Bienheureux Matthieu Carreri
Matthieu Carreri (Mantoue, 1420 - Vigevano, 5 octobre 1470) est un dominicain italien reconnu bienheureux par l'Église catholique.
Biographie
Il naît dans une famille noble de Mantoue.
Un
jour, en entrant dans l'église saint Dominique de Mantoue, il est
frappé par la psalmodie des frères, et décide immédiatement de rejoindre
l'ordre des Prêcheurs.
Après son noviciat, ses supérieurs le chargent de la prédication particulièrement en Lombardie, en Toscane, Ligurie et Vénétie ainsi que de réformer plusieurs couvents de son ordre.
Il se soucie beaucoup de faire fructifier le Tiers Ordre dominicain ; c'est par ce biais qu'il rencontre la bienheureuse Stéphanie de Quinzani.
Il se retire ensuite dans le couvent de Vigevano pour y finir ses jours en méditant plus particulièrement la Passion du Christ.
Selon son hagiographie, un jour, il demande au Christ de lui faire partager ses souffrances et sent son cœur comme percé d’une flèche.
Il meurt peu après le 5 octobre 1470 à Vigevano.
Culte
En 1482, le pape Sixte IV autorise son culte qui est ensuite approuvé le 23 septembre 1742 par Benoît XIV.
Son corps repose dans l'église saint Pierre martyr de Vigevano.
Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Matthieu_Carreri
Il est né en 1420.
A 20 ans, il entre dans le couvent de sa ville natale de Mantoue.
Il est devenu célèbre pour sa prédication ardente, dont le thème central était la Passion de Jésus.
Sa voix passionnée retenti dans la Lombardie, la Toscane, la Ligurie et la Vénétie. Les conversions des pécheurs sont innombrable.
Il est fait prisonnier durant un voyage en bateau, il apprit à sa libération que restaient encore prisonnières une femme et sa jeune fille. Il s’offrit pour elles et le corsaire, ébahi, les libéra tous les trois !
En Vigevano, où il était venu pour prêcher, il a reçu le prix de son apostolat : la rencontre définitive avec le Christ, 5 Octobre 1470.
Son corps est vénéré dans l'église de Saint- Pietro martire à Vigevano.
Protecteur confirmé de Vigevano en Lombardie, en 1482, le Pape Sixte IV permit, par oral, le culte du bienheureux.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire