blanche et un manteau bleu ciel parsemé de roses dorées. Le manteau est d’une pièce de la tête aux pieds.
Marie dit :
Je vous salue et vous bénis, mes enfants. Je viens vers vous au nom de mon divin Fils Jésus-Christ. Votre prière me réjouit. Aussi, tout au long des jours je vous invite à la prière…
Mes enfants, quelle misère ce serait s’il n’y avait pas les anges, ces messagers du ciel qui vous fortifient et vous orientent dans la foi. Pensez donc aux saints anges qui vous apportent la bénédiction de mon cher Fils, la bénédiction du ciel.
Les ténèbres menacent tellement les hommes, parce que ceux-ci ont oublié les anges, messagers du ciel !
Appelez journellement les anges. Eux intercèdent sans cesse auprès de moi et de mon divin Fils.
Chers enfants, je suis pleinement auprès de vous. Soyez plus forts, puisque je vous aime. Le Saint-Esprit vient sur vous et vous guérit de corps et d’âme.
Chers enfants, ne vous découragez pas, priez, priez ! C’est important que vous vous rassembliez pour former un Rosaire.
Pour mon prêtre :
« Mon fils, exerce la prudence, car même des mots justes et vrais ne sont pas tous bien compris par les hommes. Examine comment mon cher Fils a agi. Fais-lui totalement confiance. Il te guide, parce que tu agis pleinement en son nom.
Cher fils, je vois tes besoins. Pense que je suis avec toi ; sache que tu n’es pas seul.»
Chers enfants, ne croyez pas que si vous venez à moi je ne vois pas votre détresse, tout ce qui vous oppresse. Présentez-vous sereinement devant moi et ne croyez pas que vos demandes soient perdues. J’entends vos demandes et les présente à mon divin Fils. Aujourd’hui je vais auprès de chacun de vous et je ranime vos âmes.
Soyez bénis, soyez « un » avec moi et mon Fils Jésus. Priez-le et mon Fils Jésus viendra en hâte à votre secours. Je change vos soucis, vos épines en couronnes de fleurs. Soyez certains que je vous entends et que je suis près de vous. Reliez-vous les uns aux autres, constituez mon Rosaire. Mon Rosaire conservera et renouvellera l’Eglise, celle de mon Fils Jésus-Christ. Rien ne sera plus tel que vous le connaissez aujourd’hui. L’Eglise subira de grandes modifications. C’est pourquoi je suis proche de vous.
Avant que commencent les grands événements prédits à Fatima, de nombreux petits événements se produiront, que mon Fils devra tolérer pour votre salut. Il n’existe pas d’autre voie, parce que les hommes s’éloignent toujours plus de Dieu et que très peu ont conscience de mes appels.
Le matérialisme est devenu un dieu qui entend se substituer à la Révélation. Il enténèbre les âmes des hommes. Aussi, mes enfants, faites attention à ce que vous voyez, à ce que vous entendez, car les ténèbres travaillent beaucoup. Moi, je viens à vous, j’accours à votre aide.
Chers enfants, je vous aime. Soyez sans crainte ; vous êtes en Dieu. Car là où est le Père sont aussi le Fils et la Mère. Que peut-il donc vous manquer ?
Après ces paroles mais encore durant l’apparition de Marie, la statue de Jésus qui domine l’autel s’anime. Elle lève le bras plus haut, ouvre la bouche et parle, mais je ne comprends rien.
Pendant que le prêtre prêche, je vois au-dessus de lui quelques lettres d’or en caractères hébraïques.

 

Sievernich, 6 novembre 2000

C’est, en ce premier lundi du mois, la quatrième rencontre du groupe « Oasis bleue » dans l’église de Sievernich.
De prime abord je ressens une grande chaleur, dit Manuela. Un instant après apparaît la Vierge Marie, robe blanche et manteau bleu. Elle a en main un chapelet aux perles dorées. Elle se tient à gauche de l’autel. Ses yeux rayonnent.
Elle dit :
Mes enfants, je vous salue et vous bénis. Je suis Marie, l’Immaculée, Marie, la Mère de Dieu. Je viens vers vous, vers chacun de vous. Je me réjouis de votre prière et vois votre souffrance, puisque, vous le remarquez, je viens aujourd’hui à vous pour soulager votre douleur. Offrez votre souffrance à mon divin Fils et à moi, sa Mère.
Chacun de vous est béni par mon cher Jésus. Selon la volonté de mon Fils, dans son amour je vous transforme. Je change en fleurs les épines qui constituent votre fardeau. Je vous transforme entièrement et je vous conduis à mon Fils qui vit dans le Père. Aujourd’hui, je viens à vous pour vous rendre forts de corps et d’esprit. Ne soyez pas tristes si vous ne me voyez pas, puisque je suis quand même auprès de vous. Ayez la certitude que c’est conforme à la volonté de mon divin Fils.
Je renforcerai mon Oasis bleue, car je suis en elle.
Pendant que Marie prononce ces paroles, elle s’élève haut dans les airs et un faisceau de couleurs lumineuses, émanant d’elle, se déploie au-dessus de ceux qui prient.
J’envoie sur vous ma lumière; mes rayons vous environnent, vous qui êtes mes perles de prière. Priez et demeurez fidèles à mon Fils. Dans le monde, la prière n’est pas estimée. Pourtant n’est-elle pas pour vous, chères âmes, le seul remède ? Ce n’est pas dans des démonstrations de tous genres qu’il faut rechercher la grâce de la prière, mais uniquement dans la prière elle-même. Lorsque vous priez, vous parlez avec le Père, avec le Fils, avec la Mère : soyez-en bien conscients.
Vivez chaque jour ce dialogue intime. Je dépose mon amour dans vos âmes. Chacun de vous reçoit ma grâce. Je vous prie de la demander particulièrement pour les membres de vos familles, afin que je puisse entrer dans leurs cœurs. Discrètement, je trouve ainsi, grâce à vous, un chemin vers eux.
Vous, mes enfants, vous verrez que mon Eglise sera ébranlée, mais la jeune génération, qui a besoin de vos prières, renouvellera l’Eglise.
Les ténèbres planifient une religion mondiale, éloignée de la vérité divine. On veut mondialement tout unifier dans le but d’établir l’harmonie et la paix sur la terre. Cela implique aussi qu’il n’y ait plus de différence d’une religion à l’autre. Dans ce but, ils pensent concevoir un amalgame religieux qui leur permette de rendre les hommes malléables.
Lorsque ce temps-là sera arrivé sur terre, il y aura de grands bouleversements. Spécialement l’Europe sera touchée, et cela est aussi une raison de ma venue. Voyez combien je suis souvent apparue en Europe. Pourtant tous ces événements ne doivent pas vous angoisser, car ils doivent se produire pour que mon Fils Jésus-Christ puisse venir vers vous et pour que vous le reconnaissiez et que vous le receviez comme il convient à un Roi.
Mes enfants, je précède mon Fils. Soyez bénis ! 

 

Sievernich, 4 décembre 2000

Ce lundi-là se tenait dans l’église paroissiale de Sievernich le cinquième rassemblement du groupe « Oasis bleue ». Pendant que les participants prient le chapelet des saints anges, je vois, debout devant l’autel, un ange habillé en rouge. Un instant plus tard, l’ange se rend sur la droite de l’autel et s’agenouille. Un autre ange, habillé de blanc, s’agenouille sur la droite des marches qui conduisent à l’autel.
A gauche de l’autel apparaît la Mère de Dieu. Elle porte un manteau bleu océan. Elle est debout sur une demi-lune dorée. Dans ses mains, elle tient un chapelet en or.
La Mère de Dieu pleure. Elle se met à parler :
Chers enfants, je vous salue et vous bénis au nom de mon divin Fils Jésus-Christ. Je suis Marie, l’Immaculée, la Mère de Dieu. Chers enfants, consolez-moi par votre prière. Portez votre regard sur mon cher Fils. Son Eglise est en danger. Les brebis ne suivent plus leur berger qui les protège et les aime, elles suivent le loup recouvert d’une peau de mouton. Mes prêtres, que pouvez-vous faire ? Ne suivez pas le loup, restez fidèles à mon berger. Lui seul, suivez-le fidèlement. Lui seul peut tout conduire à bonne fin. A Dieu seul il appartient de donner la vie et de la reprendre. L’homme mesure selon ses passions et il se perd sur la mauvaise voie. Restez fidèles à mon divin Fils et à son berger ! Chers enfants, il n’y a pour vous aucune autre décision possible, pas d’autre chemin, si vous voulez suivre mon Fils Jésus-Christ.
Voulez-vous de tout votre cœur suivre mon Fils ? Si oui, vous êtes alors pour la protection de la vie, particulièrement pour celle des enfants dans le sein de leur mère. Le démon vous trompe et assombrit les âmes des hommes et elles ne trouvent plus le chemin qui conduit à mon divin Fils.
Chers enfants, je vous rends sains de corps et d’esprit, j’éclaire vos âmes et j’allume en vous la Flamme d’amour de mon Cœur immaculé. Cette flamme est l’amour de mon Fils pour vous. Plus l’Eglise est en danger, plus j’apparais sur terre. Voyez, je suis partout présente ! Telle est la volonté de mon Fils. Voyez, je suis près de vous, je vous aime. Mon message pénètre dans vos cœurs et mon Fils dirige sur vous les rayons de sa Miséricorde. Aussi lourd que soit votre fardeau, tel que cela vous apparaît souvent, pensez que vous le portez avec mon Fils, pour mon Fils.
Chers enfants, déchargez mon Fils ; portez pour lui sa lourde croix. Portez-la avec lui, en ce temps d’attente et de joie pour l’Eglise (Noël). Priez pour la famille. Je veux conduire l’Eglise, celle de ceux qui me sont soumis. Ils n’ont pas besoin de craindre, car je les place sous mon manteau protecteur.
Je veux maintenir et renforcer les familles par la prière et l’amour. Les familles sont importantes pour moi, c’est pourquoi je veux apporter l’amour de mon Fils Jésus en elles. Priez pour les familles.

La Mère de Dieu est sur un nuage à un mètre du sol. Sous le nuage, je vois comme une pluie d’or et le sol se met à fleurir.
Elle parle en levant les bras :
Je vous oins en vue de cette nouvelle année sur la terre. Que mon divin Fils vous guide ! Il reste avec vous et vous protège. Il vous rend forts de corps et d’esprit. Il ouvre votre cœur et habite en vous. Chers enfants, je suis avec vous. Soyez fermement attachés à ce que Dieu veut et qui est bon.
La Mère de Dieu nous bénit avec son chapelet. L’apparition recule en diminuant de dimensions jusqu’à disparaître complètement. Une phrase, en lettres d’or, reste au-dessus de l’autel : « Marie, Mère de Dieu.»
Pendant la prière du Rosaire qui précède la sainte Messe, saint Charbel s’agenouille à l’autel et s’associe à la prière. Pendant la messe apparaissent sainte Barbara et saint Robert Bellarmin, ce dernier vêtu comme un moine. Ils s’associent à la prière.
Pendant la Communion apparaît au-dessus de l’autel un signe qui m’est inconnu.

 

Sievernich, 8 janvier 2001

Le lundi 8 janvier 2001 se tient dans l’église paroissiale de Sievernich la sixième réunion de prière de l’Oasis bleue. Je ressens d’abord une forte chaleur, puis à l’improviste je vois Marie, la Mère de Dieu. Elle se meut dans les airs à gauche de l’autel. Elle est habillée tout en blanc. Ses cheveux sont partiellement visibles sur le côté du voile. Ils sont brillants comme l’or. La Sainte Vierge sourit, son visage rayonne.
Elle se met à parler :
Mes enfants, je vous bénis et vous salue. Je me réjouis de votre venue et de votre prière dans mon Oasis bleue. Sur chacun de vous je répands mes grâces. Elles ne sont pas limitées à une seule personne. Ouvrez-moi votre cœur. Laissez entrer mes grâces. J’ouvre les portes pour mon cher divin Fils. Il voudrait être proche de vous, non seulement comme un hôte ; il voudrait être « un » avec vous. Si vous vous laissez guider par moi, c’est possible.
Ne vous effrayez pas ! N’ayez aucune peur, car je suis auprès de vous et, vous tenant par la main, je vous conduis à Jésus.
Souvent vous êtes tentés. Il y a d’apparents empêchements qui tendent à vous éloigner de la prière. Alors, appelez-moi et je viendrai écraser la tête du serpent. Pensez-y lorsque vous êtes tentés et appelez-moi. Je prierai mon Fils Jésus-Christ et il ne refusera pas mon souhait de vous libérer de ces ténèbres.
Chers enfants, soyez forts dans l’Oasis bleue, car moi je suis en elle avec mon cher Fils. Votre bon directeur spirituel vous conduira à mon divin Fils Jésus. Il possède ma grâce et en lui il y a aussi la grâce de mon divin Fils Jésus-Christ. Il vous indique le chemin ; parcourez-le et n’hésitez pas ! Son action sur terre, celle de mon divin Fils, celle de la Mère et celle de l’Oasis bleue sont en vérité « une » dans la vérité du Père. Priez et ne vous lassez pas. Priez et je déverserai mes grâces sur vous. Aujourd’hui, j’ouvre vos âmes pour moi et pour mon Fils Jésus, telle est la volonté du Père.
(Suit une communication personnelle.)
La Mère de Dieu me montre alors la sphère terrestre. Elle la tient des deux mains et elle regarde par-dessus elle. Tenant toujours la boule terrestre dans ses mains, elle s’incline vers le sol, en passant à côté de nos bancs dans l’allée centrale. Puis elle retourne directement vers l’autel.
Alors trois roses apparaissent sur la sphère. Une jaune est sur l’Argentine, une blanche sur l’Italie et une rouge sur l’Allemagne. Ces roses sont très grandes.
La Mère de Dieu parle :
Mon intime désir est que les âmes soient enchâssées dans mon chapelet.
Devant la Mère de Dieu sont agenouillés Robert Bellarmin, Padre Pio et une religieuse que je n’ai pas pu identifier. Marie joint ses mains et se met à prier, puis elle dit :
C’est ainsi que je veux conduire et consolider mon Eglise. Je la conduis à mon Fils, car telle est la volonté du Père. Je vous aime, mes enfants.
Quelqu’un recouvrera aujourd’hui la vue. J’ouvre cette âme pour mon Fils Jésus. Telle est la volonté du Père.
Marie s’en va lentement dans les airs, devient progressivement plus petite, puis disparaît. Les trois autres personnes présentes, agenouillées, continuent de prier.
Pendant la sainte Messe je vois un pape défunt proche de l’autel. Il porte un long manteau, très large. Il est très grand et sur sa mitre on remarque une croix. Dans ses mains il porte un livre d’or. Il dit : "Je vous aide."

 

Sievernich, 5 février 2001

Le lundi 5 février 2001 se déroule dans l’église paroissiale de Sievernich le septième rassemblement de prière du groupe Oasis bleue. Je ressens une forte chaleur. Je vois soudain la Mère de Dieu debout à gauche de l’autel. Elle porte sur la tête une grande couronne d’or et en dessous un voile blanc. Elle est habillée d’un manteau rouge et d’une robe bleue. Ses cheveux sont partiellement visibles sur le côté : de longs cheveux brun foncé, ondulés. Ses bras sont étendus. En dessous d’elle un ovale irradie une lumière jaune clair.
Elle parle :
Je vous salue et vous bénis, mes enfants. Je suis Marie l’Immaculée, Marie, Mère de Dieu. Je me réjouis de votre présence, spécialement de votre prière. Ainsi, mes enfants, vous parlez avec le Père, avec le Fils, avec moi, la Mère. Combien vous aime mon divin Fils Jésus-Christ ! Aussi je veux pleinement vous conduire à lui.
Chers enfants, Jésus est votre chemin ; il est votre but. Ne craignez pas le monde, ne craignez pas les ténèbres, moi je vous guide sur demande du Père, je vous guide au nom du Fils. Je suis avec vous dans l’Oasis bleue. Je suis chez vous si vous êtes à la maison. Où que vous soyez, si vous le désirez et si vous m’appelez, je serai auprès de vous, car c’est la volonté du Père et celle de mon divin Fils.
Toutes les contrariétés que vous endurez, offrez-les à mon Fils. Transformez-les en prières. Chers enfants, le serpent ne peut rien commander à la Reine, qui au contraire, avec la permission du Fils, peut écraser la tête du serpent. Je voudrais vous emmener vers le Fils, vers le Père. Ne craignez rien. Faites-moi confiance. Je vous prends par la main. Soyez comme un enfant et prenez la main que je vous tends. Faites confiance à mon divin Fils. Dites plusieurs fois par jour : « Ô mon Jésus, j’ai confiance en Vous ! »
Si c’est moi qui vous conduis, vous ne pouvez vous égarer. Voyez combien grande est l’erreur dans le monde ! Pourtant le Fils envoie l’Esprit Saint et la Mère, afin que l’erreur ne tombe pas dans un sol qui lui soit favorable, et que la vraie Eglise ne s’éteigne pas. Elle deviendra une petite plante, mais dont les fruits seront abondants.
(Suit une communication personnelle.)
Mes grâces, je les répartis entre vous.
Maintenant la Mère de Dieu vient vers chacun de nous et pose sa main sur nos têtes.
Chers enfants, ma grâce va aussi sur ceux pour lesquels vous priez. Voyez ! Vous n’avez qu’à trouver le chemin qui conduit à moi.
(Suit une communication personnelle.)
Priez, mes enfants, priez pour l’Eglise, priez pour les pasteurs. Priez pour l’Allemagne.
Je vois alors son chapelet commencer à émettre des rayons rouges.
Marie pleure. Elle me montre un écrit, mais je ne peux pas l’identifier.
Mon Fils me dit : « Mère, ne pleure pas. L’Eglise, dans laquelle je suis totalement, se purifiera. Cela (elle me montre alors un écrit de plusieurs pages) ne se produira pas.
Chers enfants, restez fidèles à mon Fils et priez. Je ne vous abandonne pas. Je vous aime. Mon divin Fils vous aime. Restez auprès de lui !
La Mère de Dieu joint alors ses mains pour la prière et pose un regard expressif sur chacun de nous. L’apparition devient alors très pâle, diminue et disparaît.
Alors seulement je vois que Sœur Faustine est assise au premier banc de l’église et prie intérieurement le Rosaire. Robert Bellarmin est agenouillé devant l’autel et prie aussi le Rosaire. Son chapelet est en bois ; il a une grande croix de bois. Sur l’autel on remarque comme un arc-en-ciel. Au-dessus se trouvent les lettres « I O S.»

 

Sievernich, 5 mars 2001

Lundi 5 mars 2001 se tient dans l’église paroissiale de Sievernich la huitième rencontre du groupe de prière Oasis bleue.
Je ressens une intense chaleur, puis je vois la Mère de Dieu venir à nous, se mouvant sur un rayon doré. Elle se place à gauche de l’autel. Elle porte un manteau bleu clair, bordé d’une décoration dorée, et sous celui-ci une robe blanche. Dans ses mains elle tient un chapelet doré. Elle a joint les mains pour la prière. Elle porte alors son regard sur nous. Elle est sur un nuage et a une rose d’or sur le pied gauche.
Elle dit :
Je vous salue et vous bénis, mes enfants. Je suis Marie, l’Immaculée, Marie, la Mère de Dieu. Mon divin Fils Jésus-Christ m’envoie vers vous. Il vous aime beaucoup. Je suis totalement adonnée à sa volonté. Il est votre salut. Confiez-vous à lui et c’est avec plaisir que je serai votre Mère. Venez à moi, mes enfants, j’essuierai vos larmes et vous conduirai à mon Fils Jésus.
Elle vient alors vers chacun de nous et fait un signe de croix sur notre front. La suivent deux anges, de blanc vêtus. Chacun d’eux porte un récipient en or ayant la forme d’une coquille. Puis ils retournent sur la gauche de l’autel.
Marie dit alors :
Chers enfants, un temps vous est accordé sur terre pour le jeûne et la pénitence. Utilisez ce temps. Volontiers je vous aiderai. Je veux être votre porte, la porte par laquelle vous parvenez à mon divin Fils. Je suis la porte, mon Fils est votre chemin.
Voyez, je vous ai donné une indication, selon la volonté de mon divin Fils, afin que vous acceptiez l’action de l’Esprit Saint, son action salutaire. Prononcez les prières qui proviennent de mon Fils, celles qu’il vous a proposées.
(Suit une communication personnelle.)
Sur terre le temps est venu de vous réunir pour prier. Je vous tiendrai compagnie et je prierai avec vous.
L’Eglise est en péril. C’est pourquoi j’agis et suis pleinement auprès de vous. La terre, le monde sont devenus désertiques pour la foi. Cette terre, je veux la rendre fertile pour mon Fils. Je replanterai la terre et je ferai partout des oasis de prière.
Mes enfants, ne vous découragez pas. Considérez l’action de mon divin Fils sur terre. Vous n’êtes pas laissés seuls. Le contradicteur jette le doute dans vos cœurs et il veut vous éloigner du chemin qui est mon Fils Jésus lui-même. C’est le contradicteur qui vous décourage, qui installe paresse et oisiveté dans vos cœurs. Ne vous laissez pas induire en erreur, mes enfants. Moi, avec l’aval de mon divin Fils Jésus-Christ, je ne le tolérerai pas.
Je suis auprès de vous. Je vous guide, vous et mon Eglise, l’Eglise de mon Fils Jésus qui vous aime tendrement. Il prend soin de vous comme un père, si vous le laissez agir. Laissez-vous conduire par lui et par moi et vous serez sauvés.
Je ne tolérerai pas que les ténèbres envahissent complètement l’Eglise. Ce qui est malade, s’en ira. Mais voyez, chers enfants, combien mon Fils prend soin de vous puisqu’il vous envoie sa Mère, qui prépare sa venue. J’ensemence mon oasis avec l’amour du ciel. Il doit rendre forts ceux qui sont fidèles. Il doit rendre forte mon Eglise. Moi, je vous rends forts, forts d’esprit. Faites-moi confiance, ainsi qu’à mon divin Fils. Ce que le monde vous donne, ce n’est pas ce que le Père vous donne. Le chemin qui conduit à mon Fils est incommode ; celui du monde est large et facile. Allez donc vers mon Fils ! Moi, je suis avec vous et je vous aide. Réconfortés, vous pourrez, avec mon aide, parcourir même ce chemin qui est incommode. Je suis votre Mère ; je vous aime, mes enfants.
Vous êtes tentés, ces temps-ci particulièrement ; aussi soyez assidus dans la prière. Je ne saurais jamais assez vous dire que je suis avec vous. Appelez-moi, mes enfants, lorsque vous avez besoin d’aide. C’est pour vous que je suis là !
Du nuage sur lequel la Mère de Dieu est debout s’est formée la boule terrestre. La Botte italienne apparaît à l’avant-plan. Je vois la ville de Rome et le Vatican. Puis je vois une grande salle de réunion, dans laquelle se trouvent beaucoup de cardinaux qui discutent. Dans la discussion il est question de la généralisation de la messe sans Eucharistie. On ne devrait plus que rompre le pain, ensemble avec la communauté, disent-ils, car beaucoup ne croient plus à la Présence eucharistique.
La Mère parle :
Ainsi ce serait presque la fin de l’Eglise, pensent ceux qui sont fidèles. Les sans-Dieu y voient une ouverture pour les laïcs dans l’Eglise. Mais moi j’agirai. Ils ne réussiront pas à détruire le Corps du Christ.
La boule terrestre se met à tourner sur elle-même et devient un grand soleil qui se meut dans l’espace autour de l’autel. Au centre du soleil il y a les lettres JHS. La Mère de Dieu nous bénit. La vision s’estompe et disparaît.
Je vois alors Sœur Faustine dans les premiers bancs de l’église en train de prier. Myriam d’Abellin est assise à côté d’elle. Robert Bellarmin, agenouillé devant l’autel, prie également le Rosaire. Je ressens subitement un parfum de fleurs.

 

Sievernich, le 2 avril 2001

Le lundi 2 avril 2001 a lieu la neuvième rencontre de prière de l’Oasis bleue dans l’église paroissiale de Sievernich.
Tandis que nous prions le chapelet des larmes, je ressens une forte chaleur. Apparaissent un ovale de lumière claire, puis la Mère de Dieu, dont le manteau est bleu clair, la robe et le voile d’un blanc étincelant. Elle me sourit tendrement. Je constate qu’elle est debout sur un nuage et qu’elle porte des sandales en or. Elle est sur ce nuage à environ 20 cm au-dessus du sol. Dans ses mains, elle tient une médaille qui est fixée à la fin du chapelet La médaille porte l’effigie de Jésus durant sa Passion. La médaille est entourée d’une couronne de rayons dorés qui se déploient dans notre direction.
Je vois alors deux anges, vêtus de blanc, agenouillés devant la Mère de Dieu. Ils prient. Ils ont des cheveux blond clair, tombant jusqu’aux épaules. Marie leur parle brièvement. Leur visage se trouve alors tout proche de moi.
Marie dit :
Chers enfants, je vous salue et vous bénis au nom de mon divin Fils Jésus-Christ. En son nom, je viens vers vous. Je suis Marie l’Immaculée, Marie la Mère de Dieu.
Mes enfants, je me réjouis à cause de vos prières. Je veux être totalement auprès de vous, dans vos cœurs. J’emmène avec moi mon cher Fils, votre Sauveur Jésus- Christ.
Quelle douleur j’ai ressentie sur la terre lorsque j’offrais mon Fils, tel un Agneau immolé ! Cet acte d’offrande, combien il fut difficile pour moi, même si j’en avais été informée, même si j’étais certaine que mon divin Fils ressusciterait dans le Père. Moi aussi, j’ai enduré des heures pleines de détresse et de soucis. J’étais si abattue.
Voyez combien la sainte Face de mon Fils est outragée et considérez que ses douleurs contribuent à votre salut. Comme ici-bas il vous a libérés naguère, il vous libère aujourd’hui encore dans votre détresse. Considérez intensément sa Face de douleurs ici-bas, mais n’oubliez pas pour autant la joie de la Résurrection, cela contribue à votre salut. C’est à lui que je veux vous amener, à mon Fils. Vous, mes enfants, c’est en lui que vous devez ressusciter. C’est en lui que vous devez éprouver la joie éternelle. Je voudrais totalement vous revêtir de mon Jésus, mes chers enfants.
Peut-être la prière vous paraît-elle souvent pénible. Elle peut aussi vous paraître inefficace en voyant l’état du monde. Chers enfants, ce n’est pas le cas. Vous ne supporteriez pas de voir la force de la prière, si je vous la montrais. Pensez que ce sont la puissance et la grâce du Père des cieux, qui vous aime tellement. Les larmes que je verse pour vous, mes enfants, sont des grâces, des grâces pour vous !
Mon divin Fils est l’Alpha et l’Oméga. Tout est en lui, tout émane de lui. C’est pourquoi personne ne va au Père sans passer par lui.
Ne recherchez votre bonheur et votre satisfaction dans aucune autre religion, ni dans les biens du monde. Vous n’y trouveriez pas tout. Ce n’est qu’en mon Fils que vous trouvez l’amour divin, la béatitude céleste. Consciemment, vivez l’Amour du Père dans le quotidien. Chers enfants, cela n’est pas seulement pour vous, mais pour tous. Le contradicteur vous tente journellement. Mais ne vous découragez pas. Je vous console. Appelez-moi ! Je vous prends la main et vous guide. Laissez- vous guider par moi ! Je porte mon divin Fils dans vos cœurs. Je prends soin de chacun de vous. Je ne viens pas seulement pour quelques-uns, je viens chez chacun de vous. Je ne saurais jamais assez vous le redire !
Lorsque vous êtes tentés, ne portez pas cette souffrance seuls. Ne vous creusez pas la tête ; ne soyez pas aigris. Offrez votre peine à mon Fils Jésus-Christ, votre Sauveur, et à moi, votre Mère. Je suis là pour vous. Je suis présente.
La Mère déploie son manteau ; il nous enveloppe entièrement. Puis elle l’ouvre à nouveau, bénit et regarde vers nous. Elle lève les mains au ciel.
L’apparition disparaît. Je ne vois plus qu’un ovale lumineux, ainsi que les deux anges à genoux qui portent un vase en or.
Alors seulement je vois, assis dans les premiers bancs de gauche : Sœur Faustine, Robert Bellarmin et Myriam d’Abellin. Ils prient le Rosaire avec nous.

Sievernich, 7 mai 2001

Le dixième rassemblement du groupe de prière l’Oasis bleue se tient le lundi 7 mai 2001 dans l’église paroissiale de Sievernich.
Je ressens une forte chaleur. La statue de Notre-Dame de Fatima, qui durant le mois de mai avait été placée à droite dans l’église, s’éclaire et devient vivante. La Mère de Dieu sourit à nous tous. Elle nous salue d’un mouvement de tête. Les lèvres de la statue se meuvent. Elle dit : « Viens, viens vers moi ! »
Tandis qu’elle sourit, la vision grandit. Finalement elle se fait voir grandeur nature à côté de sa statue. Elle porte un manteau blanc avec une lisière dorée. Ce manteau va de la tête aux pieds. Il est orné, à distances régulières, de trois perles. Ses cheveux sont totalement cachés. Elle porte une robe bleu clair avec au cou une lisière ornée à égale distance de groupes de trois perles dorées. Dans ses mains elle tient un chapelet, lequel est également constitué de perles. La croix du chapelet, sur laquelle est cloué le Corps du Christ, est grande et de couleur dorée.
La Mère de Dieu se rend alors sur la gauche de l’autel. Derrière elle se placent deux anges habillés de blanc qui portent une coupe en or. Les anges s’agenouillent devant la Sainte Vierge et ils prient le chapelet des larmes.
Puis la Mère de Dieu s’adresse à nous :
Chers enfants, je vous salue et vous bénis au nom de mon cher divin Fils Jésus-Christ. C’est en son nom que je viens à vous. Je suis Marie l’Immaculée, Marie, la Mère de Dieu.
Chers enfants, je me réjouis de votre prière. Elle vous sauve et vous rend forts, parce que lorsque vous priez vous êtes immergés dans mon Fils Jésus et mon Fils est en vous. Ô, prenez le temps ! C’est un précieux cadeau pour l’éternité.
Ne pensez pas que votre vie se termine avec la fin de votre séjour ici-bas. La terre est pour vous, chers enfants, une école. Sur terre votre âme, en mon Fils, doit devenir forte. C’est pourquoi je suis toute en vous.
Mon divin Fils s’offre journellement à l’Eglise. Mais parce que les hommes sont devenus durs de cœur et qu’ils suivent de fausses idées que répandent les ténèbres, ma venue est nécessaire. Je voudrais conduire à mon Fils toutes ses brebis. Je prépare sa venue. Mon cher berger à Rome cherche à unir les hommes. Je l’ai envoyé faire ce voyage. Chers enfants, vous comprendrez plus tard, lorsqu’il ne sera plus parmi vous. Les ténèbres combattent contre lui, parce qu’il est tout en moi et en mon Fils Jésus. Je suis près de lui et il a connaissance de mes apparitions sur terre.
Mes chers enfants ne doivent pas douter. Je ne les abandonne pas. Votre mission devient difficile : courage ! Tournez votre regard vers votre Mère qui vous guidera. Chers enfants, soyez courageux, portez votre regard sur votre Mère. Je vous aime; mon divin Fils vous aime. Chaque jour il s’offre à vous. Acceptez quotidiennement ses paroles et les miennes, qui sont identiques. Priez, oui, parlez-nous quotidiennement, afin que nous puissions être pleinement auprès de vous. Ainsi vous serez prêts pour la venue de mon divin Fils.
Ne soyez pas découragés et ne demandez pas pourquoi ceci ou cela n’est pas encore arrivé. Le Père céleste, dans lequel mon divin Fils est totalement, le Père étant totalement en lui, tient tout d’une main bien ferme. Tout se passera comme je l’ai dit, mais pas en ce moment. Il y aura d’abord une grande perte de la foi. Ceci, chers enfants, n’est que le début. Alors, les croyants eux-mêmes diront : « Quand donc se réaliseront les choses annoncées prophétiquement ? Les apparitions étaient-elles vraies ? » Beaucoup diront que mes apparitions n’étaient pas vraies et qu’elles ont fait du tort.
Il se passera un certain temps ici-bas et finalement se réaliseront les prophéties, ainsi qu’il est établi par écrit et comme je l’ai dit à mes enfants un nombre incalculable de fois. A travers ce désert de la foi je vous conduirai, afin que vous ne vous perdiez pas, et que vous demeuriez fermes. Au nom de mon divin Fils je veux vous sauver de corps et d’esprit.
Les deux anges tiennent chacun un récipient doré ; dans l’un il y a une huile blanche transparente. Marie y trempe son pouce et fait le signe de croix sur chaque front. Lorsque tous ont reçu ce signe de croix, elle retourne à sa place, suivie des deux anges.
Elle dit alors :
Chers enfants, ne dites pas qu’il ne se passe rien en ce moment. Il se passe de grands changements que les ténèbres provoquent. Mais pensez que tout est entre les mains de mon Fils. Il est le Maître ! Par sa venue il couvrira de honte les esprits des ténèbres et leurs œuvres. Restez en lui, vous n’avez rien de plus à faire. Immergezvous en lui, soyez humbles, restez simples.
Elle nous bénit avant de s’estomper et de disparaître dans la lumière. Puis les anges se rendent devant l’autel et s’agenouillent, tenant toujours en main les coupes dorées. Un des anges vient vers moi et verse un liquide doré dans le récipient d’eau bénite que j’avais pris avec moi. Il retourne ensuite à l’autel.
Dans les stalles, sont assis à droite le pape Pie XII et derrière lui un homme d’imposante stature, portant une robe et une calotte rouges et ayant une longue barbe blanche.
Alors seulement je vois Robert Bellarmin, Sœur Faustine et Myriam d’Abellin assis dans les premiers bancs, du côté gauche.

 

Sievernich, 11 juin 2001

Lundi 11 juin 2001 se tient le onzième rassemblement de prière du groupe « Oasis bleue » dans l’église paroissiale de Sievernich.
Un nuage blanc se forme à gauche de l’autel. Puis je vois la Sainte Vierge, toute de blanc vêtue. Aux pieds, elle a des sandales couleur or. Elle est debout sur un nuage à environ un mètre du sol. Dans ses mains, jointes pour la prière, je remarque un chapelet, constitué de roses d’or. Derrière elle il y a un ovale lumineux.
La Mère de Dieu est triste. Elle regarde le sol. Je vois alors deux anges qui viennent de derrière elle et qui s’agenouillent devant elle. Les deux anges portent chacun une coupe dorée dans les mains. Ils prient le chapelet avec nous.
Soudain Marie me regarde et je ressens son visage tout près de moi. Je perçois en moi une forte chaleur et une grande attirance de la part de la Sainte Vierge.
Marie dit alors :
Chers enfants, je vous salue et vous bénis au nom de mon divin Fils Jésus-Christ. Je suis Marie, l’Immaculée, Marie, la Mère de Dieu. Je suis la porte qui vous mène à Jésus, mon Fils. Venez tous vers moi, je vous conduis à lui, qui est le vrai salut dans le Père.
Chers enfants, purifiez vos âmes, rendez visite à mon cher fils prêtre que j’ai choisi et libérez vos âmes. La confession est importante pour chacun de vous. Pour le monde, elle paraît dépassée. Ne vous laissez pas fourvoyer ! Purifiez vos âmes, c’est le chemin qui conduit au Père.
Je regarde vos âmes et une parmi elles me demande si elle peut participer aux réunions de l’Oasis bleue. Oui, j’ai entendu son appel ; elle peut me rendre souvent visite. Cher enfant, appelle-moi chaque jour !
Une âme m’a appelée de loin. Chère âme, tu reçois ma réponse : ce que tu as commencé, mène-le à terme. C’est mon souhait et celui de mon Fils Jésus-Christ.
(A un prêtre)
A mon cher fils je voudrais enlever l’angoisse de son âme. Sois sans souci. Tourne-toi vers le Père.
Chers enfants, soyez assidus à la prière. Je veux vous accompagner. Je suis présente. Je veux vous faire oublier les ténèbres. Le monde méprise mon divin Fils. Lui, il aura honte du monde. Parce que le contradicteur sait cela, il voudrait amener les âmes dans l’erreur. Son but est d’éloigner de Dieu. Ne l’écoutez pas ! Je souhaite vous guider vers mon divin Fils Jésus-Christ ; je désire vous conduire au Père éternel. C’est pour cela que je suis ici sur terre et aujourd’hui chez vous. Oui, mes enfants, même si vous ne me voyez pas, je suis auprès de vous. Pensez-y ! Je ne saurai jamais assez vous le dire. Mon Fils s’offre chaque jour à vous dans le sacrement de l’autel. C’est très important pour vous tous. Etre complètement sauvé dans le Père n’est pas possible sans mon divin Fils. Ne vous laissez pas jeter de la poudre aux yeux. Tenez-vous fermement à ce que je vous ai déjà dit dans toutes mes apparitions sur la terre.
Chers enfants, aspirez-moi en vous ; laissez mon divin Fils entrer dans vos cœurs. Tout est encore possible. Pensez-y ! Portez votre regard sur lui, le Roi du ciel. Car qu’adviendra-t-il lorsqu’il viendra dans la gloire, si vous n’êtes pas préparés ? C’est pour cela que je suis chez vous : je vous prépare. Je voudrais vous accompagner chaque jour, non seulement aujourd’hui. Ephata !
Alors je vois soudain le Cœur de la Sainte Vierge, la Flamme d’amour de son Cœur, pendant que l’on prie le chapelet de la Flamme d’amour. Des rayons partent de Marie en direction de chacun de nous. Ce sont des rayons rouges et d’autres de couleurs variées, un faisceau de lumières. Les anges s’avancent quelque peu. La Mère de Dieu leur parle.
Les deux anges qui étaient derrière elle se rendent alors auprès de chacun de nous et nous font un signe de croix sur le front. Marie pose sa main sur nos têtes et j’entends alors prononcer quelque chose comme « Emi » ou comme « Imi ». Elle vient chez chacun de nous ; les anges la suivent. Finalement, elle et les anges retournent à leur place à la gauche de l’autel.
Elle dit alors :
Au nom de mon Fils Jésus-Christ, venez tous à moi, vous qui ployez sous le fardeau, car je suis votre Mère, la Servante du Seigneur. Ô mes enfants, ne sortez pas du chemin qui mène à mon Fils. Il se produit actuellement de tels changements et tout semble être mis en question. Mon cher pasteur à Rome conduit l’Eglise vers l’ordre. Pourtant, voyez que les ténèbres mettent Rome sous forte pression, même les plus pieux ! Voyez ce qui est arrivé à un de vos frères. Il était si proche de moi. Pourquoi son frère l’a-t-il trahi ? Voyez, chers enfants, il était à l’écoute, à l’écoute d’une autre puissance. Priez pour lui et soyez sur vos gardes ! Soyez attentifs et prudents. C’est l’orgueil qui le fit tomber.
Chers enfants, je voudrais vous guider. Je vous aime, mon divin Fils vous aime et le Père des cieux vous aime. De cela vous pouvez être certains. Dans tous vos besoins et préoccupations, tenez-le toujours présent devant vos yeux.
(Suit une communication personnelle.)
Chers enfants, je vous bénis dans l’amour de mon Fils.
Elle nous a bénis, puis elle s’est élevée dans le ciel et elle a disparu. Dans les nuages se forme alors en lettres d’or le mot « Maria ».
Après cela je vois dans les bancs de l’église Myriam d’Abellin, Sœur Faustine et Robert Bellarmin qui prient le Rosaire. Dans la partie du chœur, à droite, est assis le pape Pie XII. Au dernier banc de la nef il y a un homme grand, avec une longue barbe, portant une robe rouge et une calotte rouge. Saint Charbel est à genoux devant l’autel. A chaque Ave il s’incline. Tous l’accompagnent dans la prière, y compris les chers anges.

 

Sievernich, 2 juillet 2001

Lundi 2 juillet 2001 se tient la douzième réunion du groupe de prière l’Oasis bleue dans l’église paroissiale de Sievernich.
Un nuage blanc se forme à gauche de l’autel, puis je vois la Sainte Vierge qui se meut sur ce nuage blanc à environ 20 cm du sol. Elle est tout de blanc vêtue, son voile étant bordé d’une lisière dorée. Elle porte des sandales et sur ses pieds fleurit une rose en or. Dans ses mains, jointes pour la prière, elle tient un chapelet constitué de roses d’or. En souriant, elle nous bénit. Derrière elle je remarque un effet lumineux de couleur or, de forme ovale, duquel sortent deux anges habillés en blanc. Ils s’agenouillent à quelque distance de la Mère de Dieu et prient avec nous. Chacun porte un vase doré. Dans l’un il y a un liquide, dans l’autre un genre de baume transparent. Le visage des anges est proche du mien. Je ressens une forte chaleur.
La Mère de Dieu dit :
Chers enfants, je vous salue et vous bénis au nom de mon divin Fils Jésus-Christ. Le fait que vous suiviez mon appel me réjouit. Priez, priez, car mon divin Fils vous aime tellement. Moi aussi je vous aime tendrement. Venez, venez à moi ! Je suis présente auprès de vous. Remplissez vos cœurs par la prière. Ainsi vous parlez avec mon divin Fils ! Rien n’est demandé en vain, rien n’est perdu comme le monde voudrait vous le faire croire. Mon divin Fils vous offre ses grâces dans le groupe l’Oasis bleue. Conservez ces grâces dans vos cœurs. Ne les galvaudez pas. Lors de l’onction, mon divin Fils est entièrement présent. Je ne saurais jamais assez vous dire combien importante et efficace est pour vous la récitation du Rosaire, combien est irremplaçable le Saint Sacrement de l’autel, dans lequel mon Fils s’offre entièrement à vous. Il s’offre à vous, mes enfants : comprenez-vous ce que je vous dis ?
Une fois encore il touche votre cœur par l’onction. Immergez-vous dans le Cœur de mon Fils Jésus-Christ. Ne soyez pas sots, accueillez mon Fils Jésus dans votre cœur.
Je suis Marie, l’Immaculée, Marie, la Mère de Dieu. Je veux vous conduire à mon Fils Jésus-Christ. Il vous indique le chemin qui conduit au Père. Je viens à vous pour pleinement vous guider. Reconnaissez la vraie foi, la vérité qui est le Père. Cette vérité est méprisée par le monde, car elle ne lui semble pas directement utile. Chers enfants, ne vous laissez pas induire en erreur. Suivez le chemin qui conduit au Père, au Fils, à la Mère. Ouvrez vos âmes et laissez-vous totalement inonder par l’amour. Je vous envoie mon amour qui est illimité, qui ne compte pas combien il donne.
Je vois alors les deux anges avancer un peu en tenant chacun leur coupe. La Mère de Dieu est devant, les anges la suivent. Marie va vers chacun de nous et elle nous bénit sur le front avec ce baume transparent. Elle dit alors quelque chose qui est pour moi incompréhensible. A la fin, elle retourne avec les anges reprendre place à côté de l’autel. Tandis qu’elle se retourne vers nous, je vois que son Cœur est ouvert. De son Cœur émanent des rayons d’or et d’autres de différentes couleurs qui se dirigent vers chacun de nous. Un énorme faisceau lumineux pénètre en chacun de nous pendant que nous récitons le chapelet de la Flamme d’amour.
La Sainte Vierge dit :
Une âme se demande si je suis vraiment Marie, la Mère de Dieu. Oui, chère enfant. Tu es venue à moi, parce que dans ta famille tu as de gros soucis. Je vois chacun de tes soucis. Prie et rends-moi visite dans cette oasis de prière. Je prendrai tes soucis et les transformerai en amour. Parce que si ton âme erre de-ci de-là, tu ne trouveras pas la guérison. C’est dans la prière que tu trouveras la paix, dans un dialogue avec mon Fils Jésus. Fais confiance à mon Fils !
J’envoie mon salut aux pèlerins et à ceux qui sont au loin. A eux vont ma protection et ma présence.
La Vierge Marie est debout sur la boule terrestre qui se transforme en un bouquet de roses. Puis du plafond de l’église descend une pluie de roses d’or.
 Marie parle :
Voyez, je fais descendre sur vous toutes mes grâces. En êtes-vous conscients ? Ces grâces proviennent de mon Fils qui est dans le Père. Je vous immerge dans mon Cœur maternel. Que votre cœur en soit purifié ! Je veux former vos cœurs au contact du mien, afin que vous soyez également proches de mon Fils, afin que vous soyez un avec lui, afin que vous soyez sauvés. Mon Fils vous envoie l’Esprit Saint. Qu’il vous accompagne chaque jour en tout ! Qu’il dirige vos pensées et vos actes, afin que vous soyez proches de lui.
Restez fidèles à mon Fils. Le monde veut vous faire croire que les sacrements de l’Eglise et l’Eglise elle-même sont inutiles et sans effets. Cela n’est pas vrai ! Ne vous laissez pas égarer. Voyez, je suis venue à vous, afin que vous ne vous perdiez pas. Les sacrements proviennent de mon divin Fils Jésus ; ils possèdent sa divine puissance de salut. Ils vous unissent. Ils vous donnent le salut dans le Père. L’Eglise est l’Eglise de mon Fils Jésus-Christ. Il vous offre sa force, sa grâce. Mon Fils agit en elle. En elle il y aura un changement ; tenez-vous donc fermement à ce que je vous ai dit lors de mes apparitions sur la terre. Tenez les Evangiles en estime, car ils annoncent la vérité. Son Eglise ne se perdra pas, car elle porte en elle la puissance de l’Esprit Saint.
Je suis descendue sur la terre pour vous guider en ce temps-ci qui est un temps de confusion. Votre chemin demeure celui de mon Fils, un chemin d’amour qui vous conduit au Père. Aimez votre prochain et priez pour ceux que vous appelez vos ennemis. Priez et vous ne les compterez plus parmi vos ennemis, car par mon Fils s’opère le changement de l’amour. Pardonnez-vous les uns les autres, en considérant combien le pardon est important pour votre âme. Personne ne peut être sauvé, s’il ne connaît pas le pardon.
Ces paroles vous ont été données par mon Fils à travers moi. Je vous aime, mes enfants. Je voudrais être chaque jour parmi vous. Venez à moi, je vous bénis au nom de mon très aimé divin Fils Jésus-Christ qui est dans le Père.
Elle se retire lentement en souriant. L’apparition disparaît ; reste toutefois l’ovale d’or lumineux. En lui on peut voir en grand la lettre « M » constituée d’une lumière blanche.
Subitement le « M » émet des rayons bleus qui descendent sur nous. Les anges sont encore présents.
Devant l’autel, saint Charbel est agenouillé. Il s’incline à chaque Ave.
Dans le banc arrière droit des stalles est assis Pie XII, en habit pontifical. Il a en main un livre couleur or.
Au premier banc de la nef je vois maintenant Myriam d’Abellin, Sœur Faustine et Robert Bellarmin qui prient avec nous.

Sievernich, 6 août 2001

Le lundi 6 août 2001 les membres du groupe de prière Oasis bleue sont rassemblés pour la treizième fois dans l’église paroissiale de Sievernich. Durant la récitation du Rosaire, je ressens une forte chaleur, puis je vois se former un fin nuage blanc à gauche de l’autel. La Mère de Dieu apparaît sur ce nuage qui flotte un peu au-dessus du sol. Marie porte une robe blanche, un manteau blanc qui va de la tête aux pieds. Son manteau a une lisière dorée, de même le tour du cou de son manteau. Sur la tête, la Sainte Vierge porte une couronne en or. Sur ses pieds je remarque une rose d’or. Derrière elle deux anges se tiennent debout. Dans ses mains jointes pour la prière il y a un chapelet constitué de perles dorées. Soudain, la Vierge Marie se trouve debout sur un champ de roses dorées. Elle se rapprocha de moi et se met à parler :
Je vous salue et vous bénis, mes chers enfants, au nom de mon divin Fils Jésus-Christ. Je suis Marie l’Immaculée, Marie la Mère de Dieu. Je viens à vous au nom de mon divin Fils.
Chers enfants, immergez-vous dans mon Cœur immaculé. Laissez-vous totalement guider par moi. Je suis auprès de vous. Je suis présente. Venez, mes enfants, je veux vous prendre par la main pour vous conduire à mon Fils Jésus-Christ. J’ai attendu sur vous. Laissez-vous guider par moi.
Vous voyez bien que le monde ne comprend pas mes paroles. Occupez-vous de ce que mon Fils désire de vous. Chaque jour posez-vous intérieurement la question suivante : « Que puis-je faire pour Jésus ? »
La situation dans laquelle se trouve aujourd’hui l’Eglise n’est pas bonne. Elle a besoin d’une purification. Mais, mes enfants, l’Eglise est le Corps de mon divin Fils. Il est tout en elle et il ne la laissera pas mourir. C’est pourquoi, chers enfants, gardez courage et rendez forte l’Eglise dans laquelle il y a le Père, il y a le Fils et dans laquelle je suis aussi. Seul le Fils, mon cher Fils Jésus-Christ peut vous sauver de corps et d’âme. Ne faites pas de dommage à l’Eglise, renforcez-la ! C’est par l’Eglise que vous serez sauvés : mon Fils est totalement en Elle ; pensez-y toujours. Quoi qu’il puisse arriver à l’Eglise, restez-lui fidèles. C’est ce que veut le Père, ce que veut le Fils et moi aussi qui suis votre Mère.
(Suit une communication personnelle.)
J’ai perçu toutes vos demandes et j’ai regardé en chaque cœur. Priez avec le cœur et faites-moi entièrement confiance. Je suis votre Mère ; faites-moi confiance et je pourrai alors agir en vous et vous guider ; c’est ce que veulent le Père des cieux et mon divin Fils Jésus-Christ.
Je vois alors s’ouvrir le Cœur de Marie. De son Cœur ouvert sortent des rayons de différentes couleurs. Chacun de nous est immergé dans un de ces rayons.
(Suit une communication personnelle.)
Dans le groupe il y a une personne qui n’a pas encore reçu le baptême. Travaille pour le Seigneur, laisse-toi guider par lui. Par le baptême tu ouvres la porte, de sorte qu’il peut établir sa demeure en toi. Veux-tu agir pour lui ? Sois alors prête pour le baptême.
A la femme qui est proche de cette âme, je dis : Ephata ! Laisse le Seigneur, mon cher Fils, entrer dans ton cœur. Prends les sacrements au sérieux ! »
Chers enfants, dans les sacrements mon divin Fils se donne totalement à vous. Acceptez ce cadeau, car il vous rend sain de corps et d’âme. Je vous supplie instamment : Prenez mon divin Fils. C’est le cadeau que Dieu vous fait.
Maintenant, la Mère de Dieu s’avance et se place devant chacun de nous, nous bénit et nous fait un signe de croix sur le front, posant longuement son regard sur chacun. Les deux anges la suivent. Devant une personne, Marie reste debout et elle la bénit trois fois, puis elle retourne à sa place.
Chers enfants, je vous offre ma grâce, qui est celle de mon cher Fils et celle du Père des cieux. Une âme doit faire une confession générale puis œuvrer pour moi. Je vois dans le cœur de cette personne. Elle doit être consciente de mon accompagnement.
Mes enfants, je vous aime. Je veux vous conduire vers mon divin Fils dans la Maison paternelle. Voici le chemin que vous pouvez suivre ; c’est celui de mon cher Fils, c’est celui de l’Eglise. Il n’y a aucun autre chemin pour vous. Seul ce chemin est chemin du salut. A partir d’ici, je vous y conduirai. Je vous accompagne durant votre retour et vais avec vous dans votre foyer.
Avec mon Fils Jésus je bénis vos familles et vos proches.
Afin que je puisse être chez vous, priez chaque jour avec moi. Afin que mon Fils puisse établir en vous sa demeure, priez chaque jour avec moi. Priez avec le cœur ! Pensez que je suis chez vous, que je suis votre Mère.
La Mère de Dieu élargit son manteau, qui devient grand, grand au point de tous nous envelopper. Nous sommes tous cachés sous le manteau de Marie.
Chers enfants, j’accompagne chacun de vous. Je vous bénis avec l’amour de mon cher Fils Jésus-Christ. Tout pour la gloire de mon divin Fils !
La Mère de Dieu nous a bénis. L’apparition disparaît. Les anges sont restés. Je vois alors au dernier banc du chœur à gauche de l’autel un homme habillé de rouge, le pape Pie XII. Dans la rangée avant, toujours à gauche de l’autel, je vois Robert Bellarmin, Sœur Faustine et Myriam d’Abellin. Devant l’autel, durant les prières, est agenouillé saint Charbel.
Pendant la sainte Messe, lors de la consécration, je vois Jésus comme Sauveur miséricordieux habillé en blanc. Sa taille est très grande. Son Cœur est ouvert et il rayonne. Le cœur à lui seul occupe toute la place de l’autel. En son Cœur sont cachés l’autel et le prêtre.

 

Sievernich, 3 septembre 2001

Lundi 3 septembre 2001 a lieu dans l’église paroissiale de Sievernich le quatorzième rassemblement du groupe de prière Oasis bleue.
En entrant dans l’église, je vois dans la chapelle de Fatima un calice en or sur la croix.
Durant la prière du Rosaire, je ressens une grande chaleur. Puis je vois à gauche de l’autel un grand ovale d’une très forte lumière dorée. De la lumière sort la Mère de Dieu qui avance vers nous. Derrière elle, je vois apparaître deux anges. La Mère de Dieu porte une robe blanche, un manteau rouge clair dont la bordure est dorée, ainsi qu’un voile blanc. L’Immaculée tient les mains jointes pour la prière. Dans ses mains je vois un chapelet, constitué de perles rouges et blanches. Les perles des Ave sont blanches, celles des Pater rouges. Ses pieds sont chaussés de sandales dorées. Sur chaque pied je vois une rose en or. Marie se trouve sur un nuage blanc. Le nuage est à peine au-dessus du sol. Sa robe rayonne, scintille de lumières.
Souriante, elle s’approche de moi et dit :
Je vous salue et vous bénis, mes enfants. Je me réjouis de votre venue. Je vous conduirai à mon cher Fils Jésus-Christ. Je suis Marie, l’Immaculée, Marie, la Mère de Dieu.
Chers enfants, vivez dans la foi, soyez fidèles à l’Eglise. C’est le chemin de la vérité et de la vraie vie. Je vous montre ce chemin-là ; n’ayez aucune crainte de le parcourir.
Faites confiance à mon divin Fils.
Ne dites pas que ma venue est inutile, car ce n’est pas vrai. Je viens à vous, afin qu’en ce temps de confusion vous trouviez le chemin de la vie. Le chemin de la vie est le chemin vers celui qui est le tout, vers celui qui est un ; c’est le chemin du salut. Pour cela vous devez être sains de corps et d’esprit. C’est ce que veut mon divin Fils Jésus-Christ. Par son amour vous êtes sauvés. Aujourd’hui, si vous le voulez, mon Fils agit encore. Préparez votre cœur, libérez-le de tout péché, de tout fardeau. Devenez un vrai temple. Conservez la Parole du Père, du Fils et de la Mère dans vos cœurs.
Chers enfants, je vois vos soucis et vos besoins.
(Suit une communication personnelle.)
Mes enfants très aimés, des prêtres ne suivent plus mon divin Fils. Ils démentent l’Evangile et l’enseignement de l’Eglise. Priez l’Esprit Saint. Reprenez-vous et suivez mon Fils Jésus-Christ. Ne comptent que la vérité et la vie dans le Père ! Malheur à qui méprise la vérité et la vie !
En pleurant, la Mère de Dieu dit :
C’est pour vous que je verse des larmes. Comment pouvez-vous assumer la responsabilité de conduire mes enfants dans l’erreur ?
Beaucoup ne croient plus à l’action et à l’existence de Jésus. Que se passe-t-il de ceux-là lorsqu’ils regardent l’état de leur âme ? Qu’adviendra-t-il de ceux qui verront arriver ce que j’ai prédit aux enfants de Fatima ? Ne croyez pas, mes enfants, qu’il n’arrivera rien et que mon Fils et moi, sa Mère, nous vous menaçons, car ce n’est pas notre façon d’agir. Je viens au nom de Jésus, mon divin Fils. Je veux sauver vos âmes et vous gagner pour mon Fils Jésus, afin que vous soyez sauvés et non perdus. Accordez-moi dix minutes chaque jour pour que je puisse vous immerger dans mon Cœur immaculé : dix minutes de votre temps en prière, une bénédiction pour l’éternité.
Je vois alors le Cœur de la Mère de Dieu ouvert. De son Cœur des rayons partent en direction de chacun de nous. Nous sommes tous plongés dans ces rayons. Marie se rend ensuite auprès de chacun ; elle fait un signe de croix sur nos fronts. Elle regarde une personne en particulier et pose la main sur sa tête.
Puis elle dit :
Toi, âme, tu vas être purifiée par moi au nom de mon Fils. En son nom, je peux te redonner l’espoir : de ta souffrance d’âme, sois libérée !
Deux anges suivent Marie, portant chacun une coupe dorée. Dans une des coupes il y a un liquide doré, dans l’autre coupe un baume qui scintille de lumière. Avec ce baume la Sainte Vierge nous bénit.
Les deux anges sont appelés par elle sous les noms de Raphaël et de Michel…
Une âme est très indécise. Je lui promets du courage au nom de mon Fils. C’est moi qui suis près de toi. Je suis Marie, la Mère de Dieu. Je veux vous prendre sous mon manteau protecteur.
Chers enfants, je vous aime. N’ayez aucune crainte et trouvez-vous proches de moi, car je suis votre Mère. Je suis présente en totalité dans mon Oasis bleue. Ne doutez pas, c’est moi Marie, la Mère de Dieu envoyée par Jésus mon très cher divin Fils.
Au premier banc de la nef sont assis Robert Bellarmin, Sœur Faustine et Myriam d’Abellin. Saint Charbel est agenouillé devant l’autel.
Au dernier banc des stalles est assis un homme portant une soutane rouge. Au premier banc des stalles est assis le pape Pie XII.
Pendant le Rosaire, les anges sont à genoux et ils prient avec nous. Marie bénit et l’apparition disparaît. Il ne reste qu’un grand « M » constitué de roses dorées.

 

Sievernich, 15 octobre 2001

Ce jour-là se tient dans l’église paroissiale de Sievernich la quinzième rencontre de prière de l’Oasis bleue.
Je ressens une grande chaleur. Durant la prière du Rosaire je vois à gauche de l’autel une lumière claire et rayonnante, puis un brouillard se forme. Alors apparaît la Mère de Dieu. Elle porte une robe blanche et un long manteau blanc avec un capuchon. Le manteau est bordé d’une broderie dorée. Dans ses mains, jointes pour la prière, elle tient un chapelet doré. Elle est portée par un nuage, très légèrement au-dessus du sol. A ses pieds je vois une rose en or. La Mère de Dieu nous regarde sévèrement et nous bénit. Elle pleure. Ses larmes, qui ressemblent à des diamants, tombent sur le sol.
Elle dit :
Je vous bénis au nom de mon Fils Jésus-Christ. Je suis Marie l’Immaculée, Marie la Mère de Dieu.
Mes enfants, consolez-moi ! Consolez-moi par votre prière. Appelez mon Fils. Implorez de lui la paix de Dieu !
Mes chers enfants, ne vous opposez pas à Satan avec la haine et la violence. Appelez à l’aide mon Fils Jésus et moi ! Voyez ce qui est arrivé. Voyez les nombreux êtres humains victimes de sa ténébreuse puissance. Aucune vérité qui émane de Dieu ne peut enseigner des destructions et des actes de violence. Cela, c’est l’enseignement des ténèbres. Dans le Père réside la paix, dans le Père il y a la bénédiction, dans le Père, il y a l’amour. Mon divin Fils est lui-même Amour.
Priez pour mon cher berger de Rome. Priez, priez pour l’Allemagne. Priez pour le monde et prenez-moi comme aide et comme Mère. Je suis votre Mère. J’ouvre mon Cœur pour vous, ainsi que le Cœur de mon divin Fils.
Chers enfants, votre venue n’est pas vaine. Je vois vos soucis et vos misères. Déversez-les dans mon Cœur immaculé. Ainsi je peux vous transformer et vous conduire à mon Fils Jésus.
Aujourd’hui je suis venue vous offrir mes larmes, car je suis la Mère de tous mes enfants. Je suis la Dame de tous les peuples. Je dépose mes larmes dans vos cœurs, afin que vous soyez sauvés, afin que vous puissiez m’offrir mes propres larmes en retour. Cette offrande est une grande grâce pour vous. Je veux amener vos âmes à mon divin Fils Jésus.
Aujourd’hui je suis venue vers vous pour vous dire combien les sacrements sont importants. Vous ne savez plus qu’ils sanctifient réellement. Ils vous sanctifient dans le Père. Je voudrais vous les recommander. Lorsque vous absorbez la sainte Hostie, n’oubliez pas le saint sacrement de pénitence. Offrez-vous tout entiers à mon divin Fils. Je vous dis tout entiers, pas seulement un peu. Tendez-lui la main et pas seulement un doigt. Soyez prêts à vous offrir totalement à lui, afin qu’il puisse être en totalité en vous. Afin qu’il puisse agir pleinement en vous.
Chers enfants, il y a parmi vous une famille troublée. Elle attend de moi que je lui adresse un mot. Mais moi je lui dis que tout a été dit. Je poursuivrai mon aide si elle s’adresse à un prêtre qui s’en occupe. Seul un prêtre peut lui apporter une aide, car en lui, c’est mon divin Fils qui agit.
Qu’une âme vienne à moi et je la plongerai dans mon Cœur.
Je vois que la Mère de Dieu est ici présente avec un Cœur ouvert. De son Cœur émanent des rayons de diverses couleurs. Elle vient vers nous. Derrière elle suivent deux anges habillés de blanc. Chaque ange porte une coupe. Marie vient vers nous, regarde chacun et bénit les présents avec la substance qui se trouve dans la coupe. Je ne peux pas voir si c’est de l’eau ou un onguent transparent.
La Mère de Dieu parle :
Une âme se demande si aujourd’hui je suis vraiment parmi vous dans l’église. Je suis devant toi et te bénis au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Suis mon Fils et moi. Rends-moi souvent visite dans mon Oasis de prière. En elle je suis présente. En elle se trouve mon cher Fils Jésus !
Elle appose maintenant à chacun en particulier la bénédiction puis retourne à sa place proche de l’autel. Où nous sommes, dans le fond de l’église une chose demeure qui ressemble à une flamme dorée suspendue dans l’air, pendant qu’on prie le Rosaire de la Flamme d’Amour.
Elle dit :
Chers enfants, venez sous mon manteau protecteur. Je vous aime !
Elle élargit alors son manteau et nous sommes cachés sous lui.
Chers enfants, je vous protège. C’est ici le refuge de mon Oasis de prière. Là, vous êtes cachés. Offrez-moi aussi votre cœur. Faites confiance à mon Fils Jésus et à moi ! Si vous voyez de terrifiantes images de guerre, si vous entendez des bruits de guerre, priez. Priez pour les hommes qui perdent la vie durant cette guerre. Priez et offrez-moi dans vos prières tous les pays de la terre. Vénérez le précieux Sang de Jésus, qui a été versé pour vous. J’ai perdu mon Fils sur la terre et je l’ai retrouvé. Je connais la souffrance des mères éplorées. Priez, priez-moi, car je suis chaque jour chez vous, car je suis votre protection. La volonté du Père éternel est que, dans cette tribulation et cette confusion, je vienne à votre secours. Honorez la sainte Face de mon divin Fils Jésus-Christ. C’est là mon intime désir : rendre hommage à mon cher Fils et au Père des cieux.
Chers enfants, attendez avec joie mon divin Fils, vivant dans le T. S. Sacrement de l’autel. Attendez sa Miséricorde dans l’onction. Soyez prêts !
Prenez-moi totalement dans votre cœur, afin qu’en vous je puisse agir. N’acceptez pas le monde, il trompe. Accueillez mon Fils Jésus avec joie et amour. Offrez-vous totalement à Jésus !
Soudain, je vois la boule terrestre à la place de l’autel. Elle tourne sur elle-même. Une coupe de sang se déverse sur l’Afghanistan et les Etats voisins. Au-dessus de ces Etats apparaissent des mots constitués de lettres d’or : « A cause des ténèbres, le peuple doit être purifié. Vous avez oublié votre Seigneur, vous m’avez oubliée, moi aussi, et vous ne faites confiance qu’à vos propres forces. Mais cela a dépassé vos propres forces, car vous ne voulez pas de mon aide.»
Je vois maintenant une croix lumineuse sur la terre. D’elle émanent des rayons qui vont sur la boule terrestre. Un rayon bleu atteint l’Allemagne, la Suisse et l’Italie. Un rayon rouge la Russie, l’Afrique, le Japon et la Chine. Un rayon noir, l’Afghanistan et les Etats-Unis. Un rayon blanc, l’Amérique du Sud.
La Vierge Marie prie le chapelet avec nous (sauf les Ave), puis elle dit :
Chers enfants, je vous bénis dans l’amour de mon Fils Jésus. Je me réjouis de votre prière. Elle me console. Je me laisse volontiers consoler par vous. Ainsi, j’intercéderai pour vous auprès de mon divin Fils, pour chacun de vous qui êtes présents aujourd’hui dans mon Oasis de prière. Que Dieu, le Seigneur, que mon divin Fils soient avec vous !
Elle nous bénit, puis disparaît dans la lumière. Restent les anges à genoux devant elle, respectivement devant la lumière durant l’adoration. Devant l’autel saint Charbel Makhlouf est à genoux en prière. Habillé en rouge, saint Josaphat est au dernier banc des stalles. Au premier banc des stalles est assis le pape Pie XII (Pacelli). Dans le premier banc, à gauche de la nef, sont à genoux : Sœur Faustine, Robert Bellarmin, Myriam d’Abellin et Thérèse d’Avila. Ils prient avec nous le Rosaire.

 

Sievernich, 12 novembre 2001

En ce lundi, le groupe de prière Oasis bleue se réunit pour la seizième fois dans l’église paroissiale de Sievernich. Je ressens une forte chaleur. J’observe sur la gauche de l’autel une fine brume qui se forme, puis je vois la Mère de Dieu. Elle est habillée tout en blanc. Seul le manteau a une bordure dorée. Elle tient en main un chapelet en or. Elle nous sourit. Elle est debout sur un nuage. A ses pieds je remarque une rose d’or.
Marie se rapproche de moi et se met à parler :
Mes enfants, je vous salue et vous bénis. Je suis Marie l’Immaculée, Marie la Mère de Dieu. Mon Fils Jésus m’a envoyée vers vous, afin que vous mes enfants vous vous trouviez en lui. Je suis la porte qui vous conduit à mon divin Fils Jésus. Je suis l’Epouse de l’Esprit Saint.
Chers enfants, priez, venez vers moi. Aujourd’hui, je salue chacun de vous. Je vais vers chacun de vous. Ouvrez vos cœurs, afin que je puisse habiter en vos cœurs. Si moi je demeure en vous, mon Fils habite aussi dans vos cœurs.
Je vous ai déjà souvent dit combien les sacrements sont importants. Aujourd’hui, je vous parle en tant que votre Mère. Je parle à chacun de ceux qui n’honorent pas le sacrement du mariage. Le mariage aussi est un important sacrement, car à travers lui grandissent les fruits de l’amour, selon la volonté de mon divin Fils.
Mon cher Fils bénit les époux et demande le respect de la dignité de ce sacrement. Pensez à mes paroles, à celles que mon Fils vous a données ! Mon cher Fils vous dit, en opposition à tous les courants du monde :
Respectez la vie tous les jours ; oui, dans la vie de chaque jour soyez dignes du mariage, respectueux l’un envers l’autre.
Ce que moi je vous dis, c’est : « Respectez le fruit qui grandit du sacrement de mariage, car je suis le protecteur de toutes les familles ! Ne faites rien d’incorrect et conduisez les enfants vers moi et vers mon divin Fils. J’immerge toutes les familles, ainsi que mes prêtres dans mon Cœur immaculé.»
Les familles qui se réclament de mon divin Fils et mes chers fils sauveront le monde. Ils vivent dans la vérité et reconnaissent ma venue.
Je vous demande la prière. Peut-être, direz-vous « Mère, nous prions. N’est-ce pas assez ! » Mais moi je vous dis : « Priez sans relâche, brûlez d’amour. Soyez un avec mon très cher Fils, alors vous serez sauvés. Je viens vers vous en tant que votre Mère. Je veux vous conduire à la Maison du Père. Implorez de l’Esprit Saint toutes les grâces que le Père donne.»
La Sainte Vierge plane dans les airs. Elle se trouve dans le sein d’Abraham. Puis elle vole dans notre direction. Je vois que son Cœur est ouvert. De son Cœur émanent des rayons multicolores. Nous tous sommes plongés dans ces rayons. Au sol, à droite et à gauche de la Mère de Dieu je vois deux anges. La coupe en or qu’ils portent est si grande qu’elle occupe presque la totalité du chœur de l’église.
La Mère de Dieu parle :
Mes enfants, venez et visitez-moi dans mon Oasis bleue. J’y suis réellement présente. Avec l’onction, mon Fils Jésus vient vraiment en vous. Je suis venue jusqu’à vous, afin que vous ressentiez ma présence, afin que vous ressentiez que je suis en vous et que je prends part à vos soucis, à vos besoins. Je ne vous laisse pas seuls ! Vous devez seulement vous trouver en moi. Ouvrez-vous ! Ouvrez-vous pour mon divin Fils Jésus !
Une couronne d’épines dorées, en forme de spirale, entoure le Cœur de la Mère de Dieu. Avec les deux anges qui la suivent, elle va chez les personnes présentes. Le premier récipient porté par les anges contient un liquide transparent, le second est rempli d’un onguent transparent.
Elle bénit et regarde dans le cœur de chaque être humain. La Sainte Vierge reste debout devant une personne.
Elle dit :
Tu es venue jusqu’ici. Tu veux savoir si j’apparais vraiment dans cette église. Je te dis que je suis Marie l’Immaculée, la Mère de Dieu. J’apparais dans cette église. Je suis venue aujourd’hui jusqu’à toi, afin que tu sentes ma bénédiction. Je te bénis au nom du Père, et du Fils et du Saint-Esprit.
La Mère de Dieu retourne à sa place, puis elle dit :
Chers enfants, priez sans relâche ! Voyez les vagues de la haine dans le monde. Les ténèbres voudraient vous tromper. Ne haïssez pas, pardonnez et aimez-vous les uns les autres. Mes enfants, voyez que, dans cette confusion, je vous protège. Je vous place sous mon manteau protecteur.
Elle ouvre maintenant ses bras en même temps que son manteau, et nous tous sommes cachés sous son manteau protecteur. Un très doux parfum de roses nous enveloppe tous. Dans son manteau je vois une belle lumière.
Elle parle :
Allez à Jésus ! Il est la source de grâces provenant du Père. Je viens à vous pour renforcer mon Eglise, l’Eglise qui est le Corps mystique de mon très cher Fils. En elle, vous trouvez le salut. Je dirige mon Eglise, l’Eglise de mon Fils Jésus. Je vous prépare à son retour. Ne demandez pas quand ce retour aura lieu, mais préparez-vous-y ! Voyez vos tribulations, la confusion dans laquelle vous vous trouvez. Ma parole vous conduira à travers ces tribulations, à travers cette confusion du monde et vous, mes enfants, vous ne serez pas perdus. Parce que je suis auprès de vous. Parce que je vous aime et que je suis votre Mère.
Je vois le monde dans le manteau protecteur de Marie. Sur la terre je remarque quelques plaies saignantes. Je vois une lumière bleue. Cette lumière ferme les plaies de la terre. Marie porte maintenant une couronne en or. La terre est complètement enveloppée de cette lumière bleue. Soudain, tout est recouvert de cette lumière bleue. La Mère de Dieu apparaît, habillée en blanc, une couronne sur la tête. Sur son bras, elle porte l’Enfant Jésus, lequel est aussi habillé en blanc. Il tient un sceptre dans sa main gauche. Il nous bénit et nous sourit.
Tout est comme si nous étions en plein changement.
La Mère de Dieu parle : « Ceci est le changement d’époque Je vous ai tout montré ! »
Elle va chez les personnes présentes avec l’Enfant Jésus. De l’Enfant émane une lumière qui se dirige vers chacun de nous.
Marie parle :
Présente-moi tous les soucis et les besoins. Dis aux familles que je suis en chemin. Priez, priez, priez et pardonnez-vous les uns les autres. Mon Fils Jésus désire de vous cette offrande du pardon. Même si cela vous est difficile, je vous le demande. Vous trouverez ensuite, avec l’aide de mes prêtres, la paix de Dieu. Voilà ce que veut mon divin Fils.
Chers enfants, n’oubliez pas mes paroles ; portez-les dans votre cœur. Quoi qu’il puisse arriver en ce temps sur la terre, je suis proche de vous. Appelez-moi, priez et parlez avec moi et avec mon divin Fils Jésus. Je vous assisterai dans vos soucis et vos besoins et dans votre occupation quotidienne. Consacrez-vous totalement à moi !
Le Père est la Maison, laquelle englobe tout. Le Fils est le Maître de la Maison, celui qui vit et demeure en lui. Moi, la Mère, je suis la porte qui conduit à mon cher Fils Jésus-Christ.
Priez, priez, priez !
La Mère de Dieu nous bénit et l’apparition disparaît. Je ne vois qu’une lueur. Dans le chœur sont agenouillés Sœur Faustine, Myriam d’Abellin et Robert Bellarmin. Saint Charbel est agenouillé devant l’autel. Il s’incline à chaque Ave. Dans le dernier banc est assis saint Josaphat. Il est richement habillé et porte une croix singulière sur sa poitrine. Dans le premier banc des stalles est assis le pape Pie XII. Il tient un livre doré dans ses mains. Tous prient avec nous le Rosaire. Au-dessus de l’autel flotte dans les airs un signe particulier.

 

Sievernich, 3 décembre 2001

Lundi 3 décembre 2001 je ressens durant la prière du Rosaire une grande chaleur. Puis je vois un ovale de lumière. De cette lumière sort la Mère de Dieu. Elle est habillée tout en blanc. Ses pieds reposent sur la sphère terrestre. A côté de son pied je remarque une rose d’or. Dans ses mains qu’elle a jointes pour la prière, Marie tient un chapelet constitué de roses en or. La Mère de Dieu me fixe du regard, puis fixe tous les présents.
Elle s’approche de moi et dit :
Je vous salue et vous bénis, chers enfants, au nom de mon divin Fils Jésus-Christ. Je suis Marie la Mère de Dieu, Marie l’Immaculée. J’adresse ma première parole, qui est parole du Père et parole du Fils, à mes fils très aimés : les prêtres. Fils, fils très aimés, écoutez mon appel. C’est l’appel d’une mère. L’appel de votre Mère est l’appel du Père, l’appel du Fils, mon divin Fils Jésus. Mes chers fils, ne prêtez pas l’oreille aux bruits du monde qui vous conduisent à l’erreur. Ecoutez la voix de mon cher Fils Jésus, qui vit et agit dans son Eglise.
Nombre de mes fils ne veulent pas accueillir dans leur cœur mes paroles. Ils considèrent tout comme non crédible et ne croient pas à l’intervention de mon Fils Jésus. Ils ne croient pas à ma venue. A ceux-ci je voudrais dire : Mon appel résonne dans le monde. Fils, venez à moi ; je vous aime et mon divin Fils Jésus aussi vous aime. Rebroussez chemin et suivez mon divin Fils Jésus.
Chers fils prêtres, je vous appelle au nom de mon divin Fils Jésus. N’ayez pas peur ! L’Eglise sera chahutée par le monde, mais je ne permets pas qu’elle disparaisse. L’Eglise demeurera toujours, tout comme mon cher Fils est éternellement dans le Père. L’Eglise brillera dans le Père, car elle est protégée par lui, parce que le Père vit en elle, de même que Jésus, et moi aussi je vis en elle. Tout salut émane d’elle, chaque grâce est accordée à travers elle, car l’Eglise vous est offerte par le Père, le Fils et par moi votre Mère.
Chers enfants, nombre d’entre vous sont opprimés par des soucis et des besoins. Venez à moi dans mon Oasis bleue. Je suis présente en elle. C’est en elle que je vous offre mes grâces. Priez, chers enfants, priez avec le cœur. Je porte votre prière à mon divin Fils. Montrez votre amour envers Jésus. Tirez profit des sacrements de l’Eglise, afin que Jésus puisse prendre sa demeure en vous, afin qu’il soit quotidiennement en vous.
Mes enfants, je vous aime.
Je vois alors la Mère de Dieu flottant au-dessus de chacun de nous. Son Cœur est ouvert et entouré d’une couronne d’épines. Dans son Cœur sont plantées trois épées. Il saigne abondamment. Accompagnée de deux anges, elle va vers chacun de nous. Elle tient la main droite sur chaque tête et bénit. Devant un père, elle s’arrête et lui parle : « Tu es allé en de nombreux lieux où je suis apparue. Ici je suis présente. Je te bénis au nom du Père, du Fils et de l’Esprit Saint.»
Devant une personne, Marie reste debout et elle la prie instamment de se convertir : « Convertis-toi, je t’en prie. Confesse-toi et prends un nouveau départ. Viens vers moi ; je suis proche de toi. Ta Mère t’appelle. Viens à moi ! »
Je voudrais bénir les familles. Pour elles, je suis ici. J’aime les familles qui écoutent la Parole de mon Fils Jésus. Ne soyez pas découragés. Restez unis ! Je vous aiderai et vous assisterai.
Chers enfants, voyez que je suis entièrement chez vous. Parmi vous il y a quelqu’un qui me demande si lui aussi peut suivre le chemin qui conduit vers moi. Il se demande s’il peut le faire dans une communauté conventuelle. Je lui réponds: « Tu peux le faire au nom de mon cher Fils Jésus. »
 La Mère de Dieu se trouve au-dessus de nous. Un éventail de rayons multicolores émane de son Cœur et nous immerge tous.
Marie dit :
Mes enfants, je vous montre maintenant mon très cher Fils.
Marie a habillé de blanc l’Enfant qu’elle porte sur son bras.
Jésus parle :
C’est ainsi que vous devez venir vers moi en toute humilité et tout amour. Vous aussi devez devenir comme un enfant.
Jésus bénit les personnes présentes puis il dit :
Qui s’offusque de moi, qu’il s’offusque. Je suis la Vérité et la Vie.
Dans ses mains Jésus tient un sceptre et la boule bleue de la terre. La terre est surmontée d’un ruban d’or sur lequel est écrit : « Jésus-Christ reviendra dans la gloire.»
Jésus parle :
Je vous conduis hors de toute misère et de tout tourment. Je suis votre Sauveur. Vous qui peinez sous le fardeau, venez à moi !
Marie parle :
Mon Fils vous donne toutes les grâces en provenance du Père. Allez de l’avant et conservez sa grâce dans vos cœurs. Mes enfants, brûlez d’amour pour lui, qui est l’Amour ! Avec moi vous résisterez à tous les ouragans. Tous avec moi et avec mon Fils qui est dans le Père. Ne vous perdez pas lorsque vous êtes tentés. Je vous aide. Aussi, rendez-moi visite dans l’église. Rendez visite à mon Fils Jésus et offrez-lui votre amour. Je suis auprès de vous.
Marie nous bénit. La terre s’éclaire, puis l’apparition aussi. Marie dit :
Mon enfant, je t’aime. Reste fidèle à mon Fils Jésus. Je chemine à ton côté. Ne te laisse pas décourager.
L’apparition disparaît. Je vois alors saint Charbel à genoux devant l’autel. En avant à droite sont Pie XII et saint Josaphat. Devant l’autel à gauche sont agenouillés Myriam d’Abellin, Sœur Faustine, Robert Bellarmin et un homme avec la barbe portant une robe brune. Les deux anges, tenant leur coupe en main, sont encore présents.
Sur l’autel une hostie rayonne comme un soleil. Elle porte l’inscription : J.H.S.

 

Sievernich, 7 janvier 2002

Je vois un ovale lumineux à gauche de l’autel duquel sort la Mère de Dieu tout de blanc vêtue. Elle se meut au-dessus d’un nuage. Elle porte une robe blanche, un manteau blanc avec une bordure dorée. Toujours sur ce nuage, elle vient au-dessus de chacun de nous, puis s’approche de moi. Entre les mains, elle tient un chapelet lumineux.
Elle parle :
Je vous salue et vous bénis, mes enfants, au nom de mon divin Fils Jésus-Christ. Je suis Marie l’Immaculée, Marie la Mère de Dieu.
Enfants, combien vos invocations me consolent ! Appelez, priez, invoquez pour mes chers fils les prêtres, qui sont constamment contestés et tentés.
Je vois maintenant autour de Marie un cercle plein de roses blanches. Ces roses rayonnent sur nous tous.
Je viens à vous, afin que vous surmontiez ce temps d’épreuves. J’apparais pour mes prêtres, religieux et religieuses. Ils doivent vivre totalement dans l’Eglise.
Attachez-vous fermement à mes fils prêtres. Restez fidèles à l’Eglise. C’est mon appel pour vous. Le temps dans lequel vous vous trouvez est difficile, et le temps qui vous attend est plein de détresses et de contraintes. C’est pourquoi je viens aujourd’hui spécialement pour vous. Ne vous éloignez pas du chemin qui conduit dans la Maison du Père.
Vous, les familles, vous mes enfants, je vous aime. Combien je vous aime ! Que pouvez-vous faire pour moi ? Réconfortez mes prêtres, religieux et religieuses. Priez pour ceux qui ont quitté le chemin. Tant de choses ont abouti au désordre ! Ne persistez pas dans le désordre. Pensez à l’amour, au pardon, à la Miséricorde de mon Fils Jésus. Mon Fils très aimé réunifiera tout.
Chers enfants, que de misère dans vos familles ! Priez beaucoup et je viendrai vers vous et vous apporterai mon aide et l’aide de mon divin Fils.
La Mère se meut dans les airs et de son Cœur émanent des rayons de diverses couleurs. Dans ce rayonnement de grâces tous les présents sont immergés.
Le salut vous est accordé par mon Fils très aimé. Je vois une âme parmi vous qui se fait du souci à cause de son fils. Dis-lui que je l’ai entendue. Qu’elle consacre son fils à mon Cœur immaculé. Je te dis que je suis ton secours au nom de mon très cher Fils Jésus.
Enfants, appelez-moi lorsque vous êtes en difficulté. Je vous écoute ; même lorsque vous pensez que je ne suis plus à vos côtés, je le suis encore.
Vous, mes enfants, je vous demande : priez, priez, priez ! Je dois toujours vous le redire : priez ! L’appel que je vous adresse est important. La prière vous sanctifie et ainsi mon divin Fils peut prendre en vous sa demeure. Mon très cher Fils me laisse auprès de vous, afin que je puisse vous offrir ses grâces, car sa Parole est identique à la mienne et à celle du Père. Venez à moi, dans mon oasis de prière. En elle, moi Marie je suis pleinement présente.
Chers enfants, voici un autre appel : Formez de petites Eglises, de petites Oasis de prière, vous qui êtes proches les uns des autres, vous qui pouvez et devez vous appuyer sur moi et sur Jésus. Devenez mes perles de prière. Puis venez vers moi, ici en cette église et je vous oindrai, afin que vous deveniez sains de corps et d’esprit. Celui (celle) à qui j’adresse aujourd’hui cette demande, perçoit mon appel dans son cœur. Mon appel est adressé à trois personnes. Mes enfants, m’entendez-vous ? Priez dans votre maison, rendez souvent visite à Jésus dans mon église. C’est un conseil que je vous donne. Suivez les prêtres qui me sont proches.
A toi qui planifies une grande fête je dis : Sois prudent dans tes plans. Le lieu est incertain. Fais-toi guider.
Marie se rend auprès de ceux qui vont se confesser. Elle les bénit.
La confession est une grande grâce. Prenez-la au sérieux. Libérez-vous, mes enfants. Combien nous nous réjouissons, mon Fils Jésus et moi, lorsque vous prenez à cœur la confession. Les ténèbres ne veulent pas cette purification des âmes, elles ne veulent pas que vous soyez purifiés en Jésus. Vous qui prenez soin de votre corps devez aussi prendre soin régulièrement de votre âme. Ne négligez pas votre âme. Elle est créée pour l’éternité.
La Mère se penche sur chacun. Derrière elle je vois deux anges portant chacun une coupe en or. Marie parle à chaque personne et bénit chacune. A une personne, elle souffle sur le front et la bénit. Dans les coupes je vois un liquide transparent et un onguent transparent. Après un certain temps, la Mère de Dieu retourne à sa place.
Mes enfants, soyez attentifs à ma parole. Faites confiance à mon divin Fils Jésus. Je vous protège.
Maintenant, elle élargit son manteau et nous tous sommes à l’abri. D’elle émane une lumière très claire. Nous en sommes tout environnés.
Venez à moi, je guéris vos plaies. Aujourd’hui, j’envoie à vous tous ma lumière, qui vous guérit de corps et d’âme. Je suis toujours auprès de vous. Voilà ce que vous devez dire lorsque vous quittez cette église : « La Mère nous accompagne quand nous retournons à la maison. » Dans votre cœur vous amenez ma lumière à la maison.
Un jet lumineux vient sur nous tous et pénètre en chacun.
Ressentez ma présence, c’est moi qui vous donne la force, moi Marie, votre Mère du ciel.
Je vois maintenant que son Cœur est ouvert pendant qu’on prie le chapelet d’Amour. Une couronne d’épine entoure son cœur.
Elle dit : Vous, je vous immerge dans mon Cœur immaculé. L’écho de ma parole résonne dans vos âmes et vous entendez ma voix dans vos cœurs. Qu’elle résonne toujours et toujours encore ! Mes enfants, par votre prière vous renforcez l’Eglise. C’est une grande grâce pour vous. Vers vous je viendrai encore un certain temps (temps de la terre), après quoi je vous confierai une nouvelle tâche dans le Père. Que ceci soit pour vous une certitude, car cela vous a été dit. Ne soyez pas découragés, puisque vous ressentirez ma présence. Aussi, chers enfants, rendez-moi visite  et vivez  selon la Parole  de mon cher Fils  Jésus-Christ. Vous dites :
« Mère, les temps sont toujours plus difficiles. Comment pourrions-nous vivre aujourd’hui encore selon l’Evangile ? »
Je vous le dis : Avec mon aide ! Je vous aide immédiatement, lorsque vous le désirez. Mes enfants, je vous rends forts. Soyez courageux, car je suis votre Reine des cieux. Aujourd’hui, il est temps ; préparez-vous, ne perdez pas de temps. Puisque je vous aime, comment pourrais-je vous laisser aller à la perdition ? Les événements de la terre ne doivent pas vous préoccuper. Vous êtes dans mon Fils Jésus-Christ. Quoi qu’il arrive, je suis auprès de vous.
Ceci est la volonté du Père des cieux. Amen ! disent les anges ensemble, avec vous.
Dans le dernier banc du chœur, je vois en arrière saint Josaphat et en avant le pape Pie XII. Saint Charbel est à genoux devant l’autel. Il s’incline à chaque début de prière. Dans ses mains il tient un petit livre bleu qui émet de la lumière. A l’autel à sa gauche et à sa droite il y a Robert Bellarmin, Sœur Faustine et Padre Pio qui incline son visage jusqu’à terre au début de chaque prière. De lui émane une claire lumière. Il s’incline et se rend au confessionnal. Les anges sont encore présents.

Sievernich, 4 février 2002

Je ressens une grande chaleur. Je vois un ovale de lumière blanche à gauche de l’autel. La Mère de Dieu en sort, lumineuse. Elle porte un voile blanc qui va jusqu’au sol. Ce voile est garni d’une bordure dorée. Sur sa tête il y a une couronne en or. Elle porte une robe blanche. Son Cœur est ouvert. Il brille. Autour de son Cœur est enlacée une couronne d’épines. Dans ses mains, elle tient un chapelet blanc lumineux, dont le crucifix est en or. Lui aussi rayonne. La Sainte Vierge sourit. Elle est debout sur un nuage. Elle vient vers moi.
Elle dit :
Mes enfants, je vous salue et vous bénis tous. Je suis Marie l’Immaculée, Marie la Mère de Dieu. Combien je me réjouis de votre prière. Priez, priez, priez ! Ne vous relâchez pas dans la prière ! Ici, je suis réellement présente, comme le veut mon divin Fils Jésus-Christ. Ô mes enfants, combien je vous aime, combien vous aime mon divin Fils Jésus ! Aimez-le, mes enfants, je vous le demande. Priez pour l’Allemagne ! Priez pour mes chers fils prêtres ! Priez pour les Frères et Sœurs des ordres religieux. Restez fidèles à l’Eglise, vous mes fils prêtres, vous, Frères et Sœurs des ordres. Ne vous éloignez pas du chemin que vous indique mon Fils Jésus. Chers enfants, demeurez vous aussi fidèles à mon Fils Jésus. Familles, je vous appelle à moi, vous particulièrement, parce que je vous aime. Vous êtes les pierres de fondement de l’Eglise de mon très aimé Fils Jésus. Chers enfants, je vous parle aujourd’hui en tant que Marie, Reine des anges.
Combien importants sont les saints ! Que de fois ils vous conseillent lorsque vous êtes dans l’embarras. Nombreux sont ceux qui disent que nous ne devons pas les adorer, que seul Dieu Père et Jésus son Fils doivent être adorés et vénérés. N’adorez pas les saints, mais honorez-les. Les saints vous montrent le chemin. Vous, mes enfants, qui êtes munis d’une carte d’orientation, laquelle est l’Evangile, pour parvenir à la Maison du Père, vous ne trouverez pas facilement votre chemin si vous n’êtes pas accompagnés d’un guide. C’est le rôle des anges gardiens et des saints, guides et aides. Certes, vous pouvez appeler beaucoup de saints à l’aide. Les saints prient et intercèdent pour vous auprès de mon cher Fils Jésus-Christ et auprès du Père. Vous voyez combien sont importants les saints du ciel.
Chers enfants, je vous demande de former de « petites Eglises », des oasis de prière. Je reviendrai encore trois fois dans cette église de Sievernich. Ensuite, je vous appellerai à des intervalles plus longs. Je ne serai pas chaque mois visible par mon instrument. Mais mes apparitions à Sievernich ne sont pas terminées. Je vous appellerai à temps, mes enfants. Mais écoutez mes paroles. Formez de petites oasis bleues de prière. Votre prière est importante pour l’Allemagne. Priez, chers enfants. Ménagez dans vos âmes une porte d’entrée pour l’Esprit Saint. Que votre foi ne soit pas une foi de bien-être. Quelle fadeur a laissé le bien-être dans tant d’âmes ! Enfants, brûlez d’amour, afin que je puisse trouver place dans vos cœurs, afin que je puisse venir en vous.
Maintenant, elle élargit son manteau sur nous et nous y enveloppe tous.
Je vous protège, mes enfants, car je suis Marie l’Immaculée, Marie la Mère de Dieu. A la jeune femme qui est obsédée je dis que je l’en libérerai. Elle est propriété de mon divin Fils Jésus-Christ. Les ténèbres doivent céder. Son directeur spirituel a encore besoin d’un peu de temps pour la libérer. Il faut des prières !
Maintenant je vois du sang couler du Cœur de Marie. Il coule sur nous, mais arrivé en contact avec nous, le sang se change en roses rouges, jaunes et blanches. La Mère de Dieu va maintenant chez chacun. Derrière elle je vois deux anges qui portent chacun une coupe dans leurs mains. Elle s’arrête maintenant vers une jeune femme à ma droite et lui dit :
Tu es venue vers moi et je m’en réjouis. Même si tu étais venue seulement par curiosité, je veux implanter dans ton cœur l’amour envers mon divin Fils.
Marie bénit la jeune femme, puis visite chacun et le bénit.
Chers enfants, j’appelle à moi tout un chacun. Quoi que le monde vous dise, quoi que le monde fasse ou ne fasse pas: restez fidèles à mon Fils. J’envoie mon amour dans vos cœurs. Ressentez-vous ma présence ? Je suis votre Mère, comment pourrais-je vous laisser aller à la perdition ? Vos âmes, je les noue avec un ruban bleu dans mon oasis de prière.
Des rayons partent de la Mère de Dieu vers chacun de nous. Maintenant elle s’incline sur nous qui sommes dans la nef de l’église.
Mes enfants, n’ayez pas peur, vous vous trouvez auprès de votre Mère ! Que de fois je suis déjà venue vers vous ! Convertissez-vous ! Ce que le monde vous propose n’est pas rempli de bénédictions. Le monde est fait d’insécurité et de ténèbres. Ces tribulations ne pénétreront pas en vous. Si vous m’en donnez l’occasion, je vous protège. Les ténèbres doivent céder si vous m’appelez. Appelez-moi, je suis près de vous, je suis votre porte du ciel. Passez par moi pour aller à Jésus, mon cher Fils. Je vous en prie : formez de petites oasis de prière, afin d’être par moi rendus plus forts de corps et d’âme. Je répandrai sur vous ma bénédiction. Je vous fortifierai au nom de mon divin Fils. Aimez-vous et pardonnez-vous les uns les autres, comme mon Fils le fit sur terre. Jésus est votre salut. Combien vous aimez le monde et combien peu mon Fils ! Combien il vous aime, tels que vous êtes ! Allez à lui tels que vous êtes. Il vous conduira à la Maison du Père.
Mes enfants, n’ayez aucune crainte ! C’est le chemin de l’Amour tout-puissant, de l’Amour lui-même !
Voici ce que je voudrais encore vous dire : « Ne portez pas votre attention sur les événements qui doivent arriver sur la terre ! Tout doit être purifié, car les ténèbres sont sur la terre et tentent de pousser les âmes dans le précipice. En toutes circonstances priez, afin que ma voix résonne dans vos cœurs et vous accompagne en chaque nécessité. Je demeure en vous…
A la femme qui est dans la détresse je dis : « J’ai entendu ton appel. Prie et pardonne ! Souffres-tu ? alors cherche un autre chemin. Tu ne dois pas mettre en danger ta santé. Par la confession, pardonne à ceux qui t’ont fait du mal. Pardonne et cherche un autre chemin. »
Marie bénit et recule lentement, entourée de lumière. Les saints anges sont encore présents. Maintenant je vois Marie couleur or, assise sur un trône, qui se déplace dans l’air. Audessous d’elle je vois Charbel, Sœur Faustine, Myriam d’Abellin, Père Pio, le pape Pie XII et Robert Bellarmin. Ils prient et s’agenouillent devant elle. Les anges restent avec nous. L’apparition disparaît.

 

 


Sievernich, 4 mars 2002

Je vois à gauche de l’autel une lumière claire, de forme ovale. Je ressens une forte chaleur. De cet ovale lumineux sort la Sainte Vierge. Elle est habillée tout en blanc. Elle porte une robe blanche avec une bordure dorée au cou. La robe va jusqu’au sol. Tout en tenant un chapelet, elle a les mains jointes pour la prière. Le chapelet est rouge. La croix du chapelet est dorée. La Mère de Dieu est debout sur un nuage, sur lequel je vois trois roses, respectivement de couleurs blanche, or et rouge.
Elle bénit, sourit et se met à parler :
 Mes enfants, je vous salue et vous bénis. Je suis Marie, la Mère de Dieu, Marie l’Immaculée. Mon divin Fils bien-aimé m’envoie vers vous.

 

Par vos prières vous séchez mes larmes. Ô mes enfants, priez, mais ne priez pas seulement avec les lèvres, priez avec le cœur ! Faites-le, afin que je puisse être entièrement auprès de vous. Ainsi le veut le Père des cieux, ainsi le veut mon Fils Jésus-Christ.
Vous, mes enfants, devenez mes perles de prière et ne vous lassez pas ! Ceux qui se sont rassemblés aujourd’hui auprès de moi trouveront mon Fils Jésus comme cadeau.
Elle va auprès de chaque participant et nous bénit individuellement. Maintenant apparaissent deux anges qui la suivent. En face de deux hommes, elle reste debout et leur dit :
« Ce n’est pas votre foi qui vous a fait venir ici. Je veux vous rendre forts et vous bénir avec la puissance de mon cher Fils Jésus. »
Elle bénit un petit enfant et souffle sur son front :
« A la mère je dis : j’ai donné suite à ton ardent désir. Va et prie ; sois toujours auprès de mon Fils. »
Elle retourne maintenant à sa place habituelle, puis elle dit :
Chers enfants, je suis pour vous la porte du paradis.
Ce mois est consacré à mon cher Joseph. Joseph, mon époux, celui à la protection duquel je fus confiée sur cette terre, le père nourricier de mon divin Fils Jésus. Joseph est votre protecteur. Il prend soin de vous. N’oubliez pas son action importante. Confiez-vous à lui avec amour. Cela est juste et c’est le désir de mon divin Fils. Le monde a oublié les vertus de Joseph. Vous, mes enfants, ne les oubliez pas ! Que Joseph soit votre confident dans les choses quotidiennes. Il vous aidera et vous assistera. Mes enfants, priez ! Priez pour la paix dans le monde !
Je vois maintenant comment le Cœur de la Mère de Dieu s’ouvre. Des rayons de diverses couleurs en sortent et se dirigent vers chaque participant. La Mère de Dieu s’élève dans les airs et se tient debout sur la sphère terrestre. Je vois combien la guerre corrompt les êtres humains, mais un chapelet bleu puis une lumière bleue entourent la terre. Après de nombreux événements la paix s’établira.
Marie parle :
En mon Fils Jésus vous trouvez la paix que le monde ne peut vous donner. Jésus est lui-même Amour. Mes enfants, vivez l’Evangile ; faites-le aujourd’hui même : n’attendez pas demain. Laissez-moi vous conduire à mon Fils Jésus. Un seul chemin conduit à mon Fils : celui de l’amour et de la miséricorde. Que ce soit votre chemin ! Qui n’est pas bon et miséricordieux ne porte pas en lui l’amour de mon Fils. C’est pourquoi il est nécessaire, mes enfants, que vous pardonniez et fassiez pénitence. C’est là le chemin ; aucun autre ne conduit à mon Fils.
Mes enfants, je vous demande à nouveau de former de petites oasis bleues de prière. A travers elles je répandrai ma bénédiction, qui est la bénédiction de mon cher Fils Jésus. Je suis totalement présente dans mes oasis de prière.
J’adresse une demande à vous mes enfants : Voyez l’instrument que j’ai choisi et considérez combien il est faible. C’est pourquoi je désire qu’il ne soit pas importuné. Mon instrument reçoit mes grâces et vous les distribue selon la volonté de mon cher Fils Jésus-Christ. Afin que je puisse donner mes grâces à ma petite fleur, elle doit rester toute petite et inconsidérée. Elle doit rester libre. Réalisez-vous mon désir ? Priez pour elle, car elle ne peut pas faire plus que de prier et d’implorer mon Fils et moi.
Ma petite fleur, je t’aime et te bénis au nom de mon divin Fils Jésus-Christ. Dis à l’homme qui voudrait sauver son mariage : L’amour peut seulement grandir dans la liberté. Amour et liberté vont ensemble. Laisse libre et continue de prier.
Chers enfants, je vois vos souhaits. A. A., je vois aussi tes soucis. Demeure fidèle à mon Fils. Prie, je disposerai en tout.
Maintenant, elle vient vers nous.
Toi, mère de cinq enfants, je te bénis au nom de mon cher Fils Jésus. Je te rends forte. En toi tu trouves la force. Les enfants sont des cadeaux du Père du ciel. Ils sont souvent aussi exigeants pour vous, suivez avec eux le chemin qui mène à Jésus. Ne les laissez pas seuls !
Chers enfants, laissez-vous oindre. Laissez-vous oindre, même si je ne suis pas toujours visible. Ce lieu, je l’ai bénit. Il doit devenir un lieu d’adoration. Mes enfants, continuez donc à prier ! A l’avenir je ne serai pas toujours visiblement présente en cette église, mais ce lieu, je l’ai bénit et ici je répands les grâces de mon cher Fils Jésus. Priez mon Fils Jésus ! Accrochez-vous à l’adoration. Je serai toujours avec vous. Je vous accompagne à votre retour à la maison. Chers enfants, je vous demande chaque jour de prier, afin que je puisse demeurer dans vos cœurs.
Mon instrument fera confectionner une image, telle que je suis venue et telle que je viendrai à Sievernich, c’est-à-dire comme Marie l’Immaculée. Cette image répandra sur vous ma bénédiction, car je bénis mes images. Elle vous protégera contre toutes actions des ténèbres. Enfants, je vous aime. Priez, priez pour l’Allemagne, afin qu’elle n’aille pas à la perdition.
L’apparition se transforme en lumière. Je vois maintenant Charbel à genoux au pied de l’autel, qui s’incline à chaque prière, Pie XII, Josaphat, Sœur Faustine et Myriam d’Abellin. Les anges sont encore présents.

 

Sievernich, 15 avril 2002

Dans le chœur de l’église, je vois un ovale lumineux. Simultanément une forte chaleur m’envahit, puis je vois la Mère de Dieu, Marie l’Immaculée. Elle se tient debout sur un nuage à gauche de l’autel. Elle est pieds nus. Le nuage est entouré de trois roses : une blanche, une dorée et une rouge. La Mère de Dieu tient un chapelet dans ses mains jointes pour la prière. Les perles des Ave sont bleues, celles des Pater blanches.
Elle nous bénit et nous dit :
Je vous salue et vous bénis, mes chers enfants. Je viens vers vous au nom de mon divin Fils. Je suis Marie, la Mère de Dieu, Marie, l’Immaculée. Je suis auprès de vous pour donner à chacun de vous ma bénédiction. Chers enfants, il est nécessaire que je vienne auprès de chacun de vous. Je viens à vous parce que je suis votre Mère. Je me réjouis de votre prière. Elle me console ! Je vous aime, mes enfants. Devenez mes perles de prière ! Mes chers prêtres, je vous appelle. Venez auprès de votre Mère. Unissez-vous, suivez-moi ! Que chacun de vous rende les autres forts ! Vous êtes là les uns pour les autres. Ensemble pour mon Fils Jésus et pour moi, votre Mère du ciel, vous serez plus forts.
Maintenant la Mère de Dieu se rend près chacun de nous. La suivent deux anges vêtus de blanc. Je vois comment la Mère de Dieu marque le front de chacun avec un onguent transparent. Elle s’arrête devant une femme et dit :
« Toi, je t’ai appelée. Tu dois témoigner de mon Fils Jésus. Viens près de moi, mon enfant ! »
Elle va plus loin, à une jeune femme, la bénit et lui souffle sur le front. Elle va ensuite aux personnes qui sont devant l’église.
Elle parle :
A vous j’accorde mes grâces, comme je les donne à mes enfants qui sont dans cette église. N’ayez aucune crainte, car je suis avec vous.
Avec ses deux anges, Marie retourne à sa place habituelle. Je vois maintenant comment son Cœur ouvert rayonne. De celui-ci partent vers nous des rayons multicolores.
Chers enfants, que la prière soit porteuse de vos soucis et de vos besoins. Priez, priez et demandez avec le cœur : ainsi je serai avec vous. Ce lieu, cette église que j’ai choisis ont été bénis par la puissance de mon divin Fils. Là, je serai toujours avec vous, si votre cœur m’appelle. A vous, mes enfants, j’offre mes grâces. La source des grâces est mon cher divin Fils. Mais moi je vous donnerai des signes de mon amour.
(Suit une communication personnelle.)
Chers enfants, vivez dans la paix les uns envers les autres. Ne tolérez pas que Satan vous tente et prenne place dans vos familles. Priez pour les membres de votre famille. Consacrez-les à mon Cœur immaculé. Ne prenez pas en considération le manque de paix sur la terre. Priez pour la paix. Priez et intercédez pour ceux qui, vus de la terre, paraissent importants, mais ne le sont pas réellement. Consacrez-les à mon Cœur immaculé, afin que je puisse leur parler et qu’ils écoutent ma voix.
Dis à ma chère âme qui vient vers moi de loin, que je l’aime, puisque je suis avec elle. Son amour la porte vers mon Fils Jésus. Qu’elle prie assidûment avec le cœur ! A son accompagnateur, dis de ma part : « Reste fidèle à mon Fils Jésus. Il te guidera. La tranquillité, tu l’as conquise. »
Chers enfants, je suis venue aujourd’hui vers vous pour vous présenter mon lieu béni. Ici, je suis toujours si vous m’appelez avec le cœur. Ici, je désire votre prière. Le monde tombe dans le désordre. Là où mon cher Fils Jésus n’est pas, là où je ne suis pas, il y a du désordre. Mais qui connaît mon fils Jésus, qui me connaît ne tombera pas dans la confusion.
Chers enfants, même si vous considérez cela superflu, je le rappelle sans cesse : Avec une intention pure dans vos cœurs, la prière que vous m’adressez peut sauver le monde. Il dépend de vous aussi que je répande mes grâces, grâces qui sont celles de mon Fils Jésus. Entendez ma voix : priez, priez, priez !
Je vous accompagne à votre retour. Chez vous, vivez l’amour de mon Fils. Vivez l’Evangile et brûlez d’amour. Vivez de la réception des sacrements ; ils vous sanctifient. Prenez ma parole au sérieux, tout ce que je vous dis est vrai. Ce sont les paroles de mon cher Fils Jésus-Christ et les paroles du Père des cieux.
Mes enfants, je vous protège. Aujourd’hui, je place sous mon manteau protecteur tous ceux qui ont trouvé le chemin qui conduit vers moi.
Maintenant je vois la Mère de Dieu qui s’élève dans les airs, qui grandit et déploie son manteau. De celui-ci émane une lumière claire et chaude. Ce manteau nous enveloppe tous, également les gens qui sont en dehors de l’église.
Je souhaite que vous m’adressiez en mai une prière particulière pour la paix dans le monde. Consacrez votre lieu d’habitation à mon Cœur immaculé. Tel est mon désir. Je vous offre ma grâce, qui est celle de mon Fils. Ecoutez mon désir. Je vous en prie, écoutez-le ! Bientôt je vous parlerai avec mon Fils Jésus. Mon Fils Jésus vous aime tellement. Il m’a envoyée vers vous, afin que vous ne vous égariez pas et ne soyiez pas perdus, afin que vous identifiez son chemin et que, malgré tous les obstacles vous avanciez. Avec moi vous pouvez le faire. Avec moi votre chemin deviendra aisé. C’est la parole que je vous adresse.
Mes prêtres, vous êtes tous appelés à venir vers moi. Venez à moi ! Vous diacres, ouvriers à ma vigne, vous êtes appelés par moi. Ne vous laissez pas fourvoyer. Vivez l’Evangile. Tenez-vous fermement à la Vérité qu’est mon Fils Jésus. Ce qui est malade, passera. Toutefois, je préparerai la venue de mon Fils. Telle est sa volonté. Cette volonté est la volonté du Père des cieux.
Regarde ma couronne, mon enfant. Mon Fils très aimé me l’a offerte. Ma couronne, je l’ai reçue comme cadeau de lui. Elle est son signe. Ainsi vous pouvez, mes enfants, espérer en l’amour de mon Fils. Aimez-le de tout votre cœur. Aimez-le dans votre simplicité. C’est l’amour qui vous ouvre les portes du paradis.
Mes enfants, restez fidèles à mon Fils. Soyez miséricordieux envers ceux qui vous méprisent à cause de lui. Je vous aime.
Devant l’autel, je vois Sœur Faustine, saint Charbel, saint Robert Bellarmin, le pape Pie XII ainsi que Myriam d’Abellin, à genoux pendant la récitation du chapelet qui précède la messe. Ils s’inclinent à chaque Ave.

 

Sievernich, 13 mai 2002

Durant la récitation du Rosaire je ressens une forte chaleur. A gauche de l’autel, je vois un ovale brillant de lumière. De cette lumière émane la Mère de Dieu.
Je vois la Sainte Vierge comme « Immaculée », portant sur la tête une couronne d’or. Dans ses bras elle tient l’Enfant Jésus qui, comme sa Mère, a un habit blanc. Ils viennent à nous. La tête de Jésus rayonne. Ses cheveux ont la couleur de l’or. La Mère de Dieu se tient pieds nus sur un nuage. A ses pieds trois roses forment un demi-cercle. Elle avance maintenant dans ma direction, toujours en portant son Fils, lequel tient dans sa main gauche la sphère terrestre, surmontée d’une croix en or et, dans sa main droite, un sceptre brillant.
La Mère de Dieu dit :
Mes enfants, je vous salue et vous bénis. Je suis Marie, la Mère de Dieu, Marie l’Immaculée. Aujourd’hui je viens à vous avec mon très cher et divin Jésus. Vivez de son amour, vivez de sa grâce. Voyez, c’est mon très aimable divin Fils !
Marie élève son Jésus, duquel de nombreux rayons émanent et se dirigent vers nous. Elle dit alors :
Aujourd’hui, je désire vous rappeler ceci : priez, brûlez d’amour pour lui. Il est l’Alpha et l’Oméga. Pour vous il est commencement et fin.
Mon Fils vous parle :
(Pendant que Jésus parle, une lumière brillante émane de lui.)
Mes chers, je vous bénis dans le Père. Je viens comme Sauveur miséricordieux. Je viens à vous comme Fils du Père des cieux. Un Roi en toute simplicité. Je suis le Roi de l’amour. Devenez vous aussi des enfants du Père des cieux. Ne prêtez pas garde aux protestations du monde. Soyez humbles de cœur, aimez-moi et aimez le Père des cieux. Témoignez-lui tout votre amour. Faites confiance à votre Père des cieux et à moi, son Fils Jésus-Christ. Aujourd’hui je viens à vous pour vous donner mes grâces. J’ai vu tous vos soucis et vos besoins. Priez et demeurez-moi fidèles. Je suis votre secours ; je suis votre Sauveur. De nombreux soucis vous oppressent ; ils pèsent sur vous. Appelez-moi et prenez sur vous votre croix. Faites encore davantage appel à moi. Je suis votre Sauveur. Votre salut consiste à devenir comme un enfant, un enfant du Père des cieux. Là est le tout, en lui est Celui qui est.
Alors que je regarde dans les yeux de l’Enfant, je vois tout le chemin parcouru par Jésus sur la terre, puis je vois une partie du ciel. Là je vois Jésus honoré sur son trône.
Il parle :
Mes petits, aimez-vous les uns les autres. C’est l’amour qui vous conduit à moi. Le plus petit d’entre vous ira au paradis. Aucun obstacle ne lui fermera le passage. C’est pourquoi ne vous souciez pas d’être grands dans le monde, veillez à être petits et à m’appartenir totalement. Demeurez totalement en moi.
Je vois maintenant comment la Mère de Dieu porte son divin Enfant aux hommes. La Mère de Dieu va avec l’Enfant Jésus vers l’autel, puis dans la sacristie. La suivent deux anges, tout de blanc vêtus. Après un laps de temps, ils sortent de l’église pour bénir également ceux qui sont dehors. Ils s’arrêtent auprès d’une jeune femme. Jésus bénit cette femme et lui donne un baiser sur le front. La Mère de Dieu et son Enfant vont ensuite auprès de chaque personne qui est à l’extérieur de l’église. Après cela ils rentrent à nouveau dans l’église et s’arrêtent devant une femme qui a de longs cheveux gris et qui est vêtue d’une veste noire. Cette femme est agenouillée dans la nef latérale gauche de l’église. Puis la Vierge Marie se rend auprès d’une religieuse portant des lunettes. Jésus dit une parole à celle-ci, mais je ne peux la comprendre, car elle est en hébreu. Puis la Vierge retourne dans le chœur de l’église avec Jésus Enfant.
Jésus parle :
Vous, les petits, prêtez attention aux petits et aux faibles. A eux j’ouvrirai personnellement la porte du ciel. Vous, les présomptueux, je vous humilie lorsque je vous parle comme Enfant. Vous ne l’acceptez pas. Je peux pourtant venir à vous comme Roi ou comme Enfant. Tout est en moi. Tout est dans le Père, duquel je viens à vous. Je suis un avec lui. Comment pouvez-vous me comprendre si vous-mêmes ne devenez pas comme de petits enfants ?
Voici mon appel à mes prêtres et à mes religieux : Devenez très petits, brûlez d’amour, afin que je puisse être en vous, afin que dans le Père je puisse vous offrir la couronne de la vie. Amen !
En souriant, la Mère dit :
Ce sont les paroles que mon cher Fils vous adresse.
Les deux Cœurs de Jésus et de Marie rayonnent et nous immergent tous.
Marie parle :
Avez-vous compris les paroles de mon Fils Jésus ? Qu’elles vous encouragent. Qui d’entre vous est petit pour accomplir la volonté du Seigneur ? Si vous essayez, je vous aide. Si vous voulez être petits, vous marchez alors sur le chemin du salut. Ce chemin conduit à mon Fils. Ne prêtez pas attention au monde, ne faites pas cas de la réputation et des honneurs. Fixez votre regard sur mon Fils Jésus-Christ.
Nous sommes tous immergés dans une lumière rougeâtre.
Marie parle :
Ce lieu, cette église, je les ai bénits avec la puissance de mon cher Fils Jésus. Il continue à vous donner ses grâces dans cette église. Je reviendrai en ce lieu. En octobre, je reviendrai vers vous dans cette église. Jusque-là je vous accompagnerai en ce lieu de grâce d’une façon invisible.
Les grâces que mon Fils Jésus vous accorde dans cette église par mon intercession montreront que j’ai béni cette église, que je suis apparue en elle. L’action de mon Fils n’est pas finie. Priez, implorez de tout votre cœur. Bien que vous ne me voyiez pas, je suis auprès de vous. Aujourd’hui je veux donner une grande force à ceux qui sont présents, particulièrement à mes chers fils prêtres.
A un prêtre de l’Inde, elle dit :
Mon fils, je t’ai appelé. Reste fermement attaché à moi !
Puis elle parle à un autre prêtre :
Tu as dû beaucoup endurer. Je suis auprès de toi. Offre tout à mon Fils !
S’adressant à son instrument, la Sainte Vierge dit :
Toi, petite perle de prière, sois sans crainte. C’est moi, la Reine du ciel, la Mère du Sauveur, l’Immaculée, qui viens vers toi. Tu me vois et je te parle. Tu vois les grâces que j’accorde à l’Allemagne. Je veux la sauver, ainsi que les êtres humains qui accourent vers moi. Venez à moi, vous qui brûlez d’amour. Vous, malades et sceptiques, je suis pour vous aide et force.
Mes enfants, vos prières me consolent. Venez à moi ! Je ne vous laisse pas seuls. Je suis auprès de vous, c’est mon divin Fils qui le veut. Ainsi le veut le Père céleste. Rayonnez, vous aussi, ma présence. Soyez miséricordieux et bons. Vivez l’Evangile. Prenez des forces et sanctifiez-vous à travers les sacrements que l’Eglise vous offre, qui vous ont été donnés comme cadeaux par mon Fils Jésus.
Demeurez fidèles à mon Fils. Soyez inébranlables dans le quotidien. C’est le quotidien qui oppresse les âmes. Avec moi, mes enfants, vous pouvez tout maîtriser, si vous vous offrez totalement à mon Fils Jésus.
Je vous aime. Je vous bénis. Pensez à toutes mes paroles. Lisez chaque jour les paroles de mon cher Jésus, afin que vous lui restiez fidèles. Priez, priez, priez ! Je vous sauverai, vous et votre patrie. Amen.
Pendant la prière du Rosaire sont à genoux devant l’autel : Myriam d’Abellin, Sœur Faustine, saint Josaphat, Charbel et le pape Pie XII.

 

Sievernich, 7 octobre 2002

Je reçois la visite de la Mère de Dieu dans un lieu de Sievernich, là où elle m’a convoquée. Je vois trois éclairs dans le ciel, puis elle descend vers moi en tant qu’Immaculée. Elle vient sur moi dans un ovale lumineux. Elle est très proche de moi. Je suis comme chargée d’électricité.
 Elle parle :
Je te salue, ma petite perle de prière. Je suis Marie l’Immaculée, Marie la Mère de Dieu. Ma petite perle, ici je te remets les clés de mon très aimable divin Fils Jésus- Christ. Garde là-dessus le silence. Les clés te servent comme armes contre les ténèbres.
Maintenant, tu sais ce qui se passe.
Je vais maintenant chez mes enfants, bénir chacun d’eux qui est venu vers moi.
Toi aussi, petite perle, je te bénis au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit.
Mes prêtres, mes prêtres, je vous demande de venir vers moi. Je suis votre Mère. N’abandonnez pas mon très aimable divin Fils. Il est votre Roi, en toute simplicité.
Je bénis aussi tes aides précieuses.
Maintenant, je vais chez une femme dont le fils est malade. Tous deux sont venus vers moi.
Que la bénédiction de mon très aimable divin Fils soit avec toi, comme moi aussi je suis avec toi. Va maintenant dans l’église !
La Mère de Dieu me précède. Elle va à chacune des personnes qui attendent dehors et les bénit. Elle me montre le chemin de la sacristie. Je vois ensuite comment l’Immaculée s’incline dans la nef de l’église. Toutes les personnes sont bénies par elle. Après cela elle se rend vers l’autel. Un peu en arrière d’elle, deux anges l’accompagnent.
Elle me dit :
Mon enfant, tu as reçu les clés. N’aie pas de souci à ce sujet. Tout doit se passer ainsi. Je suis la Reine du ciel, Marie l’Immaculée.
Chers enfants, je vous appelle à Sievernich, Priez, venez dans mon église, qui est l’église de mon divin Fils. Je vous offre dans cette église les grâces de mon divin Fils. Je suis venue vers vous pour panser vos plaies. Priez, mes enfants, priez ! Si vous priez avec le cœur, mon Fils vous donnera beaucoup de grâces.
A une femme j’offre, par l’intermédiaire de mon divin Fils, la paix de l’âme. Ce qui lui était pesant n’est plus.
Maintenant, elle va vers les enfants, à gauche de l’autel et une lumière particulière descend de la Mère de Dieu sur les enfants. Elle les survole et ouvre son manteau.
Elle parle :
Mes enfants, venez tous sous mon manteau. Je veux tous vous protéger. Je suis votre Mère.
Toutes les personnes, qu’elles soient dedans ou dehors, sont enveloppées dans une merveilleuse lumière. Des rayons sortent du Cœur ouvert de Marie et un faisceau de lumières va vers chacune.
Sa couronne est particulièrement brillante. Je vois autour de sa tête douze étoiles formant un cercle.
Tout ce que je vous dis arrive. Le monde n’aimera pas mon Fils. L’homme qui appartient au monde ne pense pas à la grande puissance de mon divin Fils. L’homme du monde vit comme si le Père des cieux n’existait pas.
Encore un peu de temps et vous verrez que les événements que j’ai annoncés à Fatima se concrétisent. Encore un peu de temps et la première clé que je t’ai donnée verra son utilisation. Ne donne les clés qu’au Saint-Père de Rome. Je te demande d’être discrète, car on ne te fera pas confiance. Pourtant tout se réalisera ainsi.
J’aime mes enfants et ne les laisse pas se perdre. Je suis venue vers vous pour vous apporter le salut. Telle est la volonté de mon divin Fils Jésus.
A ce prêtre je dis : Prends courage, je t’accorderai tout. Je suis auprès de toi.
Mon Fils agit et j’agis avec lui.
Mes enfants, vivez l’Evangile, même si vous ne me voyez pas et n’entendez aucun mot, je vois et entends ce que vous faites. Suivez mon conseil et priez. Je suis votre Mère et ne vous abandonne pas.
Je vous ai tous bénis, car telle est la volonté de mon divin Fils Jésus. Je vous offre mes grâces. Grâces pour le fils avec sa mère. Grâces pour ces hommes, femmes et enfants. J’aime les enfants qui viennent vers moi. Je suis leur Mère du ciel. Mon appel s’adresse aussi aux prêtres. Prêtez attention à mes petits, considérez-les !
La Mère de Dieu tient l’Eglise entre ses mains.
Ce lieu, je l’ai choisi.
Pour un prêtre : Garde le silence et prie. Je t’ai indiqué le chemin.
Je vous donnerai mon signe lorsque mon Fils le voudra. Tout s’accomplira.
Maintenant elle se balance dans les airs au-dessus de nous dans la sacristie. Elle nous bénit tous.
Je vous appelle. Mes enfants, je vous appelle à la prière, au sacrifice et à la pénitence. Les hommes qui appartiennent au monde ne comprendront pas mon appel. Pourtant, mon action dans cette église vous montrera que tout ce que je vous dis est voulu par le Père, que c’est son plan que je vienne vers vous avant ce puissant retournement.
Je vois comment elle se tient sur le globe terrestre et comment la terre est secouée.
Il y aura des tempêtes, des pluies et la nature se déchaînera.
Va vers mon Fils, crois à mon divin Fils. Mes prêtres sauveront la terre. Ecoutez mes paroles : Mes prêtres et les miens sauveront la terre et les hommes !
Prends courage ! Je suis auprès de vous, même si vous ne me voyez pas. Convertissez-vous, mes enfants, convertissez- vous ! Avec moi, vous pourrez tout supporter. Sans moi, vous gémirez.
La Mère de Dieu resplendit comme un soleil.
Mon enfant, je suis ta consolation. Je t’aime. Viens vers moi, je suis ta Mère. Mes enfants, je suis ici en ce lieu. Venez vers moi !
Toi, ma petite perle de prière, tu seras éprouvée. Tout se passe cependant comme mon Fils le veut. Pour toi, il suffit que je sois auprès de toi.
Apparaît maintenant une haute et étroite croix dorée qui émet des rayons.
 Mes enfants, je sèche vos larmes. Restez fidèles à l’Eglise catholique. Quoi qu’il advienne, de quelque manière que vous soyez éprouvés, restez fidèles. Ceci est le chemin de vérité. Ne portez pas de jugement sur elle. Mon divin Fils parle :
Voyez, je renouvelle tout !
La Mère de Dieu :
Je te donne ma bénédiction. Je me réjouis que vous soyez venus vers moi. Ceux qui prient avec le cœur me procurent une vraie joie. Je les aime ! Ils sont ma consolation et sèchent mes larmes.
La Mère de Dieu s’élève dans les airs, puis disparaît dans la lumière. Les anges sont encore là.
Je vois maintenant agenouillés devant l’autel : Padre Pio, Charbel, Myriam d’Abellin, sœur Faustine et Josaphat.
Ici prend fin la série des messages officiels.

 

Messages privés

Le ciel se manifeste encore à Manuela et lui donne des messages personnels ou à faire connaître, mais les interventions célestes ne sont plus annoncées à l’avance. Elles interviennent à l’improviste et pas seulement dans l’église de Sievernich.
Ces interventions et les communications du ciel n’en sont pas moins importantes et instructives. Nous avons choisi de vous en donner des extraits.

 

3 février 2003

Cette fois, je ne peux pas empêcher que le calice de mon Fils se déverse sur l’humanité. Mais vous, je vous protégerai sous mon manteau. Priez, priez, priez !

 

10 mars 2003

Je pleure à cause de mes fils, je pleure à cause de mes filles. Priez, priez, priez ! Si l’humanité ne se convertit pas, on en viendra à une guerre terrible, qui attirera des conséquences effroyables.

 

7 avril 2003

Aujourd’hui je suis venue vers vous pour répandre les grâces de mon Fils Jésus. Sur terre, la puissance est encore laissée à la Bête. Priez, priez, priez !
Jésus parle :
Je veux être auprès de toi. Reste fidèle à ta mission. J’ai envoyé Marie, ma sainte Mère, auprès de vous dans cette église ; je l’ai envoyée avec mes paroles pour vous, afin que vous tous la suiviez, comme je le veux. Ecoutez ses paroles ; ses paroles sont mes paroles.
Je t’ai choisie comme personne simple, normale, afin que les hommes se rendent compte comment j’agis, voient ce qui est naturellement à toi et ce que je t’offre en surplus. Ce que je te donne, ce sont des grâces. Elles ne sont pas naturelles. En tant que simple personne, tu n’en serais pas capable. A travers toi, les hommes peuvent constater que je viens chez chacun de vous : il suffit que j’y sois invité.
A tous j’offre le salut et la bénédiction. Ta mission, c’est la prière et la communication avec les êtres humains. Ils peuvent ainsi revenir à moi, selon leur propre volonté. Conduis-les à mon Corps mystique, l’Eglise…
Peu avant mon retour dans la gloire, je regarde mes successeurs (les prêtres). Aujourd’hui, qui m’aime encore ? Qui se comporte selon ma Parole ? Au temps que je passai sur la terre, je fus maltraité et martyrisé. Les pharisiens ne m’étaient d’aucune aide…
Qu’en est-il aujourd'hui ? Suis-je aimé et annoncé par mes prêtres ou suis-je désavoué pour qu’ils puissent exprimer leur propre volonté ? Ne suis-je pas l’Amour et comment agit celui-ci ? Mes successeurs, répondez et en silence examinez-vous. Je connais chacun de vous ; c’est pourquoi j’envoie mes grâces et j’adresse mes paroles à mes petits, à mes simples…
Vous mes successeurs, convertissez-vous ; revenez à moi. Aimez-moi, qui suis votre Maître, comme moi je vous aime. Prenez ma main, prenez-la aujourd’hui.
Ce lieu m’est réservé, ainsi qu’à ma Mère. Je veux qu’en ce lieu un Centre soit élevé, lequel doit servir mon Eglise, mon Corps mystique et ainsi me servir.
Sers fidèlement et sincèrement le Père des cieux, moi le Fils et sa Mère. Ici doit se réaliser ce que je vous enseigne, ce que l’Eglise vous dit. En moi, tes aides peuvent se sentir protégées des adversités et tentations de l’ennemi. Ne les invite qu’à la prière. Chacun doit faire passer sa propre personne après ma volonté. Ceci est la mission de tes aides. Si elles me sont fidèles à moi et si elles le sont à ma Mère, elles porteront des fruits abondants. Je pense à tout. Ce que je veux triomphe, je vaincs.

19 mai 2003

Ce jour-là, durant l’adoration du Saint Sacrement, je vois soudain la sainte Hostie se modifier. Plusieurs taches apparaissent. Cela dure quelques minutes. Puis dans la sainte Hostie je vois la Face de Jésus, presque telle que je la vois sur le Suaire de Turin. Cela dure approximativement une minute. Dans mes oreilles je perçois que Jésus commence à me parler. Sa voix est celle d’un homme, convaincante mais douce, légère, très claire, tout simplement merveilleuse…
Jésus parle :
Je le veux ainsi. C’est nécessaire. Je veux être auprès de toi. Reste fidèle à ta mission. Je vous envoie ma sainte Mère dans cette église. Je l’ai envoyée avec mes messages. Ecoutez ses paroles, car ce sont aussi les miennes.
Je t’ai choisie en tant que personne simple, normale, afin que les gens reconnaissent comment j’agis, ce qui provient de ta nature et ce que moi je te donne, qui n’est pas naturel.

 

2 juin 2003

Je vais vers le crucifix où le 7 octobre 2002 j’ai reçu de la Mère de Dieu trois clés. Quelques personnes s’y trouvent. Je prie la Mère céleste pour la guérison de plusieurs personnes…
La Mère de Dieu me dit :
Je t’envoie mon aide et des aides. Toi, ne fais que prier. Tu ne trouveras pas pour toi de guérison en ce lieu. Sur la terre, ton chemin est plein d’épines. Ton bonheur, tu ne le trouveras qu’au ciel. Mais pense à ceci, ma petite : sans souffrances, pas de grâces. Poursuis fidèlement ta mission sans te préoccuper !

 

20 octobre 2003

Durant la récitation du Rosaire dans l’église de Sievernich, je vois la Mère de Dieu qui tient en main le chapelet et le scapulaire du Mont-Carmel. Elle sourit, me console et dit ceci :
Aimez, offrez, priez, mais agissez aussi !

 

1er décembre 2003

Marie l’Immaculée apparaît portant l’Enfant Jésus sur son bras gauche et tenant dans sa main droite le scapulaire du Mont-Carmel. Elle va avec son divin Enfant auprès des personnes présentes et ils les bénissent. Soudain, les deux Cœurs s’ouvrent et de merveilleux rayons en émanent et vont vers tous les présents.

 

3 mai 2004

Chers enfants, je viens vers vous aujourd’hui pour adoucir vos souffrances.
Pensez que le cœur de l’Eglise, c’est l’autel. Priez et offrez pour mes fils prêtres…

 

28 août 2004

Après la récitation du Rosaire dans l’église de Sievernich, sainte Thérèse d’Avila est agenouillée devant le tabernacle. Elle me dit :
Mon enfant, prie avec moi :
Notre Père, qui es aux cieux…
Pense que tu as un Père dans le ciel, lequel est tout-puissant. Il prend soin de toi…
Que ton Nom soit sanctifié…
Loue, apprécie et bénis le Nom du Père des cieux. Ses yeux trouveront en toi le repos et le Saint-Esprit te réconfortera et te conduira…
Que ton Règne vienne…
Désire ardemment le Règne éternel du Père. Ouvre ton cœur au règne qui passe et prête attention au Royaume éternel…
Que ta volonté soit faite…
Père, que ta volonté soit faite et non la mienne ! Père, entre tes mains je me remets. Entre elles je suis caché, si je me donne tout à toi… Ma volonté est faible et je suis misérable. Ne suis-je pas sans toi totalement prisonnier du péché ? C’est pourquoi, je te dis : que ta volonté soit faite et non la mienne.
Sur la terre comme au ciel…
Les cieux et la terre ! Ne sont-ils pas deux mondes différents, celui qui est éternel et celui qui passe ? Dieu, notre Père, règne sur la terre comme au ciel… Dans ton Cœur ciel et terre se rejoindront.
Donne-nous aujourd’hui notre pain quotidien…
Le Père prend soin de ses enfants. Prie et travaille. N’oublie pas tes proches !
Et pardonne-nous nos péchés…
Dieu, notre Père, est miséricordieux, si nous le prions, pleins de repentir. Le repentir est notre libération, notre salut. Il faut t’y exercer et le jugement ne tombera pas sur toi.
Comme nous aussi nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés…
Comme le Père est plein de Miséricorde envers toi, ne la refuse pas à ton prochain… Pardonne, libère-toi et libère-le… Par l’amour vécu, tu te places, toi, et tu places ton débiteur dans la main de Dieu.
Et ne nous soumets pas à la tentation…
Dieu, qui est Amour, ne nous tente pas. Notre Père tolère les épreuves qui nous assaillent. Ces purifications servent à notre salut. Accepte-les avec patience.
Mais délivre-nous du mal…
Evite le mal et ne te laisse pas vaincre par les tentations.
Car c’est à toi qu’appartiennent le Règne…
 Il n’existe qu’un Règne éternel, celui du Père des cieux.
La puissance…
Que puis-je faire de la puissance de Dieu ? Tout ! Le Père, le Fils et l’Esprit Saint sont ma puissance.
Et la gloire.
Ô Dieu, qui peut mesurer ta gloire ? Qui d’entre nous peut la supporter ? Personne ne peut s’en faire une idée, ni en paroles, ni en images.
Pour les siècles des siècles. Amen !
Toi seul es éternel, mon Seigneur et mon Dieu !

 

11 septembre 2004

Dis à tous les êtres humains qui souffrent de prendre sur eux leur croix par amour de Jésus. Qu’ils l’offrent à Jésus et elle se transformera en grâces. Seul l’amour envers Jésus change la croix de douleur en joie. Ceux qui sont les aimés du Seigneur portent la croix, mais dis-leur qu’ils ne la portent pas seuls, qu’ils la portent avec lui et lui avec eux pour autant qu’ils lui ouvrent leur cœur et qu’ils l’aiment. Lui qui est Amour transforme leur croix. Comment peut-il le faire ? Cela est en lui depuis toujours, comme cela fut, est et sera dans le Père pour l’éternité.
A ses bien-aimés, le Seigneur pose la croix sur leurs épaules comme lui, le Très-Haut, la porta. Pensez cependant que la croix sera pour vous un ravissement pour l’éternité si vous la portez par amour du Seigneur…

 

23 septembre 2004

J’entends la voix de Thérèse d’Avila, qui veut me parler du bon comportement envers les pécheurs :
Constate, mon amie, que Dieu ne laisse pas le pécheur prisonnier dans son péché. C’est la libre volonté du pécheur de chercher et de trouver Dieu. Qu’il se mette seulement en chemin, même s’il est plein de fautes…
Ne demande pas ce que Dieu ne demande pas. Le Seigneur est miséricordieux, bon, patient… Tu ne conduiras pas à lui le pécheur par la contrainte, les menaces ou en provoquant la tourmente sur son chemin. Seulement si tu vis en Lui et Lui en toi et que tu vis cet amour, tu pourras ramener le pécheur sur le chemin de l’Amour tout-puissant…

 

11 octobre 2004

Après la prière du Rosaire, je prie en silence devant le tabernacle. Soudain, je vois comme un grand soleil dans le tabernacle. Du tabernacle sort la sainte Face de Jésus, telle qu’elle est sur le saint Suaire de Turin. Dans le tabernacle la sainte Face est vivante ; elle nous regarde. Plus grand que la sainte Face, derrière elle, il y a un imposant soleil.
Jésus me dit :
Je suis le Seigneur, ton Dieu. Je veux t’enlever tout ce qui t’empêche de venir à moi. Je veux que tu sois devant moi les mains vides, car je veux les remplir de mon amour. Offre mon amour, offre-le abondamment…

 

8 novembre 2004

Pendant l’adoration du Saint Sacrement je prie, prostrée sur moi-même, lorsque soudain j’entends diverses personnes dans les bancs de l’église qui crient : « La sainte Hostie ! L’Enfant Jésus ! » Rendue attentive par les cris des gens, je vois l’Enfant Jésus devant la sainte Hostie, tout habillé de blanc et environné d’une lumière blanche…
Il lève la main droite pour bénir. Tandis que le prêtre déplace l’Hostie à l’intérieur de l’ostensoir, l’Enfant Jésus ne change pas de position. De nombreuses personnes ont bénéficié de cette vision durant environ quinze minutes.
Lorsque le prêtre retire l’Hostie de l’ostensoir, la vision de Jésus Enfant prend fin.
Plus tard, je constate sur une image que Jésus est identique à l’Enfant Jésus de Prague, tel que je l’ai déjà vu à Sievernich le 15 octobre 2001.

 

6 décembre 2004

L’Immaculée se tient debout sur la boule terrestre. Elle porte l’Enfant Jésus sur son bras gauche. Jésus tient dans sa main droite un sceptre d’or. Du Cœur de Jésus des rayons dorés descendent sur nous.
L’Enfant Jésus dit :
Je vous donne ma bénédiction et ma paix.
Il me regarde et me demande :
Qu’attends-tu de moi ?
Je lui réponds : Jésus, tu me le demandes. J’ai prié pour le Centre spirituel de Sievernich que toi et ta Mère souhaitent.
Jésus : Confie le tout à ton directeur spirituel.
Pour terminer j’ai confié tous les présents, les malades et les miséreux au Seigneur et à sa Mère. Les chapelets et les demandes je les ai remis à l’Enfant Jésus. Il en sortit une lumière dorée qui descendit sur nous.
Marie dit :
Voici mon cher Fils. De sa main, devenez vous aussi un enfant. Si je regarde mon pays, je vois mes enfants verser tant de larmes. Venez à mon Fils Jésus ; vos larmes sont transformées en son amour. Veillez, vous aussi, sur chacun de mes petits. Chaque enfant est un cadeau du Père céleste. Comprenez-le et agissez en conséquence.
Alors la Mère de Dieu prie :   Gloire soit au Père, au Fils et à l’Esprit Saint.
Je réponds : Comme il était au commencement, maintenant et toujours dans les siècles des siècles. Amen.

 

Sainte veillée du 24 décembre 2004

J’entends la voix de sainte Thérèse d’Avila :
« Apprécie la bénédiction de la sainte Nuit. Consume-toi dans l’amour du Seigneur. Nous ne pouvons concevoir combien de grâces nous ont été accordées et le sont toujours de nouveau. Sa Majesté quitte le divin trône et choisit, par amour de nous, la pauvreté et la petitesse, très éloignées de toute sublimité. Pourquoi l’a-t-il fait ?
Parce qu’il nous aime, parce que ainsi il est plus près de nous. Sa divine Majesté est un témoignage de son amour infini. Pose ton regard sur l’Enfant dans la crèche et tu comprends ce qu’il voudrait te dire :
Aime comme moi aussi j’ai toujours aimé et comme toujours j’aime. Ainsi je peux trouver accès à ton cœur. Donne-moi ton amour. Ta foi doit refléter mon amour vivant…
Aime-moi ! Que ton amour soit vivant et passionné.
Que tes paroles et tes actions ne soient que l’expression de mon amour. Dans la souffrance, mon amour brûle comme le feu. Consume-toi pour moi. Je veux être un avec toi ! »
Le divin Roi appelle tout spécialement ses prêtres et les consacrés à être des témoins vivants de son amour. « Mon amie, me dit Thérèse d’Avila, si Dieu t’appelle à te consumer autant en lui, combien plus peut-il demander à ses prêtres ? »
Finalement, Thérèse d’Avila fait avec moi la prière suivante :
Esprit Saint, puissance innée de la force divine, ouvre les portes de mon cœur pour mon Seigneur.
Esprit Saint, force vivante de Dieu, viens à moi et anime-moi.
Esprit Saint, pureté d’amour, conduis-moi sur le chemin du Seigneur.
Esprit Saint, amour de Dieu qui s’immole pour nous, donne-moi un cœur qui sait davantage donner que prendre.
Esprit Saint, fidélité divine, reste auprès de moi, afin que je puisse suivre mon Jésus.

 

3 janvier 2005

Chers enfants, priez, priez, priez ! Priez et réparez, afin que mon divin Fils soit moins maltraité par les hommes. Que de fois son amour est repoussé. Vous, je vous ai appelés, afin que vous receviez ses grâces.
Je peux maintenant présenter ma demande, à savoir si je dois aller en divers lieux où je suis invitée pour présenter les apparitions de Sievernich… Elle me répond :
Fais ce que je te dis, ce que mon divin Fils désire de toi… Tu n’as pas besoin de voyager pour mon Fils Jésus et pour moi. Ce qui se passe dans cette église, voilà ce que désire mon Fils. Il vous accorde ses grâces. Celles-ci parleront par elles-mêmes. Ma demande concerne le Centre spirituel. Aide les hommes à vivre leur foi. Pose ton regard sur mon Fils Jésus.
Je suis autorisée à poser ma deuxième question à l’Immaculée. Un homme se soucie au sujet de la validité des mystères lumineux. Les évêques raccourcissent les commentaires proposés par le pape. Il ne sait pas comment il doit prier. La Mère de Dieu me répond :
Dis-lui de rester en union avec les évêques. En groupe il doit prier en soumission aux évêques.
La Mère de Dieu se penche sur nous avec le scapulaire du Mont-Carmel, puis nous bénit et bénit nos chapelets.





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