San Damiano
Message du 6 septembre 1967
Ma
fille, écoute-moi bien : beaucoup m’ont oubliée, ils ont perdu la
constance malgré toutes les grâces que j’ai déversées sur eux de tout
mon cœur de Mère.
C’est pourquoi je me confie en votre fidélité, en votre aide, pour me faire connaître et affirmer ma présence sur la terre, ma présence sur la terre, je vous le répète.
Je suis au milieu de vous et mon cri de Mère appelle tous mes enfants. Je veux tous vous sauver. Aidez-moi ! Aidez-moi ! Accueillez mon appel d’amour !
Soyez unis avec toutes les personnes qui ont écouté mon appel, de quelque ville, de quelque pays qu’ils soient.
Soyez unis, mes enfants ! Formez un front uni pour ma défense ! C’est déjà l’heure de travailler à cette fin.
C’est l’heure de rester unis, forts, décidés à me faire connaître et affirmer ma présence au milieu de vous.
A cette fin, travaillez, marchez, écrivez, répandez ma parole.
Il est l’heure que les évêques s’intéressent à moi, reconnaissent que je suis parmi vous sur la terre.
Ne craignez pas parce que je serai toujours avec vous, en quelque lieu que vous marchiez pour ma cause.
Je vous aiderai moi-même : frappez et il vous sera ouvert et votre foi en moi sera récompensée.
Priez, agissez, souffrez tout pour faire connaître ma présence sur la terre parmi vous. Commencez, informez de mon désir, de mon vouloir, les évêques qui vont se réunir à Rome. Il faut agir, il n’y a plus de temps à perdre. Mettez-vous au travail. C’est là la tâche de tous ceux qui ont écouté mes messages. Courage, foi et à l’œuvre sous ma protection !
Ne me contraignez pas à vous abandonner !
Je vous bénis et tous ceux qui travailleront dans ce sens, d’une manière particulière : une bénédiction qui vous suivra toujours et partout.
C’est à vous de faire connaître les voyants, mes apparitions et me faire ainsi triompher sur terre.
Insistez auprès de vos évêques et ceci, sans retard.
C’est pourquoi je me confie en votre fidélité, en votre aide, pour me faire connaître et affirmer ma présence sur la terre, ma présence sur la terre, je vous le répète.
Je suis au milieu de vous et mon cri de Mère appelle tous mes enfants. Je veux tous vous sauver. Aidez-moi ! Aidez-moi ! Accueillez mon appel d’amour !
Soyez unis avec toutes les personnes qui ont écouté mon appel, de quelque ville, de quelque pays qu’ils soient.
Soyez unis, mes enfants ! Formez un front uni pour ma défense ! C’est déjà l’heure de travailler à cette fin.
C’est l’heure de rester unis, forts, décidés à me faire connaître et affirmer ma présence au milieu de vous.
A cette fin, travaillez, marchez, écrivez, répandez ma parole.
Il est l’heure que les évêques s’intéressent à moi, reconnaissent que je suis parmi vous sur la terre.
Ne craignez pas parce que je serai toujours avec vous, en quelque lieu que vous marchiez pour ma cause.
Je vous aiderai moi-même : frappez et il vous sera ouvert et votre foi en moi sera récompensée.
Priez, agissez, souffrez tout pour faire connaître ma présence sur la terre parmi vous. Commencez, informez de mon désir, de mon vouloir, les évêques qui vont se réunir à Rome. Il faut agir, il n’y a plus de temps à perdre. Mettez-vous au travail. C’est là la tâche de tous ceux qui ont écouté mes messages. Courage, foi et à l’œuvre sous ma protection !
Ne me contraignez pas à vous abandonner !
Je vous bénis et tous ceux qui travailleront dans ce sens, d’une manière particulière : une bénédiction qui vous suivra toujours et partout.
C’est à vous de faire connaître les voyants, mes apparitions et me faire ainsi triompher sur terre.
Insistez auprès de vos évêques et ceci, sans retard.
← Retour (Les messages de Mamma Rosa)
Cliquez sur le titre que vous souhaitez pour voir la page
 | - Les apparitions de la Vierge à San Damiano - La fontaine miraculeuse - Les mouchoirs bénits - Les messages de Mamma Rosa - Les messages classés par thèmes - Les prières |
 |
Je tiens à remercier Céline
qui m'a envoyé les messages
de Mamma Rosa par Mail.
Merci pour le travail, c'est énorme.
|
| Le blog de Céline : Notre Dame des Roses | |
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire