Paris, la chapelle Sainte Thérèse

Paris
La chapelle Sainte Thérèse

Paris, la chapelle Sainte Thérèse
   Carte postale de Paris, vue latérale de la chapelle Sainte Thérèse



La Chapelle Sainte-Thérèse est située dans le 16ème arrondissement de Paris, dans l'enceinte du siège des Apprentis d'Auteuil. 
C'est le premier sanctuaire qui a été dédié à Thérèse de Lisieux, en 1925, après sa béatification.
On y trouve des reliques de Sainte-Thérèse de Lisieux et le tombeau du bienheureux Daniel Brottier.

Histoire de la chapelle

En 1923, le père Daniel Brottier devient responsable des Orphelins d’Auteuil et décide de construire une chapelle alors qu'il n'a aucun fonds et que l'œuvre d'Auteuil est dans une situation financière précaire. 
Une bienfaitrice apportera la somme nécessaire pour lancer les travaux. 
Le carmel de Lisieux offre des reliques de Sainte Thérèse.
La première messe y est célébrée le 25 décembre 1925.
Le père Daniel Brottier y est enterré.

 

Architecture

La chapelle, dessinée par les architectes Henri Chailleux père et fils est de style néo-gothique, avec la Sainte-Chapelle comme inspiration.

 

Les vitraux

La chapelle a une cinquantaine de vitraux de la société Mauméjean frères, datant de 1927.
Dans le chœur, 9 vitraux représentent des anges tenant les instruments de la Passion du Christ. Et dans la nef, 12 baies évoquent les litanies de la Vierge.
Dans le transept, deux grandes roses avec baie évoquent la canonisation de Sainte Thérèse et l’autorisation donnée par le cardinal Dubois de construire ce sanctuaire. 
En façade, une autre rose avec baie représente la pluie de roses promise par la Petite Thérèse.
4 petites baies représentent des lys ou des roses.
14 baies illustrent la vie de différents saints ou modèles proposés à la jeunesse : Saint Antoine de Padoue, Sainte Geneviève, Sainte Jeanne d’Arc, Saint Vincent de Paul, des missionnaires.

Œuvres de la chapelle

Le chemin de croix a été réalisé en mosaïques sur le devant des autels des chapelles latérales par la maison Mauméjean.
L’autel et l’ambon sont de Jean Touret.
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