Saint Élie
Prophète de l'Ancien Testament (9ème s. av JC.)

Élie (hébreu : אֵלִיָּהו ēliyahū, « Mon Dieu est Ya » ; syriaque : īlyā ; arabe : إِلْيَاس ilyās) est un prophète majeur dans les religions abrahamiques.
Prophète d'Israël du IXe siècle avant JC, son ministère a lieu dans le royaume d'Israël après la mort de Salomon.
Il est le héraut deYHWH, Dieu d'Israël, face au dieu des Cananéens, Baal, dont la reine d'Israël Jezabel s'est faite l'ardente missionnaire.
Il réalise de nombreux prodiges avant de s'envoler aux cieux dans un tourbillon.
Il est aussi, selon les prophètes bibliques, l'annonciateur du Messie à la fin des temps.
Il est fêté le 20 juillet par les catholiques et par les orthodoxes.
Plusieurs montagnes portent son nom dont la plus connue est le mont Saint Elias en Alaska.
Origine du nom Élie

Élie dans le désert (école de Iaroslavl, fin XVe siècle)
, musée d'art de Iaroslavl
, musée d'art de Iaroslavl
Élie est un nom théophore, comme bien des noms qui figurent dans l'Ancien Testament. 
En hébreu, le prénom אֵלִיָּהו signifie "Mon Dieu est YHWH". 
On
 a probablement choisi ce nom en raison de la mission particulière qui 
lui sera attribuée dans le récit biblique et qui vient en opposition 
avec les adorateurs du dieu Baal. 
Peut-être
 n'a-t-il pas choisi ce nom mais l'a-t-il reçu d'un père ou d'un maître.
 Il n'y a aucune trace dans la Bible sur l'origine de son nom.
Le prophète Élie dans l'Ancien Testament

Le Prophète Élie, par Marc Arcis (1690), musée des Augustins de Toulouse
Élie
 serait né en -927 et enlevé par un char céleste, il est vivant 
éternellement L'histoire du prophète Élie est connue par ce que les 
exégètes ont appelé le "Cycle d'Élie".
Selon
 l'Ancien Testament, Élie était un habitant du pays de Galaad et aussi 
un "Tishbite", c'est-à-dire originaire de la ville de Tishbé (en) (en 
arabe el istib), au nord de la rivièreYabboq dans le djebel adjloun 
(entre le Yarmouk et l'Arnon), un nom de même racine que le mot 
captivité en hébreu. 
La
 tradition l'a fait connaître comme ayant une grande foi en YHWH et lui a
 attribué de nombreux miracles, dont même ceux de ressusciter les morts 
et de faire descendre le feu du ciel.
Dans
 le Premier livre des Rois, Élie apparaît dans l'histoire pour 
avertir Achab, le roi d'Israël, de la survenue d'une sécheresse causée 
parce qu'il empêche la pluie de tomber.
 « Élie, le Thischbite, l'un des habitants de Galaad (IXe siècle av. J.-C.)
 dit à Achab : “L'Éternel est Vivant, le Dieu d'Israël, dont je suis le 
serviteur ! Il n'y aura ces années-ci ni rosée, ni pluie, sinon à ma 
parole”. »
Il part ensuite faire une retraite près d'un torrent affluent du Jourdain. 
Il boit l'eau du torrent et est ravitaillé en nourriture par des corbeaux. 
Au
 bout d'un certain temps le torrent se tarit, puis Élie part 
vers Sidon où une veuve de la ville de Sarepta le reçoit et le nourrit. 
Un miracle a alors lieu, car les maigres provisions de la veuve ne 
s'épuisent pas jusqu'au retour de la pluie. Le fils de la veuve tombe 
malade et meurt, puis ressuscite sur une prière d'Élie.
La
 sécheresse annoncée par Élie devait durer plus de trois ans. La 
troisième année de sécheresse, Dieu renvoie Élie auprès du roi Achab. 
Élie rencontre un serviteur du roi nommé Abdias et lui demande de 
l'annoncer. Abdias craint que cette annonce provoque son exécution si 
Élie disparaît à nouveau, et plaide en évoquant son passé, où il a 
protégé des prophètes de Dieu que la reine Jézabel voulait faire tuer. 
Élie lui assure qu'il se montrera à Achab et malgré ses craintes, Abdias
 prévient le roi qui vient à la rencontre d'Élie.
Élie
 réprimande le roi pour avoir sacrifié au dieu Baal et laissé son 
épouse Jézabel dîner avec quatre cents prophètes d'Astarté. Le roi 
convoque le peuple et tous les prophètes sur le mont Carmel. Élie est 
seul face à quatre cent cinquante prophètes de Baal. Chaque camp choisit
 des taureaux pour en faire offrande à son dieu, mais sans y mettre le 
feu. Les prêtres de Baal s'agitent mais en vain, le feu ne vient pas 
consumer leurs offrandes. Élie fait un autel et place les offrandes 
qu'il fait arroser d'eau par trois fois. Il fait alors une prière et le 
feu s'abat sur l'autel. Alors Élie donne l'ordre de se saisir des 
prêtres de Baal et il les égorge. Élie dit à Achab de retourner en char à
 Jizreel avant que la pluie ne l'arrête, la pluie se met à tomber, 
tandis qu'Élie devance Achab en courant.
Informée
 par Achab, Jézabel menace Élie de lui faire subir le même sort qu'il a 
fait subir aux prêtres de Baal. Élie s'enfuit vers Beer-Sheva dans 
le royaume de Juda pour s'y réfugier. Élie, complètement découragé par 
ce qui lui arrive et souhaitant mourir, s'endort au pied d'un genêt. Un 
ange le réveille et lui offre à manger, il mange et se rendort. L'ange 
revient et Élie peut marcher ainsi pendant quarante jours. Arrivé à la 
caverne du Mont Horeb, Élie s'y réfugie. Par la suite, l'auteur biblique
 décrit des phénomènes atmosphériques, mais Dieu ne se trouve que dans 
le dernier, "un doux murmure". Dieu lui demande : « Que fais-tu ici 
Élie ? ». Dieu donne l'ordre à Élie d'aller à Damas pour 
oindre Hazaël comme roi sur Aram, oindre Jéhu comme roi d'Israël et 
oindre Élisée pour en faire son successeur.
Environ
 six ans plus tard, il met en garde Achab et Jézabel d'un risque de mort
 violente après que Jézabel a manœuvré pour s'accaparer la vigne d'un 
certain Naboth dont elle provoqua la mort par lapidation en le livrant à
 la foule. Achab, roi d'Israël, et Josaphat, roi de Juda, s'allient pour
 faire la guerre contre Aram. Au cours d'un combat, Achab est tué. Son 
fils Achazia lui succède et commet les mêmes fautes aux yeux d'Élie.
En
 effet, Achazia, qui tombe du balcon de ses appartements, veut consulter
 l'oracle de Baal sur sa guérison. Élie va à la rencontre des messagers 
du roi pour leur annoncer la mort prochaine du roi parce qu'il a préféré
 Baal au Dieu d'Israël. Par la volonté de Dieu, Élie brûle cent hommes 
d'Achazia venus le capturer, puis se laisse emmener pour réitérer sa 
funeste prédiction devant le roi. Celui-ci meurt peu après, et son 
fils Joram lui succède.

Alors qu'il est en compagnie d'Élisée, Élie est enlevé au ciel dans un tourbillon. Après sa disparition, Élisée lui succède.
Ce
 récit sur l'enlèvement d'Élie au ciel a inspiré la construction de 
certains scénarios eschatologiques sur son retour miraculeux sur Terre. 
D'après le Livre de Malachie, Élie reviendra avant le jugement 
dernier : « Voici, je vous enverrai Élie, le prophète, avant que le jour de l'Éternel arrive. » La
 tradition juive attend donc le retour d'Élie. Il reste l'invité lors de
 la fête juive de la Pâque, où une porte ouverte et un siège inoccupé 
l'attendent toujours.
Le Siracide,
 un livre deutérocanonique, mentionne Élie parmi les grands personnages 
de l'histoire d'Israël et rappelle ses hauts faits. Le texte suggère 
qu'il y a une vie après la mort pour les croyants : "heureux ceux qui te
 verront, heureux ceux qui se sont endormis dans l'amour du Seigneur, 
car nous aussi nous posséderons la vraie vie".
Autres mentions d'un "Élie" dans l'Ancien Testament
Dans
 d'autres livres du Premier Testament, il y a d'autres personnages 
nommés Élie. Il s'agit peut-être du même personnage, mais cela suscite 
quelques problèmes de chronologie.
Dans le Deuxième livre des Chroniques,
 un certain "Élie" met en garde le roi de Juda, Joram. Si c'est le même 
personnage, cela signifie qu'il est passé d'un royaume à l'autre et 
qu'il est mort plus tard que ne le laisse entendre le Deuxième livre des Rois.
Ceci
 s'explique par le fait que le livre des chroniques est en quelque sorte
 une récapitulation de l'histoire, en particulier de l'alliance 
Davidique et sur le culte rendu au temple.
Le nom Élie est aussi porté par un sacrificateur du temps d'Esdras.
Élie selon les Samaritains
Les Samaritains sont une population vivant actuellement en Israël et en Cisjordanie.
 Pour eux, c'est le mont Garizim et non Jérusalem qui est le principal lieu saint de la religion hébraïque. 
Selon
 la deuxième de leurs sept chroniques, « c'est Élie qui causa le schisme
 en établissant à Silo un sanctuaire dans le but de remplacer le 
sanctuaire du mont Garizim ».
Mentions d'Élie dans le Nouveau Testament
Élie
 est le prophète le plus fréquemment cité dans le Nouveau Testament. 
Dans l'Évangile de Jean, on rapporte que les pharisiens demandent à Jean
 le Baptiste ceci : « Pourquoi donc baptises-tu, si tu n'es pas le Christ ni Élie, ni le prophète ? »
Ce passage est une incitation à la prière, montrant la force de celle-ci : « Élie
 était un homme de la même nature que nous ; il pria avec insistance 
pour qu'il ne plut point pendant trois ans. Puis il pria de nouveau et 
le ciel donna la pluie, et la terre produisit son fruit. »
Élie
 est encore cité dans l'Évangile de Luc. Jean-Baptiste et Élie sont 
comparés pour leur costume fait de peaux de bêtes. Dans les 
trois évangiles synoptiques, on trouve une manifestation d'Élie en 
compagnie de Moïse et Jésus dans l'épisode dit de la 
« transfiguration » : « Et pendant qu'il (Jésus) 
priait l'aspect de son visage changea, et son vêtement, d'une éclatante 
blancheur. Et voici que deux hommes s'entretenaient avec lui : c'étaient
 Moïse et Élie qui, apparus en gloire, parlaient de son départ, qu'il 
allait accomplir à Jérusalem. »
Dans les épîtres, Élie est également mentionné comme modèle inspiration pour la prière. L'apôtre Paul dit ceci d'Élie : « Ne savez-vous pas ce que l'écriture rapporte d'Élie, comment il adresse à Dieu cette plainte contre Israël ? » L'épître de Jacques fait aussi référence à Élie pour parler du pouvoir de la prière: « Élie
 était un homme de la même nature que nous, il pria avec instance pour 
qu’il ne pleuve point, et il ne tomba point de pluie sur la terre 
pendant trois ans et six mois. Puis il pria de nouveau, et le ciel donna
 de la pluie, et la terre produisit son fruit. »
Les évangiles soulèvent la difficile question de l'identité Jean le Baptiste Elie; affirmée par Jésus « Et lui, si vous voulez bien le comprendre, il est cet Elie qui doit venir », cette identité est déniée par Jean le Baptiste « Qu'es-tu donc? Lui demandèrent-ils. Es-tu Elie? Il dit: Je ne le suis pas ». Un auteur a traité de cette contradiction apparente,
Autres utilisations du nom Élie dans le Nouveau Testamennt
Élie
 est le prophète le plus fréquemment cité dans le Nouveau Testament. 
Dans l'Évangile selon Jean, les pharisiens demandent à Jean le Baptiste 
ceci : « Pourquoi donc baptises-tu, si tu n'es pas le Christ ni Élie, ni le prophète ? »
Élie
 est encore cité dans l'Évangile selon Luc. Jean-Baptiste et Élie sont 
comparés pour leur costume fait de peaux de bêtes. L'ange Gabriel 
affirme, avant la naissance de Jean-Baptiste, qu'il aura l'esprit et la 
puissance d'Élie. Dans les trois évangiles synoptiques, on trouve une 
manifestation d'Élie en compagnie de Moïse et Jésus dans l'épisode dit 
de la « transfiguration » : « Et pendant qu'il 
(Jésus) priait l'aspect de son visage changea, et son vêtement, d'une 
éclatante blancheur. Et voici que deux hommes s'entretenaient avec lui :
 c'étaient Moïse et Élie qui, apparus en gloire, parlaient de son 
départ, qu'il allait accomplir à Jérusalem. »
Dans les épîtres, Élie est également mentionné comme modèle d'inspiration pour la prière. L'apôtre Paul dit ceci d'Élie : « Ne savez-vous pas ce que l'écriture rapporte d'Élie, comment il adresse à Dieu cette plainte contre Israël ? » L'épître de Jacques fait aussi référence à Élie pour parler du pouvoir de la prière: « Élie
 était un homme de la même nature que nous, il pria avec instance pour 
qu’il ne pleuve point, et il ne tomba point de pluie sur la terre 
pendant trois ans et six mois. Puis il pria de nouveau, et le ciel donna
 de la pluie, et la terre produisit son fruit. »
Les évangiles soulèvent la difficile question de l'identité Jean le Baptiste Élie; affirmée par Jésus« Et lui, si vous voulez bien le comprendre, il est cet Élie qui doit venir », cette identité est déniée par Jean le Baptiste « Qu'es-tu donc? Lui demandèrent-ils. Es-tu Élie? Il dit: Je ne le suis pas ». Un érudit juif, Menahem Macina, a traité de cette contradiction apparente.
Dans l'Église orthodoxe
Dans
 l'Église orthodoxe serbe, saint Élie est une Slava fêtée par beaucoup 
de croyants, il est aussi le saint protecteur de l'aviation et de 
l'armée de l'air serbe. De nombreux Serbes qui se sont convertis au 
christianisme aux Ve, VIe et VIIe siècles
 et qui avaient pour dieu protecteur Perun (équivalent de Thor chez les 
Slaves) l'ont pris pour saint protecteur. Saint Élie était représenté 
par les chrétiens de Constantinople comme le saint à la foudre.
Célébration liturgique
Dans l'ordre du Carmel, dont Élie est le « père spirituel », la fête de saint Élie le 20 juillet a rang de fête (fête obligatoire),
 donnant lieu à l'indulgence plénière, alors que dans le reste de 
l'Église catholique cette fête est optionnelle (non inscrite, laissée à 
la liberté des fidèles).
Culte dans le christianisme
Élie est fêté le 20 juillet par les catholiques et par les orthodoxes. Plusieurs montagnes portent son nom dont la plus connue est le mont Saint Elias en Alaska.
La grotte d'Élie sur le mont Carmel
 
Ancienne carte postale de la « grotte d’Élie » dans le Monastère Stella Maris de Haïfa avec un autel à l'intérieur
La
 tradition a rapporté qu'Élie aurait résidé en ermite, avec des 
disciples (à commencer par Élisée) dans une grotte du mont Carmel. 
Cette grotte est connue sous le nom de « l'école des prophètes ». 
Par
 la suite, Élisée aurait poursuivi cette « tradition » et lui aussi 
résidé dans cette grotte comme le suggérerait le passage du deuxième 
livre des Rois où la femme Sunamite part au mont Carmel chercher Élisée.
 
Au XVIIe siècle
 des carmes viennent établir sur les pentes du mont Carmel un monastère 
et célèbrent des offices dans la « grotte d’Élie ». 
Cette grotte devient successivement une mosquée et aujourd'hui une synagogue. 
La
 communauté carmélitaine établie sur le mont Carmel (à proximité de la 
grotte) a obtenu l'autorisation de venir célébrer certaines fêtes 
religieuses dans cette grotte.
Influence sur l'Ordre du Carmel
Article détaillé : Influence des prophètes sur la spiritualité carmélitaine.
Élie et Élisée, sont considérés comme les pères fondateurs de l'Ordre du Carmel. 
Leur
 spiritualité, et la méditation des écrits de l'Ancien Testament les 
concernant ont nourri et influencé la spiritualité de l'Ordre.
La place d'Élie dans l'Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers jours
Élie (Elijah
 en anglais, à ne pas confondre avec Elija en français, fils de 
Jerocham, qui est Eliah en anglais) est un prophète de l'Ancien 
Testament, qui serait revenu conférer les clefs du pouvoir de scellement
 à Joseph Smith et à Oliver Cowdery (Doctrine et Alliances 110:13-16). 
De son temps, Élie exerça son ministère dans le royaume d'Israël.
Joseph
 Smith a dit qu'Élie détenait le pouvoir de scellement de la prêtrise de
 Melchisédek en tant que dernier prophète à le détenir 
avant Jésus-Christ. Il serait apparu sur la montagne de la 
Transfiguration avec Moïse et, selon l'interprétation de Joseph Smith, 
conféra les clefs de la prêtrise à Pierre, Jacques et Jean. Joseph Smith
 prétendit qu'Élie apparut de nouveau le 3 avril 1836, avec Moïse et 
d'autres, au temple de Kirtland, dans l'Ohio, et lui conféra les mêmes 
clefs à lui (Joseph Smith) et à Oliver Cowdery. Il a expliqué que cet 
événement s'était produit en vue de la Seconde Venue du Seigneur, comme 
mentionné dans Malachie.
Joseph
 Smith lie le pouvoir d'Élie au pouvoir de scellement de la prêtrise par
 lequel ce qui est lié ou délié sur la terre est lié ou délié dans le 
ciel. Selon lui, les serviteurs que le Seigneur s'est choisis 
aujourd'hui ici-bas ont ce pouvoir de scellement et accomplissent les 
ordonnances salvatrices de l'Évangile pour les vivants et les morts.
Dans
 le Livre de Mormon, le nom Élie est aussi porté par un prophète de 
l'époque d'Abraham. Appelé Ésaïas ou Élias, il vécut soi-disant du temps
 d'Abraham.
Élie dans les arts
Élie et la pauvre veuve de Serepta, Bernardo Strozzi (c 1640-44)- Élie est le sujet de l'oratorio de Felix Mendelssohn : Elias (1846).
 - L'épisode du Songe d'Élie a été traité par les peintres et les sculpteurs (Philippe de Champaigne, Le Mans, musée de Tessé)
 - L'enlèvement d'Élie aux cieux est un thème de tableaux et d'icônes.
 - La « Transfiguration » est un thème de peintures et d'icônes.
 - Le livre d'Éli est un film sorti en 2010 incluant Denzel Washington.
 - Élie est un des personnages de la série Xéna, La Guerrière qui annonce l’avènement du dieu de l'amour et l'arrivée de l'enfant qui provoquera le Crépuscule des anciens dieux antiques.
 - Élie est le personnage principal de "la cinquième montagne" de Paulo Coelho. L'auteur s'inspire de l'histoire d'Elie décrite dans l'Ancien Testament pour construire une œuvre par ailleurs fictive.
 - La vie d'Elie a fait l'objet d'un récit poétique de Jean Grosjean.
 - Eli est le prénom du vampire joué par Lina Leandersson dans le film suédois Morse (film) (Laisse-moi entrer) réalisé par Tomas Alfredson
 - Elie est le prénom d'un des personnages du roman de Herman Melville, Moby Dick (1851). Il est présenté sous le jour d'un illuminé, ancien matelot du capitaine Achab, qui ne cesse de prophétiser de manière confuse.
 
Galerie
L'ascension d'Élie dans une fresque byzantine
Le
 Prophète Élie emporté au ciel sur un char de feu donne son vêtement à 
Élisée. Sculpture sur un sarcophage chrétien de la Rome antique (VIe siècle) à Milan (Italie)

Élie par Tommaso Rues Église Santa Maria dei Carmini

Élie dans le désert par Washington Allston (Boston)

L'offrande
 d’Élie est consumée par le feu du ciel dans un vitrail de l'Église 
évangélique luthérienne allemande à Charleston, Caroline du Sud

Élie
 dans la grotte (ci-dessous) et sur un char de feu. Une fresque du 
monastère de Rila (Bulgarie), tradition orthodoxe médiévale, rénovée du XXe siècle

La statue d’Élie à la cathédrale Saint-Élie, Alep (Syrie)

La partie supérieure de la Transfiguration (1520) de Raphaël, représentant Élie, Jésus et Moïse (tenant les Tables de la Loi)

Elijah rendant le fils de la veuve de Sarepta par Louis Hersent

Élie sur le mont Horeb, icône grecque orthodoxe
 

Élie sur son char (détail), par Sergio de Castro, vitrail de la Collégiale de Romont (Suisse), 1980
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