Bienheureux Jean Gonga Martinez
et Marie Giner Gomis († 1936)
martyrs en Espagne
( Juan ) Gonga Martinez naquit, le 25 mars 1912, dans le village de Simat de Valldigna près de Carcaixent, qui faisait partie de l' archidiocèse de Valence.
Après sa première communion, le 25 juin 1922, le jeune garçon commença une vie intense et joyeuse de prière.
Il se sentait appelé à la prêtrise.
Il réussit à provoquer la conversion de plusieurs de ses camarades.
C' était un garçon heureux de vivre et heureux de suivre le Christ.
Cependant, lorsqu' il fut jeune homme, sa santé s' altéra, remettant à plus tard son éventuelle entrée au séminaire.
Il s' inscrivit à l' Action Catholique qui, selon les directives du Pape Pie XI, tentait d'aborder les questions de l'époque, en particulier l'apostolat en milieu ouvrier ou en milieu paysan, ainsi que les questions sociales, afin de ne pas en laisser le monopole aux grands partis de masse, souvent hostiles au Christianisme et au Catholicisme en particulier.
Cependant, lorsqu' il fut jeune homme, sa santé s' altéra, remettant à plus tard son éventuelle entrée au séminaire.
Il s' inscrivit à l' Action Catholique qui, selon les directives du Pape Pie XI, tentait d'aborder les questions de l'époque, en particulier l'apostolat en milieu ouvrier ou en milieu paysan, ainsi que les questions sociales, afin de ne pas en laisser le monopole aux grands partis de masse, souvent hostiles au Christianisme et au Catholicisme en particulier.
Il devint un catéchiste efficace au sein de l'Action Catholique et conquit de solides amitiés.
Il participait aussi à de multiples œuvres de charité en ville. Parallèlement, il débutait une carrière d'employé de bureau.
Lorsque l'insurrection du général Franco en juillet 1936 marqua le début de la sanglante guerre civile espagnole, le jeune homme, qui était connu et jalousé pour ses œuvres charitables et son prosélytisme chrétien, fut arrêté par une faction anarchiste, le 26 juillet, alors qu'il sortait de la Messe.
Les églises de la région de Valence commençaient à être incendiées ; mais certaines étaient encore épargnées.
Dans
les débuts chaotiques de la contre-offensive du gouvernement de gauche
de la province de Valence qui subissait les bombardements franquistes,
le jeune Jean fut relâché de sa prison.
Il réussit à s'enfuir hors de Carcaixent. Cependant, peu de temps après, inquiet du sort de sa famille, il revint en ville.
La situation avait empiré et Carcaixent était aux mains de bandes révolutionnaires qui voulaient créer de nouvelles lois et éradiquer jusqu' au souvenir du Catholicisme, coupable de tous les maux selon eux, et surtout de la bienveillance de Franco, ce qui était pour eux la preuve de sa complicité avec l' insurrection.
La situation avait empiré et Carcaixent était aux mains de bandes révolutionnaires qui voulaient créer de nouvelles lois et éradiquer jusqu' au souvenir du Catholicisme, coupable de tous les maux selon eux, et surtout de la bienveillance de Franco, ce qui était pour eux la preuve de sa complicité avec l' insurrection.
Jean fut reconnu et arrêté à nouveau. Cette fois-ci c'était la mort que la politique allait lui réserver comme sort. il fut fusillé dans son village natal, le 13 novembre 1936, tenant dans les mains un crucifix et pardonnant à ses bourreaux.
Jean Gonga a été béatifié en 2001 par Jean-Paul II.
En savoir plus : http://fr.wikipedia.org/wiki/Martyrs_de_la_guerre_d%27espagne
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